P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée]

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IDENTITY

Phèdre Keller
feat : Rachel Hurd-Wood

Prénom : Phèdre
Nom : Keller
Surnom : Numéro 7
Nom de Code :
Age : 20 ans
Nature : Humaine
Orientation sexuelle : Inconnue
Métier : Cobaye (en cavale)
Groupe : Esclave
Date du SEER :-
Poste vacant / Scénario ? NON.

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CARACTÈRE : Phèdre est une solitaire, pas vraiment par choix, mais par habitude. La jeune femme est, de ce fait, assez maladroite concernant les relations sociales et les divers comportements à adopter face à d’autres individus.
Elle n’a donc pas d’attaches, personne vers qui se tourner, et a l’habitude de se débrouiller seule…Du moins quand on lui fournit un abri, de la nourriture et des directives à suivre…Sinon, elle est totalement démunie.

Elle a vécu dans une véritable bulle (pas de douceur la bulle mais on y reviendra), coupée de la plus grande partie des réalités du monde. Elle ne connait que le milieu des labos et des expériences, est incapable de faire cuire un œuf ou même de comprendre comment on allume divers appareils. Elle ne sera pas fichue de distinguer l’uniforme d’un pompier de celui d’un convoyeur de fonds. Bref, quand on ne la connait pas, elle passe facilement pour une cruche.

C’est une jeune femme relativement passive, calme et discrète. Vite effrayée, vite perdue, elle peut se révéler maladroite en cas de grand stress et elle panique facilement. Elle a appris, très jeune, à obéir sans discuter, sans questionner, et sans jamais chercher à comprendre le pourquoi tel ou tel ordre. Ce conditionnement ressurgit parfois au mauvais moment. Seulement les choses ont changé…

Elle tente, maintenant de s’affirmer, sans grand succès, mais surtout, elle voue une haine féroce aux Asariens, cette race qui a fait d’elle un vulgaire rat de labo tout autant qu’ils la terrifient (sans compter les médecins, et autres porteurs de blouse blanche).
Petit bonus, elle semble avoir un vieux contentieux avec le destin, si une chaise doit se briser dans une salle de 200 personnes, soyez sûr que ce sera pour sa pomme.

PHYSIQUE : C'est une jeune femme de 20 ans relativement banale. Elle mesure 1m65 pour 50 kilos, elle n’est ni souple à l’extrême, ni sportive émérite, encore moins un canon de beauté. Ce qui la fait sortir du lot, ce sont ses cheveux roux alliés à ses yeux dont le bleu est si pâle qu’ils paraissent souvent gris au premier abord. Pour le reste, même les traits de son visage sont d’une banalité affligeante, nez droit, lèvres bien dessinées, ni trop pulpeuses, ni trop fines. Elle a pourtant une autre particularité, un tatouage, sur la nuque, dissimulée du mieux qu’elle peut par ses cheveux « PHEDRE 7 ». Vous vous dites sans doute qu’il est totalement idiot de se faire tatouer ainsi son propre prénom, encore plus de cacher ce tatouage. Ne jugez pas trop vite, nous y reviendrons plus tard. Elle ne s’habille pas avec goût mais plutôt avec ce qu’elle a à sa disposition, autrement dit, peu de choses.

POUVOIRS ou CAPACITES :
Elle apprend vite et sait également se déplacer très silencieusement…quand elle ne provoque pas une catastrophe (donc c'est rare).

BIOGRAPHY

Extrait du journal du Docteur en psychologie humaine Evans Baniel.

9 juin 2094, Centre de Recherches.

Après différentes études inhérentes aux comportements des sujets humains en situation de stress, nous pouvons établir, et ce, sans aucun doute, qu’un individu soumis à une situation de crise aura tendance à se servir de son vécu affectif afin de garder une certaine résistance psychologique.

-Dans 93 cas, les sujets trouvaient la motivation dans les souvenirs familiaux et les liens affectifs obtenus durant leurs existences.
-Pour 4 individus, il n’y a eu aucune résistance, ils ont été dirigé directement vers la phase suivante de l’étude.
-Les 3 derniers ont utilisé des sentiments tels que : haine, peur, dégoût afin de rester combattifs.

Suite à ces résultats, l’équipe psychiatrique de l’aile C-4 a décidé de mener plusieurs recherches afin de déterminer la meilleure façon d’obtenir des humains une obéissance sans faille avec, comme facteur supplémentaire de réussite, d’obtenir des sujets sans liens familiaux ou affectifs de quelque nature qu’ils soient. Pour ce faire, une sélection de 40 femmes humaines saines sera effectuée entre juillet 2094 et avril 2095, elles seront inséminées artificiellement, au plus tôt et seront gardées au Centre jusqu’au terme des grossesses.
Les sujets ainsi obtenus seront séparés des mères immédiatement et pris en charge par l’équipe de recherche et ses collaborateurs dans les locaux du centre. Une aile sécurisée servira de lieu de vie aux individus qui n’auront pas le droit d’entrer en contact entre eux. Les seules interactions sociales seront programmées et effectuées par les chercheurs afin de ne pas risquer de fausser les résultats des expériences. Chaque sujet aura un tatouage avec le nom du groupe d’essai dont il fait partie et le numéro qui lui sera attribué. Nous pourrons ainsi déterminer la meilleure approche à avoir afin d’obtenir des humains dociles et malléables et fournir ainsi une main d’œuvre de qualité dévouée aux Asariens.

[NB : il a été décidé de créer, en parallèle des recherches sur d’autres espèces avec le même procédé, seront concernés : rats-pigeons-chiens, dans un premier temps]

---

Les Asariens ont du temps, plus que les humains, et de l’argent, beaucoup d’argent. Que ces recherches soient réellement utiles dans le futur ou simple passe-temps pour des psys et chercheurs désœuvrés importe peu au final. Ce qui compte c’est de justifier clairement à quoi on utilise le budget de tel ou tel département de recherche. Le programme fut approuvé, et adopté. Les rouages se mirent en place, et bientôt les enfants obtenus furent assignés à tel ou tel groupe d’étude.

L’un d’eux se nommait le PHEDRE, le programme humain d’essais de dressage par électrochocs. Huit individus y furent assigné, 4 mâles, 4 femelles, n’allez pas dire homme ou femme, n’oubliez pas que ce sont de simples sujets d’expérience.

Durant leurs 5 premières années, on se contenta de veiller à leur développement psychomoteur, et de les soumettre à quelques tests sans grand intérêt : équilibre, langage, compréhension.
Les 5 années suivantes, on leur apprit à lire et on leur permit d’écouter quelques morceaux de musique. On leur fournissait pour s’occuper, outre les nombreux passages de chercheurs, de petits livres destinés à conditionner leurs esprits. Un chercheur avait décrété que leur apprendre à lire pour occuper leurs esprits désœuvrés pouvait être également utile au programme, les lectures étaient donc soigneusement choisies. Il y était question du devoir d’obéissance à la race supérieure, des façons dont un esclave peut se rendre utile, tout cela sous formes de petites histoires permettant manipuler ces lecteurs malléables. On poussa le vice jusqu’à faire venir des enseignants bien particuliers qui débattaient avec chaque individu de tel ou tel ouvrage afin de vérifier que le message soit assimilé.

Ceci valait pour tous les cobayes de l’étude, ils n’avaient pas de nom mais un chiffre derrière le nom de leur groupe, ils ne s’étaient jamais vus, et ne savaient même pas qu’ils étaient plusieurs, aussi les chercheurs évitaient tout lien entre eux et toute tentative de rébellion était rapidement sanctionnée.
Voilà comment PHEDRE - 7 devint simplement Phèdre. D’un côté elle crut longtemps que c’était son prénom, plus tard il lui permettrait d’expliquer son drôle de tatouage…mais nous n’en sommes pas encore là.

Phèdre avait donc atteint ses dix ans sans véritablement avoir le temps de s’ennuyer. Outre les livres, les visites de chercheurs et les tests divers, on lui avait appris à coudre, à broder, à tricoter, et lorsqu’elle se montrait bien obéissante, on lui fournissait le matériel nécessaire à ces passes temps. Elle était donc des plus appliquées et toujours prompte à obéir afin de bénéficier de ces minuscules privilèges. De temps à autre, le psychiatre venait la cherchait et faisait l’entretien dans son bureau, Phèdre adorait ces moments. L’homme était si gentil qu’il lui permettait de regarder par la fenêtre à la fin de leurs rendez-vous. C’était quelque chose de fantastique !

Il faut dire que son monde se résumait à une pièce de trois mètres sur quatre, sans fenêtre, éclairée d’un néon blafard et meublée simplement d’un lit, d’une table et d’une chaise.Sauf lorsqu'on l'amenait dans le bureau du psychiatre avec cette petite ouverture sur un autre monde, bien différent du sien. Par cette fenêtre, elle voyait tant de choses, des gens d’abord, plein, tous différents, vêtus parfois de drôles de façons, et aussi des oiseaux, de la verdure et tout un tas de choses fascinantes et incompréhensibles. Devant son émerveillement, le psychiatre lui répétait : « Si tu es une bonne fille, tu pourras aller dehors quand tu seras grande. »
C’était devenu un idéal à atteindre pour elle. Il fallait faire tout ce qu’on lui demandait, retenir par cœur toutes les choses qu’on avait le droit de faire et celles qui étaient interdites, ne jamais se plaindre ou soupirer. Ensuite, elle irait dehors…Rien que le mot « dehors » était une promesse en soi.

Bien entendu, elle savait que le psychiatre disait la vérité, tout comme chacune des personnes qui s’occupait d’elle ici. Ils étaient tous Asariens, ils faisaient partie de la race des Maîtres, ils n’avaient pas besoin de mentir.

Au fil des années on continua à l’instruire de diverses choses utiles plus tard, tout était toujours fait pour « plus tard » et elle espérait que cela arriverait bientôt. Mais lorsqu’elle atteint ses 16 ans, elle entra dans la phase terminale du projet.

On commença les premières séances d’électrochocs, sans raison, juste celle de lui faire savoir ce que c’était. On plaça donc des électrodes sur son front et elle eut sa première « séance de test ». On n’endormait pas les sujets avant de commencer, aussi elle ressentit distinctement trois décharges qui lui tirèrent des cris de surprise et de douleur avant que sa vue ne se brouille et qu’elle perde pied. Les chercheurs la regardèrent convulser en prenant des notes, quand elle revint à elle, groggy, désorientée, on la ramena à sa chambre sans rien lui expliquer.

Elle vomit plusieurs fois ce jour-là, ne parvenant jamais à garder la nourriture qu’on la forçait à ingurgiter sous la menace de retourner dans la salle d’étude pour recevoir d’autres électrochocs. Elle avait si mal au crâne qu’elle pensait que ses yeux allaient rouler hors de leurs orbites et quand elle parvint enfin à s’endormir elle fit un cauchemar qui la laissa terrifiée et en nage sans pouvoir se rappeler de ce qu’elle avait vu.
Même si on lui avait dit que cette séance ne se reproduirait que si elle agissait mal, même si elle se montra docile au possible, on revint souvent la chercher pour recommencer, et ce malgré ses larmes, ses supplications et ses cris de frayeur.

Après deux ans de ce traitement, de nombreux sujets, dont notre jeune rouquine, montrèrent des troubles importants de la mémoire, principalement concernant les évènements survenus après les premiers chocs. Les chercheurs décidèrent que cela était contreproductif et commencèrent alors d’autres test, selon des méthodes toujours plus cruelles mais qui portaient leurs fruits.

L’une d’elle consistait à installer le sujet dans une pièce exiguë avec un banc, toute la pièce et le banc étaient en métal. On ordonnait au cobaye de rester debout et on attendait. Lorsque celui-ci, affaibli après des heures d’attente finissait par s’asseoir, s’allonger, ou simplement s’appuyer au mur, on lui envoyait une décharge électrique.
Une autre était une sorte de bâton avec deux petits crochets à son extrémité, les crochets, une fois en contact avec le corps humain, envoyaient une décharge suffisamment violente pour que le sujet ressente une douleur vive. Souvent, on poussait le sujet à désobéir par divers stratagèmes afin d’utiliser ce dispositif.
Le tout dernier était des plus simples mais des plus invasifs. Un collier verrouillé avec une minuscule batterie et des plots de contact qui se déposaient sur la gorge du cobaye. Le chercheur avait une télécommande qui permettait d’envoyer une décharge en réglant son intensité et sa durée. L’équipe avait admis que, même si ce procédé était finalement un des plus basiques, il restait le plus utile car il permettait une réponse immédiate et sans faille à toute désobéissance. Ils décidèrent donc de tester le dispositif en extérieur. Ils choisirent deux hommes et deux femmes qui seraient les premiers à « profiter » du dispositif en situation réelle. Le collier fut réglé, on y ajouta une balise, si le sujet dépassait le périmètre alloué, il recevrait un premier choc, de plus en plus intense s'il s'éloignait afin de pouvoir ramener facilement les individus si l'envie leur prenait de devenir trop curieux.

Phèdre avait été choisie, elle était aux anges, même si elle avait peur du collier, après tout, on lui avait promis de pouvoir sortir quand elle serait grande non, et elle avait vingt ans à présent. Le chercheur qui allait l’accompagner était venu ouvrir sa porte, il lui avait demandé de se dévêtir et lui avait donné des sous-vêtements un pantalon en jean, une chemise propre et une paire de chaussures toutes neuves. Elle s’était changée devant lui, sans aucune pudeur, cette notion ne lui ayant jamais été enseignée et alors qu’elle lui tournait le dos en remontant ses cheveux pour lui permettre de venir fixer l’engin de torture à son cou, son destin décida de lui faire la pire blague de sa vie.

Une alarme stridente retentit au-dessus de leurs têtes, puis une voix métallique ordonna l’évacuation immédiate de l’aile C-4 en raison d’un début d’incendie dans les laboratoires. Le chercheur avait lâché son collier au sol en s’exclamant que c’était leur bâtiment qui prenait feu et il avait filé par le couloir, suivi rapidement d’un véritable déluge d’hommes et de femmes, la plupart en blouses blanches. Phèdre s’approcha de la porte sans trop savoir quoi faire, on ne lui avait jamais permis de quitter sa chambre sans accompagnant…Oui mais le bâtiment prenait feu, la voix l’avait dit…Les gens du Centre de Recherche ne la laisseraient tout de même pas brûler vive n’est-ce pas ?

Finalement, elle fut convaincue qu’elle devait suivre tous ces gens quand elle remarqua plusieurs personnes habillées sans blouses, comme elle dans le fond, eux aussi devaient vivre ici et répondre aux questions des docteurs, sinon ils auraient une blouse. Elle s’élança dans la marée humaine et personne ne sembla la remarquer, alors, avec eux, elle descendit les escaliers de secours, déboula dans un parking sous-terrain et finit dans un petit carré d’herbe au milieu de passants intrigués par ce remue-ménage.

Tout le monde parlait, posait des questions, s’apostrophait sans prendre le temps de respirer et personne ne semblait lui prêter attention, alors elle se mit sagement sur le côté pour regarder ce qui se passait dans la rue, cette rue qu’elle n’avait jamais vue que de temps en temps à travers une vitre. Elle fut attirée, comme un papillon par la lumière, vers des vitrines colorées et finit par s’avancer vers elles. Elle ne courait pas, chacun verrait où elle allait, à coup sûr, si elle n’avait pas le droit, on le lui dirait. Personne ne la rattrapa, personne ne lui cria dessus, alors elle se mit à admirer les jolies choses derrière la vitrine. Il y avait des chaussures et des sacs, de toutes les tailles, de toutes les couleurs, elle se demandait à quoi cela pouvait servir d’en avoir d’autant de sortes.

Lorsque la jeune femme voulu regagner le petit groupe, elle put constater que tout le monde était parti. Elle sentit un froid glacial s'immiscer en elle et c'est en tremblant de tous ses membres qu'elle se présenta devant la petite porte par laquelle elle était passée pour sortir. Là, un drôle de boîtier avec des chiffres se trouvait à la place d'une éventuelle poignée, elle tenta d'appuyer sur quelques boutons, sans succès. Tout se passa alors très vite, elle entendit des pas dans son dos et prit peur qu'on la renvoie en salle d'électrochocs, elle fila dans un recoin sombre et attendit. Elle surprit une conversation entre deux gardes, l'alarme incendie était une fausse alerte, déclenchée par un petit plaisantin. Phèdre retint son souffle, il n'y avait eu aucun danger, on penserait qu'elle avait profité de la panique générale pour s'enfuir et elle verrai s'envoler tout espoir de retourner dehors. Sans compter qu'elle risquait de gros ennuis car personne ne croirai qu'elle n'avait pas voulu s'enfuir.

Alors que les vigiles s'éloignaient, la jeune femme perdit tout sens logique, elle ne voulait surtout pas qu'on l'accuse d'avoir voulu s'échapper, alors, contre tout raisonnement censé, elle s'enfuit.

Perdue dans un monde qu'elle n'a jamais côtoyé, ignorante des us et coutumes, incapable de reconnaître un Asarien d'un Humain, elle a vite compris qu'elle devait se cacher autant que possible et ne faire confiance à personne. Elle a décidé de cacher son tatouage sous ses cheveux et s'est inventé un nom de famille « Keller », elle avait vu ce mot écrit sur une vitrine, ça ferait l'affaire. Elle s'est mise à errer, entre beaux quartiers, rues commerçantes, parties mal famées, elle n'a aucune connaissance de la configuration des endroits où elle va, elle avance au hasard, toujours la nuit et cherche à se dissimuler aux regards dès que le jour se lève. Alors que la difficulté de se nourrir, l'insécurité ou l'inconfort, se font sentir, elle se sent divisée. D'un côté, elle aimerait retrouver son petit monde clos où tout est simple et contrôlé par d'autres, de l'autre, elle sent la colère bouillir en elle. On ne l'a jamais préparée à l'extérieur, on lui a menti pour mieux la garder sous contrôle, et petit à petit elle se met à détester les Asariens, ceux qui ont le pouvoir, ceux qui ont, finalement, fait d'elle ce qu'elle est devenue.

AVIS DE RECHERCHE 8 DÉCEMBRE 2116

Ce matin, un cobaye du centre de recherche s'est évadé suite au déclenchement d'une alarme incendie. Tout laisse à penser que l'esclave a été aidée dans sa fuite une enquête a été ouverte.
L'individu échappé est de sexe féminin, elle est de taille moyenne et de corpulence mince, le sujet a des yeux bleus et des cheveux roux. Elle est identifiable grâce au code tatoué sur sa nuque « PHEDRE7 ». Si vous apercevez la fugitive prévenez le Centre de Recherches ou contactez la milice.
N'essayez pas d'interpeller l'individu seul, elle est instable, dangereuse et pourrait être armée.

BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM / PSEUDO : Minouche
ÂGE : 31
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Staff d'AsariaL

Bienvenue parmi nous Phèdre P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée] 4270452385

Si tu as des questions, le staff est là pour te guider et t'aider !
Au plaisir de te lire P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée] 3923205924

P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée] 3923205924

Invité

Bienvenue petite humaine !

Invité

Merci à vous Smile

La fiche est en route, me reste à finir l'histoire Twisted Evil

Co-Leader des Insoumis - Humaine

Bienvenue Miss P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée] 3157880855

Asarien, 2e Génération

Un petit jouet !

Bienvenue petite Humaine P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée] 131412119

Invité

Merci à tous les deux.
Et je suis pas un jouet tss affraid

Fiche finie, j'espère ne pas avoir écrit (trop) de bêtises cheers

Staff d'AsariaL

Bonsoir Phèdre.

Je vais lire ta fiche et revenir vers toi le plus rapidement possible.
@ très vite Wink

Invité

Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue.
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler.
Je sentis tout mon corps et transir et brûler...

Remettez-vous, ma chère. Je sais, je fais cet effet à bien des femmes, mais cela ne m'empêchera pas de vous souhaiter la bienvenue parmi nous. Au plaisir de croiser la plume avec vous !

Humaine Rebelle

Bienvenue à toi Phèdre su Asaria I love you

Invité

Merci à vous deux Smile

Staff d'AsariaL

Félicitations
ta fiche est Validée !

Asaria, sa cité et ses terres sauvages s'ouvrent désormais à toi !

Je te remercie pour la petite modification que tu as apportée
Phèdre est un personnage attachant et j'ai adoré lire son histoire. La suite promet de belles aventures

J'espère que tu as bien pris connaissance de toutes les informations nécessaires, rempli ton profil et ta fiche de personnage (Informations complémentaires).
Je t'invite aussi à créer ta fiche de sujets et de liens ainsi qu'à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour le jeu.

Le flood et la Chatbox t'attendent aussi, alors n'hésite pas à nous rejoindre !

Très bon jeu à toi et au plaisir de te croiser sur nos terres de Prophétie !
Amuse-toi bien parmi nous !

Invité

Merci

Humaine Rebelle

Bienvenue sur Asaria P.H.E.Dr.E ou comment un projet devient une catastrophe ambulante [fiche terminée] 2554793798

Invité

Bienvenu à toi petit Cobaye, même si je te le souhaite avec un peu de retard. Bonne découverte hors des labo!

» Nya [TERMINEE]
» Jane Sheppard - Terminée
» Steve Roswell- The Panther (Terminée)
» Lia Walden * La douceur incarnée [Terminée]
» Aislinn Oldfield - Begining to see the light - terminée

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