Mackenzie Taylor || en construction

Invité

IDENTITY

Mackenzie Taylor
feat : Margot Robbie

Prénom : Mackenzie
Nom : Taylor
Surnom : #
Nom de Code : #
Age : 42 ans
Nature : Asarienne
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Métier : Gérante de la bibliothèque Centrale
Groupe : Jeunes Asariens
Date du SEER : #
Poste vacant / Scénario ? NON

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CARACTÈRE :
Le caractère nous différencie tous des uns et des autres. Il décrit notre nature et nos signes distinctifs. Le mien est assez facile à cerner. Je suis une « boute-en-train », toujours à parler, un vrai moulin à paroles. J’aime la bonne humeur et je suis très directe. Je n’ai pas ma langue dans la poche ce qui me vaut parfois des complications. Mais j’assume ! Parce que je vais au bout de ce que je pense sans faussetés ni mensonges. Et pour faire mon métier, il faut savoir faire passer la communication et les idées ainsi que la passion des livres. Autant dire que je n’arrête jamais sauf quand je dors !
Bien que ma vivacité puisse en contrarier et gêner certains, je ne suis pas d’une nature méchante. Je ne blesse pas par plaisir ni je ne cherche à me mettre à dos les personnes. On m’a déjà traitée de « grande gueule », et là aussi, je vous dirai que j’assume complètement. Me bâillonner m’insupporte comme ceux qui se laissent porter par notre société sans rien dire et subir.
Derrière cette personnalité haute en couleurs, vous trouverez, si vous y arrivez, une femme qui a énormément de cœur, fidèle en sa parole, charmeuse aussi et prête à aider ceux qui en ont besoin. Ma douceur et ma tendresse sont cachées, pas par peur, mais parce que ma vie est un vrai marathon et que je n’ai pas le temps pour mon jardin personnel.

POUVOIRS ou CAPACITES :
- Empathie (maitrisée parfaitement)
- Télékinésie (maitrisée parfaitement)
- Téléportation (moyennement maitrisée)

BIOGRAPHY

Je suis née le 12 janvier 2072, le même jour où ma mère donna son dernier souffle. Elle est morte en me mettant au monde. Toutes les transfusions de blood healer n’ont pas suffi pour stopper son hémorragie. Même les Asariens ont des faiblesses, et parfois notre organisme nous fait défaut. Nous avons beau être puissants, quasiment indestructibles, nous avons des failles et rien ne peut freiner cela. C’est mon père, Ryan Taylor qui m’éleva toute seule. Il avait 44 ans, et il se retrouvait à gérer un petit bébé qui braillait toutes les nuits. Oui ! Déjà, je me faisais entendre, et à ma façon ! Il fut aidé par deux esclaves qui me servaient de nounous quand il allait bosser. Il était, et il est toujours, responsable des agents comptables à la Davis Corp. Tower. Un papa peu présent qui bossait très dur pour arriver là où il est aujourd’hui et pour donner à sa petite fille une vie et une éducation sans soucis.

J’étais une enfant turbulente, agitée qui ne laissait jamais aucun répit aux deux esclaves, deux femmes qui entretenaient la maison et qui s’occupaient de moi. Je n’ai jamais vu mon père être violent avec elles, par contre, il levait très souvent la voix quand quelque chose ne tournait pas comme il le souhaitait. Mon monde était ainsi fait, sans me poser des questions, trop petite pour comprendre différemment. C'était comme cela que nous vivions tous. A l’école, j’étais toute aussi indisciplinée et les maitresses s’arrachaient les cheveux avec moi. Ce n’est qu’au collège que j’ai commencé à me calmer sans perdre pour autant mon mordant, au grand désespoir de mon père. Mais, même s’il me répétait sans cesse d’être moins « remuante », il ne pouvait rien dire sur mes notes. Je rendais chèvre mes professeurs parce que d’un côté, j’avais toujours des punitions à faire, et de l’autre, je faisais partie des bons élèves.

Mon père aurait voulu que je suive sa voie, mais les chiffres et moi, nous n’étions pas de bons amis. Et, je ne me voyais pas derrière un bureau à calculer l’argent des autres et à créer des comptes bancaire. N’ayant jamais perdu ma verve, je me dirigeais vers un cursus mieux adapté à ce que je désirai. Les années de fac se passèrent relativement bien, jonglant avec les sorties entre « potes » et mes cours pour enfin décrocher mon diplôme en 2098. J’avais 26 ans, et fière de pouvoir entrer à mon tour dans le monde du travail. J'ai commencé comme documentaliste à l'université même. J'occupais une place importante dans la bibliothèque et j'aidais, à mon tour, les étudiants.

BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM / PSEUDO : //
ÂGE : + 18 ans
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