I'm a slave for you

Invité

IDENTITY

Gabriel Alexander
feat : Julian Gabriel

Prénom : Gabriel
Nom : Alexander
Age : 24 ans
Nature :Humain
Orientation sexuelle : Hétéro
Métier : mécanicien et combattant
Groupe : Esclave
Poste vacant / Scénario ? NON.

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CARACTÈRE :
Fondamentalement, je suis quelqu'un de plutôt ouvert et curieux, j'aime apprendre et j'ai toujours mis un point d'honneur à me cultiver autant que possible. Bien que dans notre coin de pays l'apprentissage soit devenu complexe et uniquement possible grâce aux anciens, je m'étais mis en tête d'apprendre tout ce que je pouvais sur tout ce qui m'entourait et ainsi accumuler un savoir qui ferait de moi quelqu'un de spécial.
Je suis impulsif et je parle souvent trop vite, sans réfléchir, on me le reproche mais qu'importe. Je suis de nature fière, je ne me mets pas en avant et je déteste les gens narcissique mais je sais ce que je vaux et j'aime qu'on s'en rende compte.
Bien qu'étant fils unique, j'ai toujours pris énormément de plaisir à m'occuper des plus jeunes du village. Loyal et fidèle, les valeurs familiales sont pour moi d'une importance capitale tout comme celles de l'amitié. Pas franchement sentimental, je suis malgré tout sensible au contact et au langage corporel, je suis finalement plutôt passionné que romantique dans mes rapports avec les femmes, je suis passer maître dans l'art de la nuit torride mais je ne vaux rien quant aux repas aux chandelles.

NOTES PARTICULIÈRES :
Pour avoir participer à plusieurs combats clandestins, Gabriel possède plusieurs cicatrices qui ornent son corps à divers endroits.
Il a acquis au cours de ses années à se battre, un corps de rêve qui n'a jamais laissé de marbre les jeunes femmes.

BIOGRAPHY

Cela fait 24 ans que j’ai vu le jour, non pas dans la misère des bidonvilles mais au cœur du village humain. Bien que la pauvreté ait toujours été, et soit encore aujourd’hui le quotidien des miens, les terres sauvages nous apportent une liberté que rien ni personne, même les Asariens, ne peuvent nous arracher. Bien sûr, le mal est toujours tapi dans l’ombre. Combien de fois ai-je vu les Miliciens faire des descentes au village une fois que le soleil n’était plus un danger ni un obstacle pour eux ? Trop de fois à mon goût!!!
Mon père a toujours travaillé la terre et c’est grâce aux champs de culture que ma famille pu vivre d’une manière relativement correcte. Mon père revendait en partie les produits de son labeur sur les marchés de la cité, ma mère, quant à elle, faisait quelques travaux de coutures. Elle était réputée pour avoir des mains en d’or pour transformer des bouts de tissus en vêtements qui faisaient la joie des personnes qui lui passaient commande. Fils unique, j’ai toujours fait la fierté de mes parents. En grandissant, j’ai commencer à aider mon père aux champs, pour labourer et cultiver, à cueillir les légumes et les fruits suivant les saisons. Ma mère m’avait appris à lire et à écrire, une vieille dame qui était notre voisine, m’avait, quant à elle, appris à compter. Les anciens du village racontaient ce qu’était la vie d’antan, avant la pluie de feu, avant que les Asariens ne deviennent des Êtres diaboliques. Plus je grandissais et plus l’envie de franchir les dômes pour découvrir cette mégapole de haute technologie me séduisait, ma mère le savait car le lien qui m’unissait à elle était intense! Elle m'avait mis en garde, m'avait donné des conseils et avait tenté de m’ouvrir les yeux sur l’enfer qui se dessinait sous les immenses dômes en verre.

L’amitié et la loyauté ont toujours été des valeurs très importantes pour moi comme l’honneur et la famille. Des terres sauvages, de ces contrées libres et immenses, je connaissais tout, sur le bout des doigts. J’avais envie d’autre chose, voir cette noirceur qui caractérisait Asaria. Malgré les réticences de mes parents, je décidai, à l’âge de 21 ans, de partir du village pour aller m’installer dans les bidonvilles. C’était la découverte d’un nouveau monde! Mon père m’avait donnée l’adresse d’un vieil ami à lui qu’il croisait très souvent lorsqu'il allait vendre ses produits dans la cité, un ami qui pourrait, selon lui, m’héberger quelques temps pour que je puisse prendre mes marques là-bas. Il possédait un vieux garage et il me donna en effet l’occasion d’y travailler pour un petit salaire.

Faire le mécano, c’était sympa mais j’avais besoin d’autres choses. Les bidonvilles étaient marqués par des règles extrêmement excessives, imposées par le gouvernement! Notamment un couvre-feu, la patrouille de la Milice était continuelle. Mais c’était ce que j’aimais le plus au fond : outre passer ces règles merdiques. Tant et si bien qu’au fil des soirées que je passais à la taverne de l’enfer (petit pub pour nous humains), j’entendis parler d’un repaire clandestin nommé : l’Underworld. Personne n’y entrait facilement et surtout qu'il se murmurait que l’on devait posséder un mot de passe qui changeait très souvent pour éviter tout problème avec les autorités. Me battre pour de l’argent. C’était assez l’alléchant et cela me convenait.

Mes trois dernières années, je les ai passées à combattre sur le ring de l’Underworld. L’addiction des coups, de l’adrénaline, de voir mon adversaire au sol, d’entendre les voix qui me supportaient et me poussaient toujours à dépasser mes limites. Je n’ai jamais dit à mes parents ce que je faisais. J’ai fini par trouvé une petite piaule : un appartement pas très grand mais j’y avais l’eau et l’électricité, que demander de plus ? Avec les paris sur mes combats, je gagnais bien plus que mon petit salaire au garage que je gardais toujours. Je faisais chier les soldats mais j’évitais de trop me frotter à eux. Je n’avais pas le désir de finir ma vie au fond d’une cellule. Une vie tranquille jusqu’à cette nuit merdique…
Je revenais de l’Underworld. Le couvre- feu était largement dépassé et je savais qu’il me faudrait être discret pour ne pas me retrouver nez à nez avec des Miliciens. En me camouflant dans les ombres des ruelles, je me croyais à l’abri … C’était tout le contraire… Elle était là : princesse des Enfers à m’observer dans la nuit. La première chose qui me frappa à l’instant où je la vis ce fut ses prunelles intenses et ses lèvres carmines. Une démone. Une Succube qui ne comptait pas me laisser fuir. J’ai beau être fort, savoir me battre depuis plusieurs années, face à une Asarienne qui possède la même force que moi, voire plus, et ses pouvoirs, je ne pouvais rien faire. Elle me porta le coup de grâce en me frappant à la nuque, je perdis connaissance pour me réveiller quelques heures plus tard dans un luxueux appartement…

BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM / PSEUDO : //
ÂGE : + de 18 ans
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT NOTRE FORUM ? Ma maitresse
FRÉQUENCE DE CONNEXION : aussi souvent que possible
MOTS DE PASSE ENVOYÉS A ? La Lumière

Invité

De la chair fraiche...

Tu ne devrais pas te promener en sous vêtement, toi ... I'm a slave for you 2566232917

Invité

qui sait, peut-être que je le fais exprès maitresse I'm a slave for you 3386516835

^^

Invité

Tu joues à un jeu dangereux mon petit humain I'm a slave for you 2554793798

Invité

je crois avoir terminé Smile

Staff d'AsariaL

Félicitations
ta fiche est Validée !

Il y a un esclave qui va avoir besoin de toute son énergie

Asaria, sa cité et ses terres sauvages s'ouvrent désormais à toi !

J'espère que tu as bien pris connaissance de toutes les informations nécessaires, rempli ton profil et ta fiche de personnage (Informations complémentaires).
Je t'invite aussi à créer ta fiche de sujets et de liens ainsi qu'à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour le jeu.

Le flood et la Chatbox t'attendent aussi, alors n'hésite pas à nous rejoindre !

Très bon jeu à toi et au plaisir de te croiser sur nos terres de Prophétie !
Amuse-toi bien parmi nous !