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 Roy Cooper - One shot one kill

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Roy Cooper - One shot one kill Empty
MessageSujet: Roy Cooper - One shot one kill   Roy Cooper - One shot one kill EmptyMer 25 Sep - 16:33




IDENTITY


RoyCooper
feat : Jeremy Renner



Prénom : Roy.
Nom : Cooper.
Surnom : One shot.
Nom de Code : Hawkeye.
Age : 40 ans.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel.
Métier : Lieutenant de la Section des Opérations Externes - Tireur d’Elite.
Groupe : Les Rebelles.
Date du SEER : /
Poste vacant / Scénario ? OUI – NON.






MORE




CARACTÈRE :

Il fut un temps où j’étais un petit garçon ordinaire, avec des rêves plein la tête, une joie de vivre et une insouciance certaine, une innocence heureuse qui savait me préserver du monde cruel des adultes, du quotidien miséreux et difficile que connaissaient les adultes, comme mes parents. Je ne suis pas né dans un monde parfait, bien loin de là même. Et pourtant, j’ai connu une enfance ordinaire, préserver de la haine que pouvaient éprouver certains, beaucoup à vrai dire d’adultes de mon espèce, celle qui a foulé aux premières heures de l’humanité, le sol de cette planète. Je n’entrerais pas dans des considérations politiques, existentielles ou ce genre de choses bien compliquées à expliquer. Il me faudrait certainement trop de temps pour vous exposer mes opinions, mes pensées sur ces sujets délicats. Et notre temps à tous est très précieux, j’en suis bien conscient.

Ce que je peux vous dire, c’est que le garçon chamailleur, joueur, affectueux, loyal, insouciant que j’étais à laisser placer à l’homme que je suis devenu aujourd’hui. Si j’ai toujours été quelqu’un de méticuleux, observateur, ayant un fort sens de la discrétion, possédant cet instinct dit du chasseur depuis tout petit, les épreuves de la vie que j’ai dû traverser m’ont rendu froid, détaché, pour ne pas dire glacial. Muré dans une carapace solide qui m’empêche volontairement de ressentir des émotions, des sentiments, comme la pitié, la compassion, le regret, le pardon, je suis devenu un fantôme qui ne cherche qu’à assouvir une vengeance qui le terrasse, le ronge de l’intérieur. On pourrait ainsi aisément me croire perdu, n’être devenu que l’ombre de moi-même. Il n’en est rien, je puis vous l’assurer.

Il est des épreuves qui vous obligent à vous adapter, à changer pour survivre, continuer à avancer, par la force des choses. C’est ainsi que je suis devenu un homme, un rebelle capable de tuer de sang-froid, sans n’éprouver strictement aucune émotion. J’ai toujours été quelqu’un de terriblement, mortellement patient, méticuleux, observateur. Ainsi donc, je possédais dès mon plus jeune âge, toutes les qualités nécessaires pour devenir un tireur d’élite ou sniper, comme vous préférez. Prudent, organisé, intelligent, je sais m’adapter à la situation qui se présente à moi, me débrouiller pour modifier mes plans à la dernière minute. L’improvisation est la clé de la réussite mais bien moins que l’organisation. Il faut savoir préparer un plan longuement à l’avance, en étudier tous les détails, envisager toutes les options, solutions, prévoir des issues de secours, des coins de replis sûrs et protégés, bref, faire preuve de projection, d’imagination, d’intelligence.

Ma fonction, mon art, mon métier, ma raison de vivre m’oblige à demeurer un être plutôt solitaire, même si, peut-être vais-je vous l’apprendre maintenant, mais un tireur d’élite ne travaille jamais seul. Néanmoins, il est vrai que j’éprouve énormément de difficultés à tisser aujourd’hui des liens, ne serait-ce que d’amitié et encore plus d’amour. Et pourtant, comme je vous le disais auparavant, la vie sait nous faire emprunter le chemin idéal pour chacun. Je crois fermement au destin, à notre destinée. Je parle de ceci car, moi qui me pensais incapable d’éprouver pour toujours, un sentiment d’amour, j’ai croisé le chemin de Caitlyn Foster. Si derrière ma nature d’homme froid, solitaire, je n’en demeure pas moins capable de me montrer protecteur, affectueux, à l’écoute des membres de la Rébellion, que je considère depuis quelques années maintenant, comme ma nouvelle famille. Ma loyauté envers eux est sans failles, je suis prêt à me sacrifier si nécessaire pour les sauver.


CAPACITES :

- Tireur d’Elite/Sniper : Depuis tout petit, je suis doué dans l’art qui consiste à analyser son environnement, la force et l’orientation du vent, l’hydrométrie de l’air et d’autres facteurs essentiels pour qu’un tireur d’élite puisse réussir un tir parfait. C’est une capacité que je ne m’explique pas vraiment mais que je possède pourtant. J’ai toujours fait preuve d’une habilité remarquable pour toucher des cibles éloignées, petites, avec précision, justesse. Avec le temps, un entraînement poussé, une formation adaptée, je suis devenu un tireur d’élite, ou sniper. Pouvant évoluer sur un terrain en m’y fondant tel un caméléon, je suis aujourd’hui susceptible d’être partout, sans jamais me faire voir, vous observant durant plusieurs jours si nécessaires, sans bouger, afin d’attendre le moment idéal, précis, celui-là même que j’aurais décidé pour vous abattre d’un seul tir. Car, n’oubliez pas que la devise d’un sniper demeure « one shot one kill », un tir, un mort.

- Survie : Enfant proche de la nature par le passé, j’ai toujours aimé les grands espaces sauvages, la liberté que pouvaient m’offrir ceux-ci, le calme, la sérénité que l’on ne retrouve aucunement sous les immenses dômes d’Asaria, où l’atmosphère et l’univers y sont en permanence contrôlés par des machines et ordinateurs. Aussi, je suis parfaitement capable de me débrouiller seul en pleine nature, chasser, trouver de l’eau ou m’abriter pour la nuit par exemple. D’ailleurs, il n’est pas rare que je m’aventure durant quelques jours, seul, en pleine nature, pour m’y ressourcer. Comme je vous le disais dans l’explication de mon caractère, je suis un homme solitaire, un brin sauvage et j’ai besoin de ses moments de solitude pour me sentir au mieux de ma forme. Aussi, la survie loin de tout, si elle reste une épreuve de chaque instant pour quiconque en cette planète, ne constitue pas pour moi un réel danger.


NOTES PARTICULIÈRES :

Toujours à ce jour, je demeure le seul rebelle à avoir tué une Ancienne, en la personne du Ministre de l’Éducation, Esperanza Alvarez.





BIOGRAPHY



Le monde ne fut pas toujours ainsi, comme il est aujourd’hui, comme celui que je vois, que j’arpente depuis ma naissance. Il fut un temps où de vastes contrées, des déserts de sable ou de glace, d’immenses forêts couvraient cette planète, où la vie est riche, prospère, faite de diverses espèces, aussi nombreuses et variées que les étoiles dans le ciel par une nuit d’été. La nature fournissait tout ce qui était nécessaire à l’humanité pour croître, prospérer, survivre en un monde abondant. Et l’homme, dans sa nature destructrice, dans sa folie à toujours vouloir tout contrôler, à tout détruit. Le monde est devenu un désert stérile, mortel, un lieu dont personne ne revient vivant, un lieu qui nous est aujourd’hui interdit, inaccessible. Pour nous, la survie passera par ses immenses dômes, qui ont vu le jour en un continent autrefois désert de glace, inhospitalier. Les Asariens sont devenus les maîtres de cette terre, ce nouvel Éden, les gardiens, veillant férocement sur leurs nouveaux disciples, leurs nouveaux troupeaux.

Ceci est l’histoire qu’aimait à me raconter mon père, pour m’endormir, lorsque j’étais petit. Aussi curieux que cela puisse vous paraître, aujourd’hui, à cette époque, jusqu’à bien des années plus tard, je n’ai jamais éprouvé de haine pour les Asariens, de goût pour la vengeance, l’affrontement. Mon univers, mon monde était ainsi fait. Les Asariens jouissaient du pouvoir, de l’argent, dirigeait notre monde, les humains eux, devaient travailler dur pour survivre, s’épuisaient dans des tâches, des métiers ingrats pour le seul bon plaisir de la caste dominante. Mais comment trouver cela anormale, lorsqu’on ne connaît que cela depuis sa naissance ? Ainsi était ma réalité, mon quotidien, ma façon de raisonner calquée sur cet environnement que je voyais quotidiennement, dans lequel j’évoluais sans cesse. Et cette histoire qu’aimait à me raconter mon père, n’était au final, qu’une légende, racontant ce monde qui fut le nôtre, jadis, en des temps anciens. Un monde, totalement abstrait pour moi, il va s’en dire.

Enfant, j’étais un petit garçon ouvert, comme tous les autres de mon âge, qui aimait à jouer dans les quartiers, rues du bidonville où je vivais. A force de le parcourir en long et large, j’ai très vite appris à le connaitre par cœur, mémorisant chaque coin, cachette, raccourcis, ruelles étroites ou autres moyens me permettant de me rendre sur les toits, les hauteurs de celui-ci. Un véritable labyrinthe mais aussi et surtout, terrain de jeux. Je ne saurais comment vous l’expliquer, ni même vous trouver l’origine de celui-ci, mais j’ai toujours eu un don, ou plutôt une capacité, celle de viser juste, tirer de loin. Drôle de capacité pour un enfant vivant dans les bidonvilles d’Asaria, il n’empêche que grâce à cela, je fus très vite populaire auprès de mes amis. Capable de toucher des boîtes de conserve à une distance assez conséquente, de détruire des lampes avec des cailloux, c’était pour moi à chaque fois un challenge, un défi à relever et j’adorais cela. Je ne peux expliquer ce talent, la façon dont je m’y prenais pour réussir les petits défis qu’on me lançait souvent, pour s’amuser, pour se tester.

J’ai toujours su prendre en compte et calculer la force, l’orientation du vent par exemple, prendre en compte les aspérités du terrain autour de moi, calculer le meilleur angle pour toucher ma cible. A vrai dire, ce fut toujours comme de l’instinct, c’est ainsi que j’aime à me l’expliquer. Pas besoin de réfléchir vraiment, de se faire mal à la tête pour anticiper, deviner, calculer non, tout ceci se faisait très naturellement, d’instinct donc presque. Il n’empêche que j’étais connu pour ce don auprès de mes copains. Le monde des adultes ne m’intéressait guère, je ne pensais pas véritablement à mon avenir. Bien sûr, j’étais conscient de la misère dans laquelle nous vivions, des difficultés que mes parents rencontraient au quotidien pour me nourrir, travailler, gagner un peu d’argent. En réalité, c’était plus de la survie qu’une vie ordinaire. J’étais au fait des tensions entre humains et Asariens et je me souviens des fois où il fallait que je me cache, avec ma mère lors des descentes, contrôles de la Milice, pour ne pas se faire embarquer comme tant d’autres. Ceux qui ne reviennent pas, qu’on ne revoit jamais, dont on n’entend plus parler, jamais.

Et puis ma vie bascula complètement ce fameux soir, gravé encore aujourd’hui dans ma mémoire, mon cœur, mon âme, marquée au fer rouge à tout jamais. J’avais décidé de jouer dehors, ne respectant pas le couvre-feu. Je me croyais assez malin pour éviter les patrouilles de la Milice, ne pas me faire surprendre par les vidéos de surveillance, être capable de braver l’autorité, l’interdit et les règles. Je me trompais naturellement lourdement, car si à aucun moment je ne pensais aux dangers alentour, à ma vie, ma sécurité, celle de mes parents ne m’effleura pas l’esprit non plus. Pourtant, eux pensaient à moi, à mon bien-être et, sans que je ne puisse le deviner, l’envisager, ils étaient sortis eux aussi, afin de me rechercher, bravant également le couvre-feu. Je retrouvais leurs corps au petit matin, chez moi alors que je rentrais enfin de mon escapade nocturne. Ce fut la dernière fois, en cette nuit, que j’éprouvais ce sentiment d’innocence, de naïveté, de bonheur. A partir de cet instant, mon cœur s’enferma dans un cercueil d’acier à tout jamais. J’étais seul au monde, on venait de prendre mes parents, ma famille, ma vie, mon enfance.

Je ne vais pas vous dire que je suis devenu aussitôt un tueur solitaire, une sorte de vengeur de l’ombre, opérant sous le couvert de la nuit et son obscurité protectrice, ce serait vous mentir. Pendant des semaines, je ne fus pas moins que l’ombre de moi-même, une âme errante dans les bidonvilles, sans but, sans avenir, seul. Ce sentiment de solitude qui m’emplissait, me submergeait, m’effrayait. Il était là, content, quotidien, permanent, me hantait jour et nuit, m’enveloppait dans cette étreinte froide, sordide. J’ai passé bien des journées et surtout des nuits, ne me nourrissant que peu, cherchant presque à mourir je crois au final, maintenant que j’y repense. Et puis, il y a eu cette nouvelle descente de la Milice dans mon quartier et comme toujours, l’injustice s’est faite maîtresse de cérémonie. Ils ont séparé des familles, enlevés des jeunes adolescentes, tués un père qui tentait de protéger son épouse, pour faire un exemple et c’est à ce moment précis que j’ai compris quel serait le nouveau but de ma vie : la vengeance.

Dès lors, j’ai passé chaque nuit à passer de toit en toit, à la manière d’un félin, épiant, observant, espionnant les membres de cette fameuse Milice, recherchant sans fin ceux qui m’avaient ôté mes parents, ma vie, mon enfance, mon innocence, ma joie de vivre. Moi qui n’avais jamais été une menace pour ce monde artificiel, pour ces Asariens, je me retrouvais à les traquer, les chasser. Il me faudra bien des années pour avancer dans mes recherches, l’aide de précieux alliés, comme ce hacker dont j’ai sollicité l’aide, les services, un dénommé Julian Marshall, qui pirata pour moi la base de données des vidéos surveillance placées dans le bidonville. C’est grâce à lui que j’obtins des images, des photos, les visages des assassins de mes parents et donc, mes futures cibles. Ainsi les jours, les semaines, les mois, les années ont passés, ainsi ma vie n’est devenue qu’un outil, mis au service de cette quête de vengeance, faisant abstraction de tout le reste.

Je venais d’avoir 22 ans si je me souviens bien, quand un ami de ma famille retrouva ma trace et finalement, réussit à me retrouver. Cet ami, me surveillait, observait depuis un moment et il vint à ma rencontre pour me proposer une autre alternative, un autre combat ou du moins, une cause plus saine à ce combat. Membre de la Rébellion, il me proposa de le rejoindre ce groupe de résistants, faisant face à l’oppression des Asariens, aidant les humains, tout en combattant la tyrannie du pouvoir en place, assurés par les Anciens. C’est ainsi que je fis mes premiers pas dans la Rébellion. N’allez pas croire que j’ai sauté de joie en incorporant ce groupe, ou groupuscule devrais-je dire plutôt. J’étais un solitaire, j’aimais agir à ma façon, selon mon idée, n’ayant aucunement l’habitude d’écouter des supérieurs, d’obéir à des ordres. Aussi, les premiers temps en cette organisation furent bien difficiles pour moi, pénibles également, aussi bien pour moi que pour mes chefs. Véritable loup solitaire, je préférais m’isoler et agir seul que de faire équipe, chose qui m’exaspérait profondément. Mais le temps aide à se construire, à mûrir, tout comme les nombreux entraînements, les formations qui me furent dispensées. Et petit à petit, ainsi, je devenais chaque jour un peu plus, un agent opérationnel. Je fus pris en charge par un mentor au début, comme élève, afin de le suivre dans des missions diverses et variées, apprenant mon futur art, qui n’était passé inaperçu pour personne naturellement, à ses côtés.

De nombreuses fois, j’ai été blessé et à chaque fois, j’ai pu recevoir les soins de la charmante Lia Walden, ma petite infirmière comme j’aime à l’appeler. Une femme douce, généreuse, avec un sourire d’ange, que l’on aime à apercevoir lorsqu’on se réveille, après une blessure douloureuse, une mission ratée ou difficile. Duncan Ramsey, l’un de nos chefs, ne m’appréciait guère lors de mon arrivée dans le mouvement. Et puis, avec le temps, je crois qu’il a commencé à voir en moi, un agent fiable, opérationnel, talentueux. Pas que je cherche à me vanter, je vous rapporte juste les dires de mon mentor, lorsqu’il me jugea apte à opérer seul enfin. J’étais devenu grâce à son aide mais aussi à celle de beaucoup d’autres, un tireur d’élite émérite, dangereux. Le temps passa ainsi. De ma vie d’adolescent, d’adulte, construite autour du goût pour la vengeance, en quête de justice froide et implacable, la Rébellion m’avait offert une nouvelle existence, une nouvelle raison d’être, un nouveau combat. Celui de protéger les faibles, de s’opposer contre les Asariens en les frappant vite et fort, à la manière d’une guérilla. Vivant au QG de la Rébellion, c’est ainsi que se voulait être ma nouvelle vie. Oh bien sûr, j’ai gardé mon côté solitaire et ma fonction de sniper me va parfaitement, comme-ci j’avais toujours été fait pour cela au final.

Je suis devenu plus tard Lieutenant de la Division des Opérations Externes, toujours en qualité de tireur d’élite, il va de soi. J’ai effectué de nombreuses missions, des assassinats, du renseignement, de l’observation. Je fus même amené à sauver la vie d’une jeune humaine, la pétillante Caitlyn Foster, que je considère depuis comme ma petite sœur. Et puis un jour, on me confia la mission de toute une vie, l’objectif ultime : une Ancienne. Ce fut un tir parfait, à une distance raisonnable. Loin de mon record personnel mais le but n’était pas là en ce jour. Sa tête au centre de mon objectif, de ma visée, j’ai pris tout mon temps, l’observant longuement, patiemment, ayant toute l’aisance de remarquer le teint de sa peau, son maquillage, la couleur de l’iris de ses yeux mais aussi cet air suffisant sur son visage, puant l’autorité, la richesse, la luxure. Et puis le tir est parti. Minutieusement préparé, les mouvements de ma cible anticipés, le coup atteint son but quelques secondes après son déclenchement cette tête pour y faire un gros trou. Le petit nuage rose comme on l’appelle chez nous, entre snipers. Esperanza Alvarez, Ancienne, Ministre de l’Éducation n’était plus. Un message fort, adressé au gouvernement d’Asaria. Jamais nous ne capitulerons, jamais nous ne nous rendrons. Aussi souvent que je serais en vie, il vous faudra songer au fait que, peut-être, en cet instant même, tapis dans l’ombre, je suis là, vous observant à travers ma lunette de visée, à une distance que vous n’imaginez même pas, mon doigt caressant souplement la détente de mon fusil de précision. Je vous observe, vous épie, vous guette, vous espionne, sans même que vous ne le sachiez. Et c’est moi et moi seul qui choisirais le moment, l’heure de votre mort. Prenez garde, vous êtes observés.




BEHIND THE SCREEN


PRÉNOM / PSEUDO : Mister K.
ÂGE : 31 ans.
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT NOTRE FORUM ? Par sa fondatrice.
FRÉQUENCE DE CONNEXION : Quotidienne.
MOTS DE PASSE ENVOYÉS A ? La Lumière.


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Phoenix
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Messages : 1551

Côté coeur : Secret

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MessageSujet: Re: Roy Cooper - One shot one kill   Roy Cooper - One shot one kill EmptyMer 25 Sep - 17:09



Félicitations
ta fiche est Validée !


Je suis définitivement Fan de ta plume Roy Cooper - One shot one kill 2577736060 

Tu connais la maison, je te laisse donc prendre tes marques Wink 

Asaria, sa cité et ses terres sauvages s'ouvrent désormais à toi !
J'espère que tu as bien pris connaissance de toutes les informations nécessaires, rempli ton profil et ta fiche de personnage (Informations complémentaires).
Je t'invite aussi à créer ta fiche de sujets et de liens ainsi qu'à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour le jeu.

Le flood et la Chatbox t'attendent aussi, alors n'hésite pas à nous rejoindre !

Très bon jeu à toi et au plaisir de te croiser sur nos terres de Prophétie !
Amuse-toi bien parmi nous !



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MessageSujet: Re: Roy Cooper - One shot one kill   Roy Cooper - One shot one kill EmptyMer 25 Sep - 19:17

ça commence à grouiller d'insectes ...
Va falloir écraser tout ces humains et très rapidement 8) 

*****

Bienvenue Mister Wink
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MessageSujet: Re: Roy Cooper - One shot one kill   Roy Cooper - One shot one kill Empty

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