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 (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]

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MessageSujet: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyMar 11 Mar - 15:20

Le début du RP  Arrow 

La vie était bizarre parfois. Vraiment étrange et compliqué. Si seulement tout pouvait être aussi simple. Elle avait trouvé sa vie morne, vide, sans chaleur aucune. Libre mais sans amour, sans rien. Elle avait vécue seule pendant si longtemps, sans l'aide de personne. Elle s'était toujours débrouillée pour se sortir des mauvaises situations. A force la solitude devenait lassante et on désirait autre chose au plus profond de son être, sans savoir réellement ce qu'on souhaite. Elle avait désiré une toute autre vie, même souhaité. Elle ne s'était pas douté un instant que son vœux allait se réaliser de la pire des scénarios possibles et imaginables. Avait-elle souhaité devenir l'esclave d'un Asarien, d'être son jouet? Jamais, mais le destin était imprévisible, et elle ne pouvait rien faire pour y changer. Elle devait se montrer forte, et tout faire pour se sortir de guêpier infernal.

Damien Stark. Ce nom lui était familier mais sans plus, mise à part quelques rumeurs qu'elle avait entendu au Diamond par les serveuses. Naturellement, elle avait déjà entendu le nom la société qui était assez connu dans la Cité de verre. Au début, elle n'avait pas fait attention à ce que disaient les rumeur sur son compte. Seulement qu'il aimait les femmes, les dominer et qu'il était un excellent amant. Ah oui, très dominateur, mais elle avait préféré arrêter d'en écouter davantage. Si elle avait su qu'elle allait finir entre ses mains, elle aurait été plus curieuse. Son cœur se mit à battre plus fort dans sa poitrine, sans montrer ses émotions dans une apparence calme. Elle se doutait bien ce qu'il comptait faire d'elle, mais elle osait espérer antérieurement que non. Elle n'était pas faite pour être le jouet sexuel d'un homme, elle ne supportait pas qu'on la touche. Il lui expliqua ce qu'il faisait dans la vie professionnelle. Un sourire avait naquit sur les lèvres de Damien alors qu'il posa son verre sur le comptoir du bar, il s'approcha d'elle un peu plus près, de plus en plus proche d'elle. Elle ne quitta pas ses yeux des siens tandis qu'il s'approchait d'elle, déglutissant avec difficulté. Il ne la quittait pas du regard non plus. Il affichait une expression terriblement arrogante, manifestait une totale confiance en lui, de son pouvoir sur elle. Pire encore, il le savait. Il contrôlait tout. Il se tenait devant elle. Il lui révéla qu'il savait plusieurs choses sur elle. Elle n'avait même pas remarqué qu'il levait sa main vers elle tant elle était concentrée sur autre chose, à commencer par l'incroyable beauté de l'Asarien. Une pointe d'angoisse la tenaillait. Elle fronça légèrement des sourcils, concentrée à le fixer et à écouter les paroles qu'il lui disait. Elle prit une brusque inspiration et le dévisagea, un peu ahurie et surprise. Il l'avait observée, et il avait pris toutes les informations sur son compte. Juste pour parce qu'il la voulait, elle. Il semblait avoir remarqué tout en elle. Il n'avait tort pour ses entraînements, bref, il avait raison sur tout. Il avait su la cerner. Elle le regardait, les yeux écarquillés, bouche bée. Bon sang, elle devait avoir l'air d'une idiote. S'il avait dans l'idée de la prendre de court, il avait réussi son coup. Elle avait les mains qui tremblaient, et sentit une goutte de sueur perler son front.

Elle n'avait jamais rencontré un homme de son genre, et il était le premier à la rendre incapable de parler, de répliquer comme elle le faisait avec les autres qui lui faisaient des avances au Night-club. Il possédait quelque chose en lui qui la rendait vulnérable. Fascinée, elle se rendit compte ce qu'il lui faisait au moment où il lui effleura la joue. Elle sursauta légèrement et son corps se raidit. Il la caressa doucement. Les joues de Evangéline s'empourprèrent. Mais qu'est ce qu'il lui prenait à la fin? Elle le laissait faire. Une vague de chaleur envahit son corps et machinalement, elle abandonna son visage à sa caresse. Elle était la première surprise de sa réaction. Il se montrait doux et délicat dans ses caresses. Elle ne quitta pas le regard, incapable de détourner le regard tellement elle se sentait fascinée, comme hypnotisée. Elle ne mordilla la lèvre inférieur, mal à l'aise par la situation tandis qu'il continuait à la caresser, glissant sa main dans sa chevelure, caressant sa nuque au passage dans un geste possessif. Il la touchait en lui déclarant qu'elle allait devenir son amante, lui expliquant son nouveau statut et tout ce qu'elle devait savoir désormais.Cette idée lui noua l'estomac, et une sorte de nausée s'empara d'elle. Sera-t-elle capable de coucher avec un parfait inconnu? Alors qu'elle ne sait jamais donné à un homme? Pire encore, pourrait-elle lui confier son corps, son être tout entier?


« Un corps pour votre plaisir...»


Murmura t-elle dans un souffle tandis qu'il la prenait dans ses bras, la pressant contre son corps ferme, musclé et chaud. Elle pouvait sentir sa chaleur à travers ses vêtements. Une décharge électrique lui parcourut les veines. Des ondes brûlantes remontèrent le long de son corps pour s'épanouir en une kyrielle de picotements aux endroits où il la touchait. Elle en avait la chair de poule. Elle ne pourra pas lui échapper, lui affirmait-il, et c'était à elle de choisir dans quelle condition elle voulait endurer sa nouvelle vie. Soit elle lui obéissait et elle ne vivra pas un enfer, soit...Elle ferma les yeux un instants et ses mains se posèrent machinalement, involontairement sur son torse, dont elle sentit la chaleur et ses muscles sous ses doigts. Elle se mordilla la lèvre à nouveau, rongée par le dilemme qu'il lui donnait. Soudain, elle se reprit et le repoussa de ses deux mains, s'arrachant à son étreinte. Elle recula sans le quitter du regard, les joues empourprées par la colère, mais aussi de honte, surtout. Elle s'en voulait, parce qu'elle avait failli s'abandonner à lui.


« Je ne suis pas faite pour ça. Vous avez posé votre choix sur moi alors que vous saviez que j'ai horreur qu'on m'aborde. Je ne supporte pas qu'un homme me touche et vous me voulez comme amante, comme votre jouet de plaisir...Vous avez vraiment mal choisi la personne, je ne suis pas celle qu'il vous faut. »


Elle déglutit à nouveau, les mains tremblantes, éprouvant une chaleur suffocante. Elle avait terriblement chaud. Malgré la colère qu'elle ressentait, d'autres émotions l'envahissaient. La honte, le dégoût d'elle-même, la peur, sa vulnérabilité, car elle avait compris qu'il pouvait faire d'elle ce qu'il voulait. Il la rendait sensible, vulnérable car elle avait ressentit quelque chose de fort sous ses caresses, dans ses bras. Elle en voulait plus. Que lui arrivait-il à la fin? Il pouvait la briser sans problème, il était le seul à pouvoir. C'était ça qui la rendait furieuse. Elle inspira profondément.


« Vous avez fait votre choix, très bien, mais je vous aurai prévenue. Je ne connais rien dans ce domaine. »


Elle détourna les yeux de son regard, fit descendre la fermeture éclair de son blouson et le retira, lui laissant découvrir sa tenue décontractée. Elle ne portait qu'un tee-shirt qui soulignait sa taille, sa poitrine. Elle leva les yeux pour le fixer à nouveau. Dans ce geste et dans son regard, elle lui fit comprendre qu'elle acceptait son sort mais elle s'abandonnerait pas à lui sans combattre. Elle posa son blouson sur un dossier d'un fauteuil, ne sachant pas où le poser.


« Quel est le programme de cette nuit? »



Dernière édition par Evangéline Zanders le Jeu 26 Mar - 18:30, édité 2 fois
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Damien A. Stark
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyJeu 13 Mar - 11:50

Chaque chose en son temps. C’était un adage qui me convenait très bien lorsque je regardais la jeune humaine que j’avais arraché à sa liberté. Je ne lui cacherai rien et j’avais fait en sorte d’énumérer les grandes lignes de ma vie et de mon quotidien. Tout ne pouvait pas être raconté en quelques heures, en une seule nuit et cela nous servirait de moments d’échanges. Mon bras ferme l’enveloppait et j’admirai avec une certaine fascination ses réactions toutes aussi contradictoires les unes que les autres. Elle menait un combat contre elle-même. Farouche humaine qui ne se laissait dicter aucun ordre par personne. Et si l’idée d’appartenir à un Asarien la dégoutait au plus haut point, la caresse de ma main sur sa peau, les frissons qui naissaient sous mes doigts se voulaient plus éloquents, plus convaincants. Ses joues prenaient une coloration gracieuse d’un rouge qui lui allait à merveille mais à mon plus grand mécontentement, elle se libéra de son étreinte dans un geste vif. J’inspirai calmement devant sa colère qu’elle m’exposait tout en buvant mon verre. Je ne la quittais pas des yeux et toutes les informations qu’elle me donnait me révéler un aperçu de sa vraie nature. Ainsi, elle n’avait jamais gouté aux plaisirs de la chair dans les bras d’un homme. Quoi de plus plaisant de lui faire découvrir ce genre de passions et de la façonner suivant mes désirs. «Tout s’apprend Evangéline. Je serai ton guide, ton maitre. Je ferai de toi une femme accomplie et assouvie. Je te le répète, je ne suis pas brutal ni violent tant que l’on ne m’y pousse pas. Montre-toi douce et délicate, et j’en ferai de même. Montre-toi désobéissante et arrogante, et tu découvriras une autre facette de moi. » Les bases étaient posées et dictées. La balle était désormais dans son camp. Tous mes prochains actes seraient provoqués et inspirés par son comportement face à moi. Homme de gout, j’admirai son corps qu’elle me dévoila en retirant son blouson. Je l’imaginais déjà habillée de voiles et de dentelles, ondulant de ses hanches contre moi. « Il se fait tard Evangéline, et je vais te montrer ta chambre et la salle de bain. Demain, nous choisirons ensemble ta nouvelle garde-robe. Exit les blousons et les pantalons, je te veux uniquement en jupe ou en robe, une façon pour moi de te prendre lorsque j’en aurai l’envie, de te posséder dès que le désir tiraillera mes reins. »  Je posais mon verre sur la table, l’invitant à me suivre à l’étage. Je montais les marches, longeant un couloir qui donnait sur plusieurs portes pour le moment toutes fermées. La salle d’eau se trouvait tout au bout.  Une pièce spacieuse que j’allumais et dans laquelle se trouvaient une grande baignoire et une douche. « Tu trouveras un peignoir de bain et des serviettes dans l’armoire. Les gels douches sont sur cette étagère. Déshabille-toi … dévoile-moi ton corps, laisse- moi apprécier en apprécier chaque parcelles de peau. »  Un ordre sans aucune once d’animosité. Je me calais contre le mur, les bras croisés. Son corps m’appartenait dorénavant et je voulais le découvrir. Mais Evangéline interloquée par ma demande reste figée, sans voix. Un instant, je ne fis rien que de plonger mon regard dans le sien avant de m’avancer et de la contourner pour me placer dans son dos. Mes doigts glissèrent sur ses hanches, attrapant le revers de son tee-shirt que je retirai lentement découvrant ainsi sa peau laiteuse. Elle se laissa faire et mes doigts crochetèrent l’agrafe du soutien-gorge qu’elle ôta toute seule. Je restais dans son dos me plaquant plus indécent contre elle, mon bassin contre ses fesses. Mes mains emprisonnèrent ses seins que je malaxais tout doucement, savourant leur fermeté et  leur galbe ainsi que leurs petites chairs qui se dressaient sous mes doigts joueurs. « Réceptive… J’aime qu’une femme soit sensible à mes caresses. Ta peau est douce, tes seins sont magnifiques … » Je la laissais reprendre ses esprits alors que je m’attelais à défaire son jean  que je fis glisser le long de ses jambes. Ma main se pose sur son ventre pour l’attirer contre mon torse. Mon autre main s’invita docilement sous le tissu fin qui me cachait sa féminité. Mes doigts effleuraient sa peau tendre et sensible. « Déjà brulante pour moi. Quels délices infinis m’offres-tu là Evangéline … » Je soupirai à son oreille, grognant alors que j’insistais sur sa petite perle sensible. Et soudain je m’arrêtais car ce n’était pas ainsi que je désirai lui faire découvrir le sexe et  ses folies. « Prends ta douche et rejoins-moi au salon. Tu as tout ton temps. » Je mordillais le lobe de son oreille avant de la relâcher et sortir rapidement de la salle de bain. En quelques minutes, son corps chaud contre le mien avait éveillé ma faim d’elle, et elle avait pu ressentir  mon désir contre ses fesses. Je descendis les escaliers, rejoignant la cuisine pour lui préparer un chocolat chaud. Pas de caféine pour son organisme à une heure aussi tardive.
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyJeu 13 Mar - 20:03

Cet Asarien, désormais son maître posait sur elle un regard d'une brûlante intensité. Il n'était pas d'une beauté classique. Des traits rudes, accentués, des pommettes saillantes. Une bouche dont le pli sévère ne parvenait pas à gommer l'évidente sensualité. Mais ce furent ses yeux qui la rendaient vulnérable. Le regard ardent d'un homme qui se sait vainqueur. Un homme qui désire la femme devant lui. ils étaient d'un noir de jais, à demi voilés par ses paupières, avec quelque chose d'envoutant, de virilité. Elle déglutit avec difficulté, sentant les battements de son cœur s'accélérer. Il fit glisser ce regard le long de son corps comme s'il distinguait sa chair à travers son vieux jean, son tee-shirt, et ses sous-vêtements. Il évaluait audacieusement ses formes, tel un capitaine de pirates ou d'un seigneur, contemplant une captive sans défense...avant de l'entraîner dans sa cabine pour s'amuser avec elle. C'était tout comme en réalité. Un Asarien avec son esclave, innocente de surcroit. Ce qui n'empêcha pas son imagination de s'échauffer sur cette métaphore de piraterie, au point de gommer le costume pour l'affubler d'une chemise à jabot et d'un pantalon corsaire qui mettrait en valeur ses...attributs virils. C'était parfaitement ridicule, elle lisait trop de livres. Elle détourna son regard, sentant le rouge lui monter aux joues, gagnée par une sorte de panique. Elle ne se reconnaissait plus. Son regard la parcouraient toute entière, aussi puissamment que des mains possessive. Elle prit une profonde inspiration, sans quitter des yeux l'homme magnifique qui lui faisait face. Oui, il était super sexy. Il était aussi sûr de lui, arrogant et Dieu, elle ne pouvait s'empêcher de frissonner, et d'apprécier ce qu'elle voyait malgré le fait qu'elle ne voulait pas ce genre de relation. Que ça soit un Asarien ou un humain. Ce qui la dégoûtait, c'était le contact physique des hommes sur sa personne.

Il lui posa ses conditions de sa nouvelle vie auprès de lui. Les nouvelles bases. C'était à elle de décider si elle voulait vivre agréablement avec lui ou vivre dans un enfer. Elle se passa la langue sur les lèvres, puis hocha la tête pour lui faire comprendre qu'elle avait saisie les données...Et qu'elle les acceptait pour le moment. Elle n'avait pas tellement le choix. Elle ne voulait pas que sa première soit catastrophique, déjà qu'elle savait que c'était douloureux. De toute façon, elle allait perdre son innocence, alors que ça soit en douceur et non en violence comme il semblait lui faire comprendre dans ses paroles. Il voulait être doux et délicat avec elle du moment qu'elle lui obéit en tout. Certes, elle allait avoir du mal car ce n'était pas vraiment son tempérament, mais Damien lui faisait changer étrangement de comportement. Il avait une totale emprise sur elle, sur son corps, son esprit, et elle était paniquée.


« Très bien, je ferai ce que vous voudrez.


Murmura t-elle dans une voix douce et ferme, résolue à masquer son inquiétude dans sa voix, sur son visage, mais elle savait qu'il lisait en elle comme un livre ouvert. Elle n'arrivait pas à se fermer à lui. Sans doute qu'elle était trop épuisée? Un peu de ça certainement mais elle se doutait bien qu'il y avait bien plus et Damien en était la cause première. En cet instant, elle s'imagina ce que ce serait que de lui appartenir. Elle le verrait nu. Il la toucherait, poserait ses mains et sa bouche sur son corps. Elle frissonna de la tête aux pieds. Il lui déclara par la suite qu'il se faisait tard et qu'il allait lui montrer sa chambre et la salle de bain. Sur ces mots, une lueur d'envie vient s'allumer dans le regard de la jeune humaine. Une douche...Elle aimerait tellement en prendre une. Elle sentait affreusement l'odeur de la cigarette, et elle prenait toujours une douche en rentrant de son travail. Ce qui suivit ne lui plaisait pas tellement. Elle n'était jamais à l'aise avec des robes et des jupes. Elle en mettait juste pour son travail. Elle ferait en sorte de mettre des pantalons quand elle le pourra, pendant son absence.


« Et les sous-vêtements, j'ai le droit d'en mettre?


Demanda t-elle avec une pointe de sarcasme dans la voix. Elle n'avait pas pu s'en empêcher. Les derniers mots prononcés par Damien la hantèrent tout le long du couloir. Il comptait la prendre autant qu'il le voulait et n'importe quel moment. Elle le suivit, plongée dans ses pensées jusqu'à ce qu'il lui ouvre une porte, lui montrant la salle de bain. Elle pénétra à l'intérieur en gardant le silence, en alerte. Elle balaya la pièce spacieuse d'un regard, attentive à ses paroles. Elle était spacieuse et luxueuse tout en restant classique et moderne.

Elle se tourna vers lui mais se figea soudainement. Elle le dévisageait, yeux écarquillés, surprise et bouche bée. Elle était en plus figée sur place, incapable de bouger un millimètre. Elle n'arrivait pas encore à réaliser qu'il lui avait vraiment ordonné de se déshabiller devant lui. Cet ordre vint lentement à la surface de son esprit. Elle passa le bout de sa langue sur ses lèvres, et ravala sa salive. Elle avait la gorge nouée et les mains tremblantes. Elle se sentit terriblement vulnérable, comme si elle venait de se livrer de la façon de la plus brutale qui soit, comme si ses paroles l'avaient totalement dénudée. Il ne la quittait pas du regard et elle non plus, jusqu'à ce qu'il décide de s'approcher d'elle, se plaçant derrière elle, collant son corps contre le sien. Elle inspira profondément au moment où il lui enleva son haut, et ferma les yeux en baissant légèrement sa tête en avant. Une fois l'attache défaite, elle retira son soutien-gorge et le laissa tomber à ses pieds. Elle réagissait comme si elle n'avait pas conscience de ce qu'elle faisait. Figée, le corps raidi comme les cordes d'un violon, elle le sentit épouser son corps avec indécence. Son bassin contre ses fesses et quelque chose de dure qui pointait contre sa peau nue, comme si il voulait la pénétrer. Elle rouvrit soudainement des yeux en comprenant que c'était sa virilité. Oh bon Dieu! Heureusement qu'il ne distinguait plus son visage, il était sans aucun doute cramoisi. Ses joues étaient brûlantes. Elle avait honte de ce qu'elle ressentait. Elle ferma les yeux, appréciant malgré elle les délicates caresses  qu'il lui procurait en malaxant ses seins. Les gestes, ses mouvements étaient infiniment doux. Son corps la trahissait. Les pointes de ses seins se durcissaient sous les doigts expert de son maître. Elle ne pouvait rien faire pour les empêchait de réagir sous ses caresses. Son corps voulait ses caresses même si son esprit ne voulait pas. Tout était contradictoire chez elle. Elle referma les yeux en sentant la chaleur de son souffle chaud sur sa peau, lui murmurant des paroles au son rauque au creux de son oreille. Un soupire qui ressemble plus à un gémissement étouffé s'échappa des lèvres de l'humaine. Son pouls s'accéléra quand il lui retira son pantalon, le faisant descendre jusqu'à ses jambes et se mordit la lèvre inférieur en sentant sa main se glisser sous le tissu qui cachait sa précieuse féminité. Elle inspira une nouvelle une bouffée d'air et ferma les yeux. Son corps trembla sous le sien, sous le doigté de ses doigts sur l'endroit centrale du plaisir. Elle gardait les jambes plus ou moins fermées mais il avait réussi à s'y glisser. Une dose d'adrénaline se répandit dans ses veines, menaçant de la submerger, tant elle était agitée d'émotions contradictoires. Du plaisir. De l'impatience. De la peur. De la terreur même. Elle était choquée par ses caresses, sa main entre ses cuisses. Sa respiration devient rauque et un son, presque un faible grognement, monta dans sa gorge, mais Damien s'arrêta ses caresses en lui murmurant de prendre sa douche et de le rejoindre au salon pour la suite.

Les yeux fermés, elle resta figée sur elle, tandis qu'il se détachait d'elle, emportant la chaleur de son corps avec lui. Elle avait affreusement froid soudain et elle était seule dans la salle de bain. Elle enjamba le pantalon qui était tombé sur ses jambes et le poussa plus loin du pied avant de retirer sa culotte blanche qui fit le même chemin que l'autre vêtement. Elle tourna les robinets de la douche. Quand l'eau fut chaude, elle entra dans la douche. Elle s'étira et laissa la cascade brûlante dénouer ses muscles. C'était tellement bon d'être enfin sous de l'eau chaude. Elle versa du shampoing dans sa paume et tandis qu'elle se massait les cheveux, elle laissa vagabonder son esprit vers son maître, imaginant les implications des futurs événements. Elle resta un long moment sous la douche. Une fois terminé, elle s'enroula d'une serviette au passage et commença à se sécher. Le corps et les cheveux séchés, elle enfila le peignoir de bain qui était un peu grand pour elle mais elle n'avait rien d'autre, et elle ne pouvait remettre ses vêtements sales. Elle noua la ceinture assez serré pour cacher au maximum son corps dont le peignoir l'envelopper entièrement, déjà qu'elle était nue sous ce tissu et coiffa sa longue chevelure avant de l'étaler sur son épaule droite. Elle observa un instant son reflet dans le grand miroir, et soupira en laissant en place son petit médaillon en forme de cœur autour de son cou. Elle était calmée mais elle avait peur de ressortir et d'aller le rejoindre. Elle était restée très longtemps dans cette salle de bain, une demi-heure presque et il devait surement l'attendre. Elle était fin prête mais mentalement, ce n'était pas trop ça. Elle devait empêcher son corps de réagir de la sorte sous ses caresses. Elle le pouvait avec de la volonté et de la détermination, n'est ce pas? Elle en doutait fort et il ferait tout pour qu'elle réagisse, qu'elle soit réceptive. La crampe au ventre, elle mets ses vêtements dans la corbeille à linge et sortit enfin de la salle de bain, pieds nus, pour retourner au salon pour le rejoindre. Quelques minutes plus tard, elle pénétra dans le salon et le vit, alors qu'il l'attendait patiemment. A sa vue, elle sentit son cœur battre à tout rompre. Que Dieu lui vienne en aide...Elle croisa son regard, et leva son menton dans un air de défi avant de pénétrer dans la pièce. Elle marcha quelques pas avant de s'arrêter.
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Damien A. Stark
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptySam 22 Mar - 14:48

Je laissais sa dernière question en suspens, ne répondant pas au trouble que j’avais causé et suscité en elle. Elle porterait des sous-vêtements, peut-être pas tous le temps, tout dépendrait de mes envies et de mon humeur. Mais lui révéler mon état d’esprit aussi vite serait me priver de ses réactions insolentes. J’avais entre- perçu la petite pointe de sarcasme qui était née dans ses mots. Elle apprendrait aussi à éviter ce genre de réponse si elle ne voulait pas encourir mon courroux et se retrouver véritablement avec son statut d’esclave à implorer mon pardon. Pour le moment, je la laissais seule dans la salle de bain après avoir découvert très agréablement les charmes cachés de cette jeune femme. Non seulement, elle était vierge d’après ce qu’elle avait pu laisser entendre dire et de plus elle possédait un corps délicieux que je façonnerai pour moi. Evangéline se comportait comme un garçon manqué, dissimulant sa beauté derrière des tee-shirts et des jeans qui ne la mettaient pas en valeur. Dorénavant, elle apprendrait à s’habiller autant pour moi que pour elle. Je ne pouvais imaginer une femme, quelle que soit sa race, sans sa beauté. Elle allait devoir faire beaucoup d’efforts à ce niveau-là et accepter son corps. Je sortis de la salle de bain, redescendant dans le salon tout en réfléchissant au reste de cette nuit qui était fort bien avancé. Je me resservis un autre verre, écoutant enfin l’eau de la douche couler. Peu d’Asariens auraient laissé leur esclave tranquille tout en la sachant nue sous ce jet d’eau mais braquer Evangéline n’était pas la bonne méthode. Ce qui ne voulait pas dire que je lui laisserai faire ce qu’elle désirait ni qu’elle aurait le dernier mot avec moi. Non, je voulais qu’elle comprenne que je n’étais pas un malade ni encore moins un homme imbu de sa personne qui cherchait par tous les moyens à asseoir sa puissance face à une esclave. Ainsi était la vie en Asaria, dans cette cité que les Anciens avaient fondée pour notre sécurité, protégée par des immenses dômes de verre pour éviter les rayons mortels du soleil. Les humains nous devaient le respect et la vie, et prendre un esclave à mon service était dans l’ordre des choses. La main contre la vitre de la fenêtre, j’imaginais les prochains jours avec elle tout en savourant l’alcool qui se déversait dans ma gorge. La confiance serait le maitre mot de notre relation et si jamais elle tentait quoi que ce soit envers moi, elle le paierait très cher. Voilà comment je voyais notre relation et notre quotidien. Sa  traitrise pourrait lui couter énormément mais je voyais en Evangéline, une femme passionnée et intelligente. J’étais certain qu’elle ne me décevrait pas.

Plus d’une demi-heure après, alors que j’étais plongé dans des documents pour ma prochaine réunion, installé dans le divan, elle arriva dans le salon, revêtue seulement d’un peignoir. Ses cheveux humides ondulés sur ses épaules. Malgré la fatigue qui se lisait sur son visage, la douche lui avait redonné des couleurs plus agréables. Je refermais la pochette la posant sur la table basse. « Je t’ai préparé un chocolat chaud et des brioches. Ne me dis pas que tu n’as pas faim. Tu manges. C’est un ordre. » J’avais en horreur toutes ces femmes maigres sans aucune courbe généreuse, un corps sans vie alors qu’une femme, Asarienne et humaine, représentait pour l’homme que j’étais, la douceur et la volupté. « Tu vas devoir prendre quelques kilos. Je te veux plus féminine. J’aime pouvoir honorer une femme dont les courbes sont de vraies tentations. Viens par ici ! Assied-toi. »   Je me levais du canapé pour la laisser tranquillement manger sans qu’elle puisse craindre ma présence à ses côtés. « Demain, je ferai venir la responsable d’une grande marque de vêtements et sous-vêtements Nous choisirons ensemble tout ce que tu porteras dorénavant. Je lui demanderais de nous apporter tout un panel des dernières créations voir même des exclusivités qu’elle garde souvent pour des clients VIP. Je ne veux plus que tu portes des jeans ou des tee-shirts comme je te l’ai déjà dit mais exceptionnellement cette nuit, tu dormiras avec l’un des miens puisque tu n’as pas encore de nuisettes. Oui, tu dormiras avec de la lingerie fine sur toi. Je t’apprendrais à avoir conscience de ton corps et de ta beauté. » Je rangeais mes dossiers dans ma mallette ainsi que ma tablette. Appuyé près de la cheminée, j’observais la jeune femme et ses réactions. « Ce soir, tu dormiras dans ta chambre que je te montrerai dès que tu auras terminé ton petit encas. Tu vas pouvoir te reposer et souffler un peu. Je n’ai pas l’intention de précipiter les choses avec toi. Je préfère te voir en pleine forme que sur la défensive. »

Durant plusieurs minutes, je disparus du salon, enclenchant le code de la sécurité de la villa, fermant portes et fenêtres, avant de revenir auprès d’elle. Je déboutonnais le col de ma chemise ainsi que les manches  tout en lui parlant. « Laisse le plateau ici, demain, il fera jour. On va monter à l’étage et je te montrerai ta chambre. Je te donnerai aussi un tee-shirt pour la nuit. »  Sans ajouter autre chose, je montais les marches  avec Evangéline qui m’avait suivie. Elle avait vu où se trouvait la salle de bain, maintenant, je lui faisais découvrir ma chambre dont j’allumais la lumière. « Ma chambre, celle que tu partageras le plus souvent avec moi. »  Je pris dans l’armoire un tee-shirt que je lui tendis. « La tienne est juste à côté. »  J’ouvris la seconde porte qui donnait sur la chambre qu’elle occuperait. Elle était grande, des couleurs claires et pastels l’illuminaient même si à la lueur du jour, la pièce serait encore plus belle. Un grand lit, une armoire, une table de nuit, une commode et un petit bureau avec une étagère. « Tout ceci est à toi. Si tu veux changer la décoration et les meubles, nous le ferons. Je te souhaite une bonne nuit Evangéline. Demain la journée va être chargée. »  Je l’embrassais sur le front attendant de voir si elle avait quelque chose à ajouter.
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyDim 4 Mai - 17:40

Dès le départ, dès la première fois qu'elle ait posé son regard sur cet Asarien, Evangéline avait eu l'intuition que fréquenter Damien ne serait pas une bonne idée. Hors, elle n'avait pas cherché à se mettre à travers de sa route, bien au contraire, il l'avait délibérément privée de son ancienne vie. De sa liberté, par simple caprice d'un Asarien qui voulait une esclave sous sa main, sous ses ordres. Pour son bon plaisir personnel. C'est à croire qu'il n'arrivait pas à trouver des femmes, des humaines consentantes pour le plaisir de la chair et autres. Et pourtant, elle savait parfaitement que ce n'était pas le cas, bien au contraire. Les serveuses du Diamond par exemple, elles sont attirées par ce bel spécimen masculin comme des abeilles autour d'un pot de miel. Il n'a que l'embarras du choix et il avait posé son dévolu sur une jeune femme rebelle. Elle. Les hommes étaient autant compliqués et mystérieux que les femmes, constata t-elle avec perplexité. Il était déroutant et ce simple fait, le rendait dangereux à ses yeux. Elle avait compris que la situation lui échappait complètement chaque fois qu'il la regardait avec cette lueur énigmatique dans ses yeux sombres. Ne l'avait-il pas lui même avertie, subtilement d'ailleurs, qu'il était un homme dangereux? Dangereux si elle le trahissait ou qu'elle ne lui obéissait pas. Il n'avait pas besoin de le lui dire. Il était dangereux, pour elle, pour sa vie, et surtout pour sa santé mentale. Elle en avait la preuve en constatant comment son corps la trahissait, réagissait à son contact. Ainsi que son esprit, elle ne se comportait pas normalement avec Damien. Elle se sentait plus vulnérable, et à fleur de peau. Elle ne pouvait pas manquer de remarquer de la façon qu'il la regardait. Il la dévorait du regard comme si elle représentait son dernier repas. Avec envie, comme un prédateur se délectant d'avance de sa délicieuse et précieuse future proie. Elle le voyait en effet comme un prédateur. Il semblait calme, patient, intimidant, sur de son pouvoir et arrogant mais sous ce masque, c'était bien une toute autre histoire. Il suffisait une rébellion, une traitrise ou autres pour faire tomber le masque, et d'enserrer ses serres acérés sur sa prise sans défense.

Evangéline demeura un moment immobile, campée sur le sol, pieds nus, à même la moquette du salon et le dévisagea tandis qu'il était installé sur le divan, levant son visage du dossier pour la regarder. Il la regardait tranquillement mais elle, elle n'était pas tranquille. Elle resta silencieuse et se mordit légèrement sa lèvre inférieur. Elle ne savait comment se comporter. Qu'est ce qu'elle devait faire? Que devait-elle dire? Rien et se soumettre? Très peu pour elle mais il avait désormais tout pouvoir sur elle, et rien de ce qu'elle pourrait faire pour changer cela. Elle était à lui, même si cela lui déplaisait. Sa vie était entre les mains de Damien, et tout dépendait de son comportement à elle. Allait-il lui retirer son peignoir, la mettre à nue et la prendre à même sur le sol ou le canapé? Elle en frissonna de panique mais aussi d'excitation, ce qui l'étonna grandement. Crispée et silencieuse, elle le regarda poser sa pochette sur la table basse sans la quitter du regard. Quand il commença à parler, elle finit par poser son regard sur le plateau sur le côté, posé sur la table basse. Accaparée du regard par son maître, elle ne l'avait remarqué. Elle saliva en voyant la tasse fumante et les brioches qui avaient succulentes. Elle sentit son ventre gronder légèrement. Il criait famine et c'était normal, son dernier repas remontait qu'en fin d'après midi avant de prendre son service au club. Et elle était une bonne mangeuse, et ne se priver jamais de nourriture. Si elle le pouvait, elle mangerait sans arrêt, tout le long de la journée. A la voir aussi menue, on ne la croirait pas, c'est évident mais c'était la vérité. Elle gardait toujours sa silhouette svelte même après tout ce qu'elle dévorait. Peut-être qu'elle était constamment en activité. Maintenant qu'elle n'a plus de travail, et qu'elle allait vivre auprès de Damien, cela risquait de changer. Elle n'appréciait pas tellement lorsqu'il lui déclara qu'il la trouvait trop mince et qu'elle devait manger davantage. Elle ne dit rien, préférant se taire. C'était plus raisonnable. Surtout quand il lui dit qu'il préfère honorer les formes bien féminines. Toujours campée, elle lui jeta un regard dont une lueur brûlante s'alluma, mais elle ne peut s'empêcher de rougir. Elle sentit le rouge lui monter aux joues. Elle se détestait pour ne pas pouvoir se contrôler émotionnellement face à lui.


« Je ne vais pas vous contredire, j'ai réellement faim. »


Elle ne dit rien d'autre, c'était préférable. Elle s'était tournée la langue plusieurs dans sa bouche avant de parler, au lieu de lui lancer une réplique qui ne lui aurait pas certainement pas plu à cet Asarien. Son maître. Elle avait du mal à se faire à cette nouvelle situation. C'était bien réel. Elle s'approcha et finit par s'asseoir sur le canapé, près de lui mais il se leva. Elle baissa le regard sur le plateau, et une odeur de chocolat lui effleura délicieusement les narines. Sans demander son reste, elle commença à manger, savourant la saveur des brioches dans sa bouche et du liquide chaud chocolaté. Elle se remplissait le ventre. Elle se régalait. Elle ne mangeait pas, elle dévorait mais avec de bonnes manières. Elle sentait son regard sur elle, qu'elle s'efforça d'ignorer mais elle écouta les paroles de Damien. Il lui expliqua le planning de la journée de demain. Elle faillit d'avaler de travers un morceau de brioche sur les dernières paroles de son maître, et elle toussa un peu.  Elle le regarda à nouveau alors qu'il rangeait ses dossiers, et elle referma un peu plus le peignoir quand il se tourna à nouveau vers elle.  Il l'observait, attentif, adossé à la cheminée, et elle se sentit idiote. Il reprit la parole et elle ne put soupirer de soulagement en comprenant qu'elle allait pouvoir dormir, seule et qu'il n'allait pas exercer son pouvoir et son dominance sexuelle sur elle cette nuit. Elle allait pouvoir souffler un peu, avant le moment fatidique. Silencieuse, elle reprit de manger, et boire sa boisson chaude tandis qu'il quitta le salon pour revenir plusieurs minutes plus tard. Elle avait fini de manger et commença à ranger mais elle s'arrêta au moment il lui dit de laisser le plateau. Elle se leva du canapé et le suivit jusqu'à l'étage tandis qu'il l'amenait à sa chambre, à lui et bientôt à elle quand elle dormira avec lui. Gênée, elle glissa son regard sur le grand lit qui trônait dans la pièce. Il était immense et elle allait se retrouver dans ce lit avec lui, bientôt...Elle frissonna, et détourna le regard pour se tourner vers son maître qu'il lui tendit un tee-shirt pour la nuit. Elle le prit doucement, et le remercia. Elle découvrit enfin sa chambre, suivant Damien à l'intérieur. Elle fut charmée par le décor de la chambre malgré que la lumière jour n'était pas présente. C'était une belle chambre spacieuse, où trônait un grand lit. Une chambre dont toutes femmes seraient ravies d'avoir. Elle posa le tee-shirt au pied du lit, et se tourna vers son maître qui était tout près d'elle. Elle ferma les yeux sous le baiser qu'il lui donna sur son front pour lui souhaiter une bonne nuit. Elle s'humecta les lèvres et le regarda, mal à l'aise.


« Merci. Je vous souhaite une bonne nuit également. »


Rien d'autre, elle n'avait rien d'autres à dire. Elle était fatiguée et n'avait qu'une envie, c'était se pelotonner au fond de ce lit qui avait l'air bien douillet. Il la laissa enfin, fermant la porte derrière lui et elle put remarquer qu'elle ne pouvait pas fermer la porte à clé. Sage décision de la part de son maître, mais malheureusement pour elle. Elle soupira et dénoua le peignoir et le quitta avant de le poser sur le dossier d'une chaise, enfilant le tee-shirt. Il était très grand pour elle, elle y nageait et il lui arrivait mi-cuisses. A peine allongée au milieu du lit, sous la couette, elle s'endormie profondément. Damien pouvait venir la voir, faire du bruit, la toucher, elle ne risquait pas de se réveiller.  Perdue dans le néant, elle essayait tant bien que mal de refaire surface. Elle émergea avec la plus grande difficulté du sommeil dans lequel elle n'en finissait pas de replonger, à la manière de sables mouvants qui retiennent leur proie malgré elle. Evangéline ouvrit les yeux, clignant deux trois fois les paupières avant de s'habituer à la petite clartée qui traversait la chambre malgré les volets fermés. Elle fronça des sourcils en regardant autour d'elle. Dans un petit mouvement souple, elle se redressa, laissant glisser la couette sur elle. Où était-elle? se demanda t-elle, avant de se rappeler. Ce n'était pas un cauchemar mais la réalité. Elle demeura un long moment allongée au bord du lit dans la clarté de la chambre qu'elle occupait depuis hier, plongée dans ses sombres pensées. Si quelqu'un était maudit plus que quiconque sur cette planète, c'était bien elle, se dit-elle, avec un soupire affligeant. Evangéline apprit à examiner les faits froidement, si irréels et dénués de fondement qu'ils parussent sur le moment. Elle savait que l'intelligence ne suffisait pas à rendre compte de tout. Parfois, une logique supérieur était à l'œuvre, qui dépassait les limites de la compréhension humaine. Aucun sens. Bien que la situation dans laquelle elle se trouvait fût parfaitement illogique et complétement improbable, elle ne pouvait nier le témoignage de ses sens. Le monde avait bien changé, et l'esclavagisme était revenu...

Elle ne savait pas quelle heure il était, mais elle se décida de se lever. Elle se leva du lit, et s'étira de tout son long en levant les bras au-dessus de sa tête, en gémissant. Elle passa sa main dans sa longue chevelure désordonnée pour les mettre en arrière. Elle n'osa pas ouvrir la porte adjacente à la chambre de Damien. Elle se demandait si il dormait encore ou pas. Elle préféra sortir de la chambre de l'autre porte amenant au couloir. Elle sortit de la chambre en silence, refermant la porte doucement. Elle portait encore son tee-shirt sans aucun sous-vêtement et elle n'était pas à l'aise, mais elle n'avait rien à se mettre. Il régna un silence irréel dans la maison mais elle était étrangement chaleureuse et douillette malgré sa grande taille. Elle descend lentement l'escalier tout en admirant les lieux. Une fois en bas, elle s'aventure dans le salon et vit le plateau laissé sur la table basse. Elle le porta et l'apporta jusqu'à la cuisine qu'elle trouva facilement. Elle ne vit nulle part Damien. Dormait-il ? Ou simplement occupé? L'avait-il laissée seule dans la villa? Ce qui serait étonnant...Elle posa le plateau sur le comptoir de la cuisine, et le rangea le tout en sifflotant. Elle décida de préparer le petit déjeuner vu qu'il n'était pas là. Elle ne savait pas si elle avait le droit de faire comme chez elle. Elle ouvrit le frigidaire, prenant les ingrédient qu'elle voulait et le tout pour faire des pancakes, cherchant dans les placard. Elle se prépara un petit déjeuner copieux, mais elle en fit pour Damien au cas où. Elle fronça des sourcils soudain, s'apercevant ce qu'elle faisait. Elle lui préparait le petit déjeuner alors qu'elle ne l'appréciait pas. Elle était folle mais elle continua quand même sur sa lancée. Une demi-heure plus tard elle était assise, attablée, entrain de finir de déjeuner. Elle rangea le tout, une fois terminé, ainsi que la vaisselle. Elle se sentit soudain observée, et sentit une présence tout près d'elle. Elle se retourna et croisa le regard de son maître.


« Bonjour...,»
s'humecta les lèvres.

« Je me suis permise de préparer le petit déjeuner. Je ne savais pas si vous alliez me rejoindre ou pas, alors j'ai commencé à manger.»
Elle était gênée de se trouver peu dévêtue sous son regard, mais ne fit rien pour s'écarter et prendre la fuite. Cela ne servirait à rien.
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Damien A. Stark
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyDim 18 Mai - 18:45

Je pouvais me montrer odieux, arrogant, intraitable dans beaucoup de domaine mais je n’avais pas non plus l’intention de brusquer la jeune humaine. Elle savait déjà pourquoi je l’avais choisi elle et pas une autre et qu’elle ne pourra pas s’enfuir de la vie que je venais de lui dessiner. Si elle possédait un caractère d’intrépide petite rebelle prête à bondir pour se défendre, elle ne manquait pas d’intelligence non plus. Toutes ses réactions, ses envies de révoltes, je les enfermerai dans le creux de ma main. A ce rythme-là, elle finirait pas s’épuiser. Je ne lui rendrai jamais sa liberté. Lorsque je décidai que quelque chose devait m’appartenir, je faisais en sorte de l’obtenir. Evangéline ne dérogeait pas à cette règle. Des règles qui régissaient mon quotidien depuis des années. Dominant et possessif, rien ne m’arrêtait tout comme je savais aussi me freiner, observer et attaquer au bon moment. Ma jeune esclave venait de me rejoindre dans le salon et je l’invitai à prendre place dans le divan pour se nourrir un peu. J’avais en horreur toutes ces femmes sans courbes, quelles soient Asariennes ou humaines. Les clichés de la mode où un corps mince et sans formes pouvaient être prisé par des magazines peoples, moi je n’avais pas ce genre de critères. Bien au contraire. J’appréciai la volupté d’un corps dessiné dans des tissus magnifiques mettant en valeur la sensualité d’une femme. Pour ne pas l’importuner, je l’avais laissée seule dans le salon, le temps d’enclencher toutes les sécurités de ma villa. Elle avait dévoré son plateau à mon grand plaisir.

La nuit était déjà bien avancée et demain sa nouvelle vie allait commencer. Elle m’accompagna jusqu’à l’étage où elle put découvrir sa chambre.  Certains Asariens préféraient traiter les humains comme des animaux. J’en avais vu attachés au pied du lit, menu d’un collier et d’une laisse. D’autres esclaves dormaient à même le sol dans la cave. Encore une fois, mes avis se différenciaient. Malmener mon esclave, et je n’en tirerai qu’un cadavre n’ayant plus le gout à rien. Posséder avec talent tout son Etre et son corps. Voilà mon objectif. Un baiser sur le front et je refermai la porte, la laissant tranquille. Une bonne nuit de sommeil s’imposait, plus pour elle que pour moi. Avant de m’endormir, j’avais envoyé un mail à mon assistance pour lui communiquer mes dernières directives. Elle devait annuler tous mes rendez-vous de demain car je ne viendrai pas au bureau. Evangéline était ma priorité et nous avions tous les deux beaucoup de choses à faire.

J’aurai pu me méfier de la petite humaine non loin de moi mais j’étais certain qu’elle ne serait pas assez stupide pour concevoir l’idée même de s’évader de ma villa. Lorsque je me réveillai, une bonne odeur se répandait dans la maison et mon odorat développé ne pouvait pas passer à côté de ce parfum appétissant. Je pris le temps de me doucher et d’enfiler un pantalon en lin gris, une chemise blanche sans cravate dont le col était ouvert de deux boutons. Je descendis au bout d’une demi-heure, me dirigeant vers la cuisine. Je constatai qu’elle avait débarrassé le plateau repas de la veille. Sans faire de bruit, je me calai contre le recoin de la porte de la cuisine, glissant mes mains dans les poches de mon pantalon. Evangéline  avait terminé son petit déjeuner et rangeait la cuisine. Elle me tournait le dos et je pouvais alors la détailler. Elle ne portait que mon tee-shirt, trop grand pour elle. La seule et unique pensée qui me vint fut de savoir si elle portait ou pas des sous-vêtements. Ma réflexion se termina au moment où elle sentit ma présence. Mes prunelles rencontrèrent les siennes, lui offrant un petit sourire. «Bonjour Evangéline. Tu as très bien fait. »

Je m’installai à la table, me servant du café encore bien chaud dans mon bol. J’haussai un sourcil devant les pancakes qu’elle avait préparés, lui faisant honneur d’en gouter. « Je serai tenté de te laisser dans mon tee-shirt mais il ne souligne pas assez ta beauté. As-tu bien dormi ? »

Je buvais une gorgée de mon café appréciant  le talent de cuisinière de ma nouvelle esclave. « Mmm, excellent ces pancakes !  Je suis très compliqué pour le petit déjeuner mais là tu viens de me conquérir. »

Je sortis mon téléphone de ma poche, faisant défiler mes contacts. Il était presque 9 heures 30 du matin, l’heure parfaite pour appeler la personne  qui me fallait pour les prochaines heures. Je demandai d’un signe de main à Evangéline de ne plus parler pour le moment. « Madame Karmack, quel plaisir d’entendre votre voix, comment allez-vous ?  Vous savez que je ne vous dérange jamais pour rien. J’aurai besoin de vos talents de créatrice de mode. Des ensembles pour le jour comme la nuit, des robes de soirées, de la lingerie. Tout ce que vous trouverez élégant et sensuel. C’est pour ma nouvelle esclave. Elle doit faire environs 1 mètre 65 pour 54 kg. Je n’ai pas votre œil expert, Madame Karmack mais je pense ne pas me tromper de peu. S’il vous est possible de passer d’ici une heure à ma villa. Oui, c’est parfait ! Entendu. »

J’éteignais la communication, relevant mes yeux vers Evangéline qui paraissait être à la fois  ébahie et curieuse. « Comme promis, tu vas pouvoir choisir tes vêtements. Madame Karmack est l’un des créatrices de mode les plus sollicitée. Elle connait mes gouts, elle réajustera en fonction des tiens.  Je veux que tu réfléchisses à ce que tu voudrais porter, les couleurs, les tissus qu’on puisse discuter avec elle. Elle pourra te créer tes vêtements si tu le désires. »

Nous avions une petite heure devant nous pour discuter de ses envies avant que la sonnette ne retentisse dans la villa. « Mais pas de pantalons … de jeans…. Je veux pouvoir profiter de tes jolies jambes … Approche Evangéline …»

J’attendis qu’elle obtempère et qu’elle vienne près de moi. Ma main glissa contre le creux de son genou, remontant très lentement pour apprécier la douceur de sa peau satinée. Mes doigts s’immiscèrent sous le tee-shirt, trouvant avec plaisir ses fesses nues et fermes.
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyDim 22 Juin - 21:11

Le statut de nouvelle esclave, nouveau jouet sexuel de Damien Stark était déstabilisant pour l'humaine. Effrayant mais surtout, autant qu'elle se l'avoue elle-même: Excitant. Le divin Enfer de l'innocente et rebelle esclave. Bien sur, il est naturel pour elle qu'elle soit effrayée par ce qui allait suivre entre Damien et elle. Elle n'avait jamais pu laisser un homme la toucher infiniment, et elle allait devoir céder à cet Asarien. Céder de son plein gré de préférence même si ce n'est pas tellement de ce qu'elle veut. Pas du tout même, mais elle n'a pas le choix. Soit elle lui résiste et il lui fait vivre un enfer, soit elle se laisse faire, qu'elle se soumet à lui et il sera délicat avec elle. Un choix difficile si elle tenait à garder son intégrité. Elle se demandait comment elle allait pouvoir gérer cette relation avec son nouveau maître. Il la possède malgré elle. Il peut faire d'elle ce qu'il veut. Qu'elle soit contre ou non, elle n'a pas droit au chapitre. C'est les désirs de l'Asarien et de personne d'autre. Surtout pas ceux de la jeune humaine. Elle se demanda si elle aura une chance un jour de s'en extirper de ses filets. Elle se douta qu'elle pouvait bien rêver. Damien n'était pas du genre à laisser son humaine s'échapper de son emprise, de la laisser le fuir. Quoi qu'elle fasse, elle sera sous son emprise, elle en était persuadée. Ce qui était sûr, c'est qu'il aura son corps, mais il n'aura pas son âme, ni son cœur. Elle ne lui appartiendra pas corps et âme, elle ne le veut pas. Mais saura t-elle assez forte pour lutter contre? Elle se savait forte, ce n'était pas le problème. Malgré son fort tempérament, elle est inexpérimentée dans le domaine du sexe et elle redoute l'emprise que Damien pourrait avoir sur elle. Il semble savoir très bien s'y prendre pour séduire, manipuler les femmes pour arriver à ses fins. Et elle avait pu avoir un petit aperçu de son savoir la nuit dernière. Il avait su la rendre vulnérable à son contact, sous ses mains. Elle s'était incapable de lui résister. Il lui avait enlevée toutes ses défenses pour lui résister. C'était justement ça qu'elle avait peur. S'il désirait l'avoir corps et âme, il pouvait très bien atteindre son but pour le grand malheur de l'humaine. Si il la veut corps et âme.

Elle devait rester froide, et détacher à ses approches, à son contact, à ses caresses mais elle doutait fort d'y réussir. Elle n'allait pas pouvoir rester de marbre. Il avait un pouvoir indéniable sur elle. Très différent des autres hommes, vu qu'elle n'avait jamais rien ressentie avant qu'elle le croise. Elle s'était sentie toute chose sous ses regards brûlants. Elle avait perçue son désir dans ses prunelles, et pourtant il l'avait seule cette nuit. Pourquoi, alors qu'il pouvait faire d'elle dont il le souhaite, la prendre comme il le désire? Elle était perplexe. Il ne voulait pas précipiter les choses avec elle, lui avait-il dit.

Pivotée face à son séduisant, trop même, de son maître, ses prunelles plantées dans les siennes, elle le dévisagea tandis qu'il lui offrait un petit sourire. Elle fit un mouvement de la tête pour acquiescer et lui adressa un petit sourire hésitant. Il était fort séduisant ce matin. Classe et décontracté. Elle se traita d'idiote en s'apercevant de son comportement. "Réveille toi bon dieu, c'est ton ennemi !!". Elle se mordilla sa lèvre inférieur. Elle le regarda s'installer à table, et se servir du café encore fumant dans le bol qu'elle lui avait préparé. Elle avait deviné qu'il buvait du café au petit déjeuner. Il commença à déguster et elle en fut soulagée en le voyant apprécier. Elle haussa un sourcil à ses paroles.


« Je ne suis pas de votre avis, il me convient assez bien ce tee-shirt. Seul regret, il n'est pas assez long pour couvrir mes jambes.»


Elle pointa son petit menton dans un petit air de défi, en rivant son regard au sien. La petite rebelle était revenue au bercail.

« J'ai bien dormi, oui, merci. Le lit est confortable. Avez-vous bien dormi également?»


Demanda t-elle, en se dandinant légèrement sur place. Qu'est ce qu'elle était polie avec lui. Son comportement envers lui était changeant. Soit elle se montrait belliqueuse, rebelle, et de l'autre, intimidée, polie. Elle se comportait étrangement à son contact. Elle sourit, et sentit le rouge lui monter aux joues sous le compliment. Elle savait qu'elle était un véritable cordon bleu.

« Il est vrai qu'on conquit les hommes avec leur ventre. »

Murmura t-elle avec malice, le regard pétillant. Elle était en pleine forme ce matin et prête à le défier. Sa gêne envolée, elle oublia qu'elle était peu vêtue sous son regard.

« J'ai l'habitude de cuisiner. J'ai vécue pratiquement seule toute ma vie, il fallait bien que je me débrouille pour me nourrir. »

Intriguée, Evangéline l'observa sortir son portable et elle se tut en fronçant légèrement des sourcils à son geste de la main. Elle devina qu'il appelait une femme en l'écoutant parler et épeler son nom. Curieuse, elle l'écouta en silence et fut surprise au fur et à mesure de ses paroles. Les yeux un peu écarquillés, le visage ébahie, elle le dévisagea alors qu'il éteignit la communication. Elle était étonnée, mais il est vrai qu'il lui avait dit hier soir qu'il allait lui commander une nouvelle garde robe. Elle se sentit mal à l'aise soudain. Elle n'aimait pas qu'on dépense pour elle. Elle se sentit agacée, énervée.

« Je n'y connais rien dans le domaine dans de la mode. Je préfère les tenues simples et confortables. Ce ne sont pas vos goûts, je le sais, et cela ne changera rien. Vous n'en ferez selon vos désirs... » Elle se tut un instant avant d'ajouter. « Mes choix sont simples, et je n'ai pas besoin d'y réfléchir. Les couleurs non-voyantes, rien d'extravagance. Je n'aime pas les tenues excentriques. Juste classiques, élégantes et raffinées. »

Ses lèvres se pincèrent alors qu'il lui disait qu'il ne voulait pas de pantalon, ni de jean. Il voulait profiter de ses jambes.
« Vous voulez que je retire mon tee-shirt pour pouvoir profiter de mon corps? »
Siffla t-elle dans une voix venimeuse, s'apercevant trop tard le sens de ses paroles, et elle se tut, énervée. Elle se mordilla les lèvres, serrant les poings. Elle n'appréciait pas qu'on lui dise de ce qu'elle devait porter ou pas. En fait, elle n'aimait pas qu'on lui dicte tout ce qu'elle doit faire. Elle reprit son calme et plonge son regard aux prunelles assombries dans celles de Damien.

« Je peux avoir au moins un pantalon ou deux, des tenues de sport par exemple? Je pratique souvent le sport, un peu chaque jour en fait. Et je ne me vois pas entretenir votre demeure habillée en robe. Ce n'est pas pratique et je risque de les abimer.»

Elle inspira légèrement, se tut, attendant ce qu'il allait lui répondre. Ensuite, elle se raidit au moment où il lui ordonna de s'approcher. Elle se mordilla l'intérieur de la joue, hésitante avant de lui obéir. Le cœur battant, elle s'avança lentement jusqu'à lui. Elle s'arrêta, le corps raidi, et les hauts de ses cuisses frôlèrent les jambes de Damien. Figée sur place, elle ne quitta pas du regard, et sentit sa main caresser le creux de son genoux, la remonter doucement. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine et ses lèvres s'ouvrirent en sentant sa main se poser sur ses fesses nues. Elle frissonna et se mordilla à nouveau sa lèvre inférieur. Elle devait faire diversion et vite.

« Vous avez terminé de déjeuner ou vous voulez autre chose? Vous désirez peut-être quelque chose?»
En posant cette question, elle s'aperçu trop tard du sous-entendu dont il pourrait penser, et sentit le rouge lui monter les joues. « Je devrai peut-être prendre ma douche avant que Madame Karmack arrive. »
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Damien A. Stark
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyLun 28 Juil - 18:44

J’aurai pu relever chacune de ses phrases à double sens, chacun de ses mots qui pouvaient définir tout autre chose mais je n’en fis rien me contentant de lui sourire et de savourer le petit déjeuner qu’elle avait préparé pour moi. Délicieux et gourmand. Par contre, plus elle discutait avec moi et plus j’esquissais sa vie d’antan, comment elle avait vécu et de quelles façons elle se démenait pour avoir un quotidien décent. Je tapotai mes lèvres du bout de ma serviette tout en pivotant vers elle sans bouger de ma chaise. «  Maintenant, tu n’auras plus aucun souci à te faire. Etre mon esclave ce n’est pas uniquement devoir me servir et me faire plaisir chaque jour, tu es aussi sous ma protection, et je te veux en bonne santé.  J’ai déjà vu des esclaves chez les autres, des hommes et des femmes qui n’avaient plus aucune âme, battus et humiliés. Ce n’est pas ça que je veux pour toi. »

L’heure s’imposait comme une évidence et je téléphonai à la seule créatrice de mode que je connaissais, qui confectionnait tous mes costumes et mes tenues sur mesure. Elle me donna rendez-vous ici, à la villa, dans une heure avec toute la liste de vêtements que je lui avais énoncée  pour Evangéline. La mine ébahie de mon esclave me renvoyait son mécontentement, lui expliquant ce que je désirai pour elle. Une fois de plus, elle se montrait rebelle ce qui était peine perdue avec toi. «  Si tu sais que je n’en ferai qu’à mes désirs, il est inutile d’avoir cette conversation. Nous choisirons tous les deux tes vêtements et j’aurai mon mot à dire sur chacune d’elle. Tu pourras prendre des tenues de sport mais attention à toi si je te vois porter ce genre de choses constamment à la maison. Je te fais confiance, ne me déçois pas. Jamais. »

La relation maitre et esclave était pour moi comme un contrat tel que je pouvais les signer dans mes affaires. Il devait y avoir de la confiance et de l’écoute entre les deux parties mais si elle me décevait, si elle me  trahissait pour une raison quelconque, je me montrerai intransigeant et elle découvrirait mon côté sombre et la cruauté dont j’étais capable. Je retournai à mon petit déjeuner, terminant ma tasse de café. Evangéline ne connaissait pas de limites dans son verbiage et j’allais devoir la dresser dans ce sens-là. Je lui fis signe de s’approcher. Elle me surplombait de sa hauteur tandis que j’étais toujours assis. « Tu devrais mesurer tes propos et les connotations que peuvent avoir ces derniers devant un homme tel que moi. Tu parles beaucoup trop et tu ne réfléchis pas assez. »

Ma main glissa le long de sa cuisse, remontant sa peau douce. Un sourire presque carnassier se fendit sur mes lèvres quand je me rendis compte qu’elle ne portait aucun survêtement et qu’il me serait très facile de la plaquer sur cette table en quelques secondes. « Va prendre ta douche, c’est une bonne idée, avant que je ne te prenne sur cette table ou sur ce plan de travail !

Je claquai sa fesse vivement, me redressant alors devant elle. Ma main s’empara de sa longue chevelure, la tenant fermant. Je tirai dessus peut-être en lui faisant mal mais elle l’avait bien cherché. Sa tête s’inclina en arrière et mes yeux transpercèrent les siens. Mon autre main de libre s’invita sur son sein que je pétrissais  sans aucune pudeur avant de la laisser pantelante et moi de me diriger vers mon bureau.

~~~~~~~

Je l’entendis monter à l’étage, et mon ouïe développée grace à ma nature asarienne m’indiqua qu’elle venait d’entrer dans la douche.  J’étudiai quelques dossiers que j’avais fait acheminer jusqu’ici, téléphonant à ma secrétaire pour annuler tous mes rendez-vous d’aujourd’hui et de les reporter à demain. Je consultai mes mails, répondant à ma mère qui n’avait pas eu de nouvelles de moi depuis quelques semaines. L’heure était quasiment passée, et Mme Karmack fut pile à l’heure quand elle sonna à la porte de ma villa. Je m’empressai de la rejoindre, l’invitant à s’installer avec toutes ses affaires dans le salon. Elle commença à exposer sur le divan et les fauteuils les diverses tenues et lingeries qu’elle m’avait expressément apporté pour mon esclave. J’observai d’un œil attentif les couleurs, les motifs, le toucher des tissus sous mes doigts. «  Tout est très beau. Votre choix est parfait. Il ne reste plus qu’à savoir ce que tout cela donnera sur le corps de mon esclave. EVANGELINE ! DESCEND S’IL TE PLAIT ! »

J’entendis les pas de la jeune femme descendre les marches et venir nous rejoindre. Je pivotai face à elle, m’avançant à son niveau, ma main caressa le creux de ses reins et je l’attirai vers l’Asarienne qui était plus âgée que comme. « Comme tu peux le voir, Mme Karmack nous a dénichés ses plus belles collections sans oublier tes fameuses tenues de sport. »

Je m’installai dans le fauteuil de libre, tapant entre mes mains. «  Montre-moi toutes ces tenues sur toi. Commence donc par cette robe et   celle-ci . Je te laisserai choisir les autres. Je n’aime pas attendre. Mme Karmack va t’aider à les passer dans mon bureau. »
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyMer 1 Oct - 14:04

Fascinée, elle ne parvenait pas à quitter des yeux les mains de Damien, dont l'une tapotait ses lèvres avec une serviette avant de relever les yeux pour le fixer.
« Et je devrais vous en être reconnaissante, de vous remercier et d'être contente que vous ne voulez pas ça pour moi? Vous me voulez en bonne santé, mais il est difficile pour un esclave de s'épanouir dans ces conditions. Vous me privez de mon libre-arbitre. »
Elle se tut un instant, prends une moue hésitante avant de rajouter quelque chose qui la travaille un peu depuis qu'elle était son esclave.« Quelles sont les limites que je ne dois pas franchir avec vous? Vous allez me battre pour me punir si je vous désobéis ou que je fais quelque chose qui vous déplait? »
Demanda t-elle en plongeant son regard dans le sien, s'efforçant d'ignorer l'appréhension qui se tissait dans son esprit, se rappelant des passages de son enfance au près de son père. Allait-elle revivre des moments semblables, maintenant qu'elle était sous la dominance d'un Asarien?

Si seulement elle pouvait se réveiller et s'apercevoir que la nuit dernière et que ce début de matinée n'étaient que le produit de son imagination. Elle aimerait tellement redevenir celle qu'elle avait été. Une femme libre. Et que cet Asarien dominateur et imposant, installé devant le petit déjeuner qu'elle lui avait préparé, arrête de la regarder d'une manière trop possessive. Leurs regards se croisèrent à nouveau mais, cette fois-ci, elle ne baissa pas les yeux. Décidément, cet Asarien était vraiment séduisant. Arrogant. Sûr de lui. Confiant. Intimidant. Une aura de pouvoir l'enveloppait discrètement, et l'espace d'un instant, elle se laissa aller à imaginer ce que cela ferait de lui appartenir, d'être sa chose. Le seul mot suffit à la faire frissonner. Elle se traita d'idiote, car elle était exactement sa chose, son esclave. C'est ainsi qu'elle le provoqua à nouveau juste après sa demande pour avoir des tenues de sports. Elle n'était vraiment pas maligne. Surtout qu'elle le provoquait en lui lançant une invitation pour profiter de son corps. Pour l'humilier, il aurait pu en effet, elle s'en apercevait mais bien trop tard. Elle inspira profondément alors qu'il finit par accepter qu'elle prenne des pantalons, des affaires de sports.« Merci...Je les mettrai seulement pendant vos absences si vous préférez. »

Elle s'approche de lui sous sa demande. Même Assis, il restait intimidant. Tandis qu'il lui conseilla de mesurer ses propos devant un homme tel que lui, elle était à nouveau fascinée par ses mains, elle fixa ses mains pendant que l'une commençait à se glisser de haut en bas de sa cuisse. Il avait des mains magnifiques, de longs doigts, qu'elle ne pouvait s'empêcher d'imaginer sur sa peau. Elle frissonna, et son corps se raidit à son contact. Elle cligna des yeux pour essayer de faire disparaître les images qui, déjà, se formaient dans son esprit innocent malgré elle. Elle se renfrogna à la minute même. Mais qu'est ce qu'il lui prenait à la fin. Doit-elle se rappeler qu'elle était désormais une esclave à cause de lui et qu'elle ne supportait pas qu'un homme la touche comme il était entrain de le faire? Elle était là pour assouvir les besoins, les envies de Damiens Stark. Rien d'autre, et pas de son plein gré. Elle devait constamment se le rappeler. Le plus raisonnable était de se soumettre à lui. Sauf qu'elle ne se sentait pas du tout raisonnable, mais plutôt...rebelle. Se rebeller était plus facile que de se soumettre à lui, de se laisser dominer, le laisser la modeler de ses mains. La rébellion était son seul refuge, sa seule défense, sa seule arme contre lui. Elle le provoquait et remarquait que ça retombait sur elle par la suite d'une manière négative. Elle se racla la gorge péniblement en voyant son sourire carnassier se dessiner sur les lèvres de son maître, mais surtout en l'entendant lui dire d'aller prendre sa douche avant qu'il la prenne sur la table ou le plan de travail. Les yeux écarquillés, elle le regardait avec des yeux de biches apeurés, et elle sursauta légèrement en recevant une claque sur sa fesse. Elle recula d'un pas au moment même où il se leva, mais il s'empara de sa longue chevelure pour la tenir contre lui. Elle ne pouvait pas s'échapper. Elle laissa échapper un faible son de protestation sous sa poigne ferme alors qu'il la tirait vers lui. Elle inclina son visage en arrière, comme dans un signe de défi, et affronta son regard intense. Elle se figea, le souffle coupé en sentant la main de Damien pétrir son sein sans aucune pudeur. Une sensation étrange l'envahit à cet instant. Elle aurait voulu se débattre, mais elle s'en sentait incapable et il la relâcha avant de l'abandonner toute pantelante. Il avait quitter la pièce, tandis qu'Evangéline restait plantée là, debout dans la pièce, les paupières fermées, le souffle court et le corps tremblant. Elle se sentit complétement perdue. Au bout de quelques minutes, elle reprit ses esprits, et quitta la pièce pour rejoindre la salle de bain, en pestant contre son maître, en le traitant de tous les noms.

Une demi-heure plus tard, elle était fin prête. Elle avait pris une longue douche, et elle s'était rhabillée de ses vieux vêtements. Son jean et son tee-shirt. Elle n'avait pas spécialement envie de retourner en petite tenue dans le salon en compagnie de son maître et de la styliste. Et puis le fait de mettre son jean pour embêter son maître la ravissait un peu. Elle l'entendit d'ailleurs l'appeler. Elle regarda une dernière fois son reflet dans le miroir, décidant de laisser sa chevelure libre dans son dos, et soupira avant de quitter la salle de bain. Elle descendit les marches et vit Damien se tourner vers elle. Elle s'arrêta près de lui alors qu'il la rejoignait. Elle avait bien conscience de sa main dans le creux de ses reins, mais ne montra rien sous sa caresse. Elle ressentit une étrange sensation, des picotements même dans le creux de son ventre. Son regard se posa sur l'Asarienne qui lui faisait face dans le salon, près des canapés où étaient installées les différents vêtements. Evangéline garda le silence, observant les deux Asariens, et jeta un œil sur les deux robes en questions. C'était quoi ces robes, se dit-elle mentalement en plissant les yeux, interdite. Elle jeta un œil à l'Asarienne avant de lancer un regard à son maître qui l'observait. Il venait de s'installer dans l'un des fauteuils et frappa dans ses mains en lui disant de commencer de mettre ces deux premières robes. Il voulait quoi un défilé? Elle était figée sur place pendant plusieurs secondes avant de se reprendre et lui jeta un dernier regard sombre, et finit par suivre l'Asarienne, la tête haute. L'Asarienne s'équipa de son matériel de couture et de ses vêtements, et partit dans le bureau de Damien, suivit par l'humaine.

Elle lui demanda de se déshabiller, et lui donna un sous-vêtement pour le bas. Une culotte blanche en dentelle, en lui disant qu'elle n'avait pas besoin de soutien-gorge pour les deux robes. D'ailleurs, ajouta t-elle, qu'elle avait une petite poitrine mais bien formée et ce qui était un avantage pour ce genre de robes. Evangéline s'empourpra. Elle enfila la première robe, la longue robe noir avec l'aide de l'Asarienne, et elle lui donna une paire d'escarpins noir vertigineux. Ils voulaient qu'elle tombe ou quoi? Elle s'obligea de les mettre. Elle avait l'impression d'être nue dans cette robe. Une fois terminée, elle retourna au salon avec la styliste pour montrer son œuvre à Damien pour qu'il puisse la regarder à loisir. Elle n'aimait pas ça, mais son visage ne montra rien de ses émotions mais son regard était assez éloquent. Puis vient le tour de la deuxième robe, une robe noir très courte et qui lui dévoilait son corps, la peau laiteuse de son corps.

Evangéline était figée au milieu du salon, campée sur ses jambes, le corps tendu dans cette robe indécente à ses yeux. Elle sentait le regard de Damien se glisser sur son corps, alors qu'il était toujours installé dans son fauteuil.

« Comment trouvez vous votre esclave dans ces robes Monsieur Stark? Ne trouvez vous pas qu'elles soulignent parfaitement sa silhouette? »


L'humaine serra les dents, et s'efforça de se détendre. Elle avait l'impression d'être un animal de foire. Elle se sentait gauche dans cette robe. Elle ne regarda pas son maître et ni l'Asarienne, attendant la suite des événements. Soudain, une sonnerie de téléphone s'éleva dans la pièce, et comprit que c'était le téléphone de Mme Karmack, et cette dernière s'excusa auprès de Damien qu'elle devait prendre cet appel. Elle partit dans le bureau pour répondre, laissant Damien avec son esclave dans le salon.
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Damien A. Stark
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyMer 3 Déc - 11:10

Savourant une gorgé de mon café, j’écoutais Evangéline et ses arguments de rébellion sur sa condition d’esclave. Tout ceci était peine perdue, surtout pour elle. Je n’avais aucune intention de changer mon comportement ni de lui rendre sa liberté. Je prenais ce que je désirai : soit par la force des choses, soit en le gagnant. Tous les coups étaient permis. Lorsqu’elle glissa sur le terrain fort délicat de la désobéissance, je pris quelques secondes pour formuler ma phrase. Je ne comptais pas répéter cette conversation une seconde fois. Elle allait devoir mémoriser mes mots, les apprendre par cœur. « Oui, tu as parfaitement raison Evangéline. Si tu me désobéis, si tu me mets dans l’embarras devant d’autres personnes, si tu joues à la rebelle, tu seras punie à ma façon. Une manière que tu découvriras si tu franchis cette limite entre nous deux. » Je laissais planer une ombre pesante sur elle. Tout dévoiler à cette humaine reviendrait à lui donner une sorte davantage sur moi. Et il n’en était pas question.

Il était bientôt l’heure de recevoir ma grande amie, Madame Alexandra Karmack. Nous choisirions pour Evangéline des tenues adaptées pour toutes les occasions. Elle pourrait aussi donner son avis mais au final, j’aurai tout de même le dernier mot sur chacun des vêtements qu’elle prendrait avec elle. J’avais cédé sur les tenues de sport. J’avais toute une salle privée dans ma villa qui contenait tous les appareils nécessaire à faire du sport et à entretenir le corps. Je n’allais pas lui refuser cet accès ni son envie de donner à son corps plus de fermeté. Une dernière provocation de sa part, et le prédateur que j’étais, l’avais attrapée entre ses mains. Ma paume se refermait autour de la rondeur de son sein tandis que l’autre se resserrait en tirant sur sa longue chevelure. Pas besoin de mots pour deviner les réactions de son corps et le combat qu’elle menait contre elle-même. J’aurai pu user de ma force de dominant pour la plaquer contre cette table et la prendre sans aucun ménagement, mais ce n’était pas ainsi que je désirai notre première fois.  Je me retirai de la cuisine, la laissant pantelante, mon sourire s’élargissant sur mes lèvres. Elle craquerait tôt ou tard. Elle se laisserait submerger par toutes ces émotions contradictoires pour s’abandonner dans mes bras.

Une demi-heure passa rapidement lorsque la sonnette de ma villa se mit à retentir. Evangéline s’était éclipsée pour prendre sa douche, et elle n’était toujours pas redescendue. Je reçus la styliste en échangeant avec elle quelques politesses, lui demandant des nouvelles de son époux et de sa société. Elle déballa dans sa grande malle qu’elle avait fait apporter, plusieurs robes. J’en avais retenu deux et maintenant, il ne restait plus à voir ce qu’elles donnaient sur le corps de mon esclave. Je ne pouvais rater les regards sombres qu’elle me jetait, ce qui m’amusait au point de lui demander de défiler devant moi. Installé dans le fauteuil, j’attendis la première apparition d’Evangéline avec la longue robe noire. Elle était parfaite sur elle, mettant en valeurs ses courbes. La seconde était encore plus extraordinaire sur sa peau laiteuse. Je devinais ses prunelles noires sur moi mais moi, ce qui m’intéressait c’était son corps habillé ainsi. Je ne manquais pas de la déshabiller du regard, m’attardant sur ses seins, ses hanches et lorsqu’elle se tourna, sur ses fesses. Ce qu’elle ne savait pas encore, c’était que ces deux robes étaient désignées exclusivement à mon plaisir. Elle ne s’habillerait ainsi qu’en ma compagnie et dans la villa. Je ne comptais pas l’exposer ainsi lors de galas ou de réceptions. La question de Madame Karmack me fit sortir de mes réflexions. « Elle est parfaite avec ces deux robes ! Nous les prenons !  

Le téléphone de la styliste créa un intermède dans le défilé. Lorsque la porte de mon bureau se referma pour laisser Madame Karmack en grande conversation avec un client, je me redressai de mon fauteuil, tournant lentement autour d’Evangéline pour savourer un peu mieux cette robe courte. « Tu devrais te détendre, il n’y a que nous. Tu ne porteras ces deux robes qu’à la villa. Personne ne te verra ainsi vêtu sauf moi. Elle te va à ravir. Pas besoin de sous-vêtements encombrants.

Elle savait très bien de quoi je parlais. Me plaçant dans son dos, mes mains se posèrent sur ses épaules, descendant très doucement le long de ses bras pour gagner sa taille fine. Elles glissèrent sur son ventre, la plaquant vivement contre mon bassin. Mes doigts jouèrent avec l’orée de sa robe, remontant le tissu tout en suivant l’intérieur de ses cuisses. « Interdiction de mettre de la dentelle. Je te veux toute nue ! »

Mon majeur glissa sous la dentelle, caressant sa féminité. Je découvris sa chaleur mais l’ouverture de la porte de mon bureau m’obligea à abandonner ce délice. Mes mains reprirent possession de ses hanches, me tournant vers Madame Karmack. « Maintenant, je voudrai deux tailleurs jupes et une robe de cocktail, ainsi que plusieurs nuisettes, des sous-vêtements, des vêtements de tous les jours et … des tenues de sport. Je rajouterai juste une chose. Pour les vêtements de tous les jours, vous m’aviez déjà montré une robe...»

La styliste hocha la tête, fouilla dans sa malle pour en ressortir une robe aux couleurs claires. « Je pense que vous parlez de celle-ci, Monsieur Stark. »
« Absolument ! Faites- la lui essayer ! »
« J’ai apporté tout ce que vous venez d’énumérer. Nous allons nous retirer dans votre bureau et vous montrer tout cela, pour le plaisir de vos yeux. Suis-moi ! »

Je repris place dans le fauteuil, les bras en appui sur les accoudoirs, les mains croisées devant mes lèvres, j’observais le comportement d’Evangéline. Elle était restée silencieuse depuis le début des essayages. Seul ses yeux parlaient pour elle et exprimaient son mécontentement. A force de jouer les têtes de mules, elle allait se retrouver avec des tenues de plus en plus osées. Elle allait perdre à ce petit jeu au lieu de me fournir ses opinions et ses envies. J’attendais la suite du défilé, et surtout les nuisettes et les sous-vêtements.
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyDim 21 Déc - 23:56

Aucun doute là-dessus, Evangéline détestait sa condition d'esclave. Et encore le mot était faible. Ce n'était même pas la peine de lui poser la question, son simple regard exprimait à ce moment là, ses sentiments réels sur la question. Elle finit par comprendre vraiment que c'était peine perdue en l'entendant répondre d'une voix calme, mais ferme. Il ne comptait pas lui rendre sa liberté même si elle montrait son mécontentement, si elle se rebellait. Rien ne le fera changer sa décision. Si elle lui désobéit, ou qu'elle le trahi, elle ne sera pas délivrée de lui pour autant. Au contraire, il la punirait à sa façon. Elle était destinée à être son esclave, irrévocablement, selon ses bons désirs. Saleté d'Asarien. Elle frissonna sous le flot de ses paroles, mémorisant ses moindres paroles. Elle devait les retenir, et elle s'en rappelait chaque fois avant de faire une bêtise, ou se rebeller. Elle allait vraiment avoir du mal à ne pas se rebeller. Ce n'était pas dans sa nature. Elle allait devoir travailler beaucoup sur elle, si elle ne voulait pas subir les punitions de l'Asarien. Une ombre pesante au dessus d'elle, elle en frissonna à nouveau, et elle s'humecta les lèvres. Le prédateur qu'il était, attrapa sa proie vulnérable face à lui. Sa main s'était refermée sur l'un de ses seins, lui interdisant de reculer pour lui échapper. Il lui avait tiré sa longue chevelure, faisant basculer sa tête en arrière. Elle menait un long combat contre elle-même. Elle avait compris qu'il pouvait aisément utiliser sa force contre elle, et la prendre sans ménagement si il le désirait. Elle l'avait provoquée, et il se contrôlait. Elle ne comprenait pas pour laquelle raison il ne le faisait pas. Même en se débattant, Damien sera toujours le plus fort. Il était un homme, mais surtout un Asarien. Brusquement, il la lâcha, la laissant pantelante, se retirant de la cuisine...Quel affreux personnage. Elle le détestait mais elle se détestait encore plus encore. Elle ne voulait pas craquer, s'abandonner dans ses bras, sachant pertinemment qui il était et de ce qu'elle était pour lui. Son esclave. Son jouet sexuel. Elle n'était rien d'autre et elle ne devait surtout pas l'oublier sinon elle était perdue.

Une heure passa rapidement alors que l'humaine avait essayé les deux premières robes noires que son maître lui avait ordonné défiler devant lui avec. Il suffisait de voir le regard de l'humaine pour devenir son mécontentement et qu'elle n'aimait pas ses robes. C'était trop osé, ce n'était pas elle. Elle ne se reconnaissait pas sous ces robes, et elle était mal à l'aise. Elle était plantée au milieu de la pièce sous le regard de son maître alors que Madame Karmack s'en allait pour s'enfermer dans le bureau de Damien en grande conversation avec un client. Elle se raidit un peu plus en voyant l'Asarien se levait de son fauteuil et s'approchait d'elle. Il tourna lentement autour d'elle, et elle ne dit rien, se raidissant un peu plus. Elle sentait son regard intense parcourir son corps. Il voulait qu'elle se détende, alors qu'ils n'étaient que tous les deux dans le salon. Justement, elle n'arrivait pas se détendre alors qu'elle était seule avec lui. Elle fut étonnée en apprenant que ces robes étaient destinées à son seul regard. Personne d'autre que ne la verra porter ses robes. Elle en fut soulagée sur le moment. Ses joues s'empourprèrent sous ses compliments et elle ne savait plus où se mettre, surtout quand il lui dit que les sous-vêtements sont superflus. Elle le comprit aisément. Il ne voulait aucune barrière sous ses robes. Les mains de son maître se posèrent sur ses épaules, descendant lentement sur ses bras. A son contact, elle retient sa respiration, le cœur battant à tout rompre. Elle ne faisait aucun geste, le laissant faire mais sans détendre son corps. Elle suivit ses mains alors qu'elles descendaient doucement sur son ventre, la plaquant fermement contre son bassin. Elle ferma les yeux. Il jouait avec l'ourlé de sa robe. Elle frémit sous ses doigts tandis qu'il remontait la robe en caressant l'intérieur de ses cuisses. Elle ne put s'empêcher de frissonner contre lui, prête à s'arracher de son emprise. Elle sursauta contre lui en sentant le majeur se glisser sous la dentelle, effleurant le cœur de son intimité. Il la voulait toute nue. Elle sentit des sensations étranges au creux de son ventre à cause de ses caresses et de ses paroles. Elle se mordit la lèvre inférieur, empêchant un léger gémissement s'échapper de ses lèvres. Elle fut sauvée par Madame Karmack qui venait de les rejoindre. Nerveuse, et mal à l'aise, elle rebaissa la robe sur ses cuisses. Il lui tenait à nouveau ses hanches et elle ne fit aucun geste. Elle resta silencieuse alors que son maître s'était tournée vers la styliste pour lui dire ce qu'il voulait. Elle remarqua la robe aux couleurs clairs que l'Asarienne leur présenta. Sans le montrer et sans rien dire, elle apprécia la robe. Il s'était rappelé qu'elle voulait des tenue simples, élégantes, avec des couleurs claires. Elle ne put s'empêcher de lui en être reconnaissante. Elle était touchée malgré elle. Elle allait devoir changer de comportement. Cela ne fera pas avancer les choses si elle continuait à se comporter comme une tête de mule. Elle suivit donc la styliste sans dire un mot. Elle revient quelques minutes après portant la robe, se sentant plus à l'aise. Elle finit par murmurer à contrecœur qu'elle apprécier la robe sans le regarder. Elle avait repéré une robe et elle lui montra en s'approchant de la robe qui était étalée sur le divan.

« J'aime bien ce style de robe...»


Elle essaya plusieurs robes de tous les jours, des jupes également avec des hauts, des tailleurs jupes et des robes de cocktails. Elle le fit avec un peu plus de ravissement. Son mécontentement s'était envolée, et ses yeux étaient brillants. Elle n'était pas une femme pour rien. Elle s'était toujours cachée, refusant de laisser sa féminité prendre le dessus. Et ces deux spécimens l'obligeaient à en prendre conscience. Ils choisirent plusieurs tenues de tous les jours, surtout Damien, et tout le reste la garde de robes. Evangéline donnait de temps en temps son avis timidement. Bientôt vient le tour des nuisettes, et ça, c'était une toute autre histoire. Elle regardait Damien et la styliste qui étaient postés devant le divan, alors qu'il choisissait ce qu'il désirait. Elle s'approcha doucement sur l'autre côté, et croyant qu'il ne l'observait pas, elle tendit la main vers une nuisette, l'effleurant doucement de ses doigts. C'était du satin. Elle ne s'était jamais permis de mettre ce genre tissu. Elle ne voulait pas gaspiller son argent pour ces frivolités quand elle était libre. Elle laissa tomber sa main, et se tourna vers eux, comprenant qu'il avait choisi les nuisettes et qu'elle devait les essayer et lui montrer. Sans dire que la nuisette lui plaisait, la laissant sur le divan, elle suivit la styliste, et elle en essaya plusieurs et elle défila devant son maître. Elle fut très mal à l'aise, et n'osa pas le regarder alors qu'elle sentit son regard. La dernière nuisette qu'elle essaya était celle-ci.

« Toutes les nuisette vous conviennent? Vous en voulez d'autres? On peut commencer à choisir maintenant les sous-vêtements. »
Demanda Madame Karmack à Damien. Ils choisirent différents et plusieurs sous-vêtements, et Evangéline ne disait rien. Pas par mécontentement mais par gêne. Les sous-vêtements, c'était intime et elle n'aimait pas qu'on voit ce qu'elle mettait. C'était son jardin secret, mais Damien n'était certainement pas de cet avis. Elle était tellement fatiguée de cette longue matinée à essayer, et défiler. C'était surtout fort en émotion, et elle était vraiment épuisée. La matinée était terminée et il allait bientôt être midi, mais ils n'avaient pas terminé. Elle avait hâte. Sans regarder les sous-vêtements que Damien avait choisi, elle suivit la styliste et les essaya tous et fit encore le défiler sous les yeux de Damien. Pendant tout le défilé, elle avait eu constamment les joues empourprées, mal à l'aise. Elle avait eu envie de s'enterrer sous terre. Elle n'était pas pudique pour rien. Elle essaya plusieurs ensembles. L'avant dernier fut celui-ci et elle était entrain de défiler une dernière fois sous les yeux de Damien avec celui-là

« Vous voulez d'autres sous-vêtements? Vous désirez peut-être autre chose? »
Demanda Madame Karmack à Damien. Evangéline était tentée de dire qu'elle avait envie d'un peignoir pour se couvrir. Tout de suite. Et aussi, qu'elle voulait un ou deux pantalons, pour elle, pour son confort. Des pantalon slims mais elle savait que Damien ne serait pas d'accord. Alors elle ne dit rien mais il pouvait aisément le deviner alors qu'elle avait failli le demander sur le moment. Elle s'était retenue à temps en se mordillant sa lèvre.

« Si vous voulez autre chose, il ne faut pas hésiter. Cependant, il faudra me le dire et je reviendrai dans la semaine si il le faut. Je vais devoir bientôt y aller, un autre rendez vous m'attend. » Dit Madame Karmack avec le sourire. Bien sur, il était adressé à Damien et non, à elle. Elle n'était qu'une humaine. Elle était particulièrement vulnérable, seulement vêtue de son ensemble, avec ses pieds nus. Elle frissonna, et frotta son bras gauche de sa main droite, prête à se couvrir. Ils étaient tous les deux habillés, entrain de parler alors qu'elle était à moitié nue, complétement figée sur place. Elle ne disait rien, en espérant que tout se termine bientôt, qu'elle puisse s'habiller.
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MessageSujet: Re: (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]    (Terminé) Une nouvelle vie contre ton corps...[PV Damien]  EmptyMar 27 Jan - 21:40

Le petit défilé d’Evangéline avait été fort appréciable. Madame Karmack avait de très bons gouts et elle avait toujours su aller au-delà de mes attentes quand il s’agissait de faire plaisir à une de mes maitresses ou bien d’habiller une de mes esclaves, comme c’était le cas aujourd’hui. J’avais des idées bien arrêtées sur ce qu’elle devait porter autant à l’extérieur qu’avec moi dans la villa. Je lui avais laissé, tout de même, quelques libertés et ses choix s’étaient portés sur des nuisettes fortes  appréciables au regard,  ainsi que des sous-vêtements. Tout cela avait duré un peu plus d’une heure et lorsque la styliste m’expliqua que nous avions dévalisés tous les vêtements qu’elle avait apportés et que si j’en désirai plus, elle devrait revenir une prochaine fois, je me redressai de mon fauteuil. «Oui, convenons d’un autre rendez-vous. Quand cela vous arrange. Je voudrai deux tenues pour des actifs sportives. Des tenues simples. Elle préfère des pantalons. Vous ajouterez un manteau et deux peignoirs pour la maison. Si vous avez d’autres tenues à nous montrer, je vous fais confiance pour nous les apporter »  dis-je en la saluant d’un baisemain. Elle replia ses grandes valises où elle avait stocké toutes les tenues et je l’accompagnai jusqu’à la sortie de la villa, traversant le jardin avec elle. Son chauffeur plaça les valises dans le coffre et la voiture démarra pour une destination qui m’était inconnue.

Je retournai à l’intérieur, observant d’un air perplexe Evangéline qui était restée en sous-vêtements au centre du salon, figée comme une statue. « Tu peux te rhabiller et monter tous les vêtements dans ta chambre. Tu mettras pour le reste de l’après-midi l’un des robes que tu voudras. Puis, tu viendras me rejoindre dans mon bureau dès que tu auras rangé tout cela. Tu peux prendre ton temps »  Je la laissai se vêtir correctement et je tournai les talons, suivant le long couloir de la villa et atteindre mon bureau. C’était le seul endroit où elle ne devrait entrer sans autorisation de ma part. C’était la pièce où je travaillais, où je pouvais venir me détendre. J’avais encore quelques dossiers à régler et je voulais aussi pouvoir profiter de ma nouvelle esclave.

Une demi-heure après Evangéline apparut sur le seuil de la porte de mon bureau que j’avais laissé ouverte à son attention. J’avais senti sa présence bien avant qu’elle toque discrètement à ma porte. Je levai les yeux des feuilles dispersées et étalées sur mon plan de travail. « Entre, je t’en prie. Installe-toi sur le sofa.  Nous n’avons jamais parlé concrètement de tes expériences avec les autres hommes. Tu es mon esclave, mais j’aime connaitre les envies et les désirs des femmes. Je n’ai pas l’intention de violenter sauf si tu m’y obliges par ton comportement. Je suis persuadée que tu es d’accord avec moi. Les caresses sont plus délicieuses que les coups de fouet ou de cravache.»

Je pensais que nous pourrions être tranquilles en cette fin d’après-midi, passer du temps à mieux nous connaitre, mieux nous comprendre, mais  la sonnerie de mon téléphone portable brisa notre tête à tête, m’excusant auprès d’Evangéline. Je me redressai du fauteuil me rapprochant de la fenêtre de mon bureau pour communiquer avec la personne qui venait de nous déranger. Je devais retourner à la tour Stark, un dossier urgent pressé. C’était Valériane, mon assistante de direction qui avait besoin de ma présence. Je savais alors que ce n’était pas exagéré. Valériane ne m’appeler que dans des situations qu’elle ne pouvait gérer toute seule. Je mis fin à l’échange, me rapprochant d’Evangéline. « Je vais devoir te laisser pour quelques heures. Je te mets au défi de ne pas t’enfuir. Ne me désobéis pas ou mon courroux sera terrible. »

Elle m’accompagna hors du bureau dont la porte se fermait avec un code de sécurité, automatiquement. Tout en rejoignant ma voiture, j’avais déjà hâte à être de retour et voir si la petite humaine était intelligente … ou pas.

(Fin du RP pour moi. Je te laisse clôturer si tu le souhaites. Merci pour ce rp  Wink )
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