Adriana Sinay - 100%

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MessageSujet: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 16:29

 


IDENTITY


Adriana Sinay
feat : Sana Soegaard Belal
   



Prénoms : Adriana
Nom : Sinay
Surnom : Adri, Adria ou le Caracal.
Nom de Code : Aucun
Age : 24 ans
Nature : Humaine
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Métier : Danseuse au Light of Diamond et Boxeuse clandestine
Groupe : Les Humains
Poste vacant / Scénario ? NO



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CARACTÈRE :

"Le regard d'autrui est souvent le véritable miroir de l'âme."

Rue d'un bidonville, 14h09, le 22 décembre.
Une main tendue, pleine d'espoirs et de désillusions. Cette femme n'avait plus rien. D'une voix douce et pitoyable, elle interpellait les passants, suppliant pour une bouchée de pain ou quelques pièces. Pour elle. Pour son fils qui dormait dans ses bras. Elle avait crié en voyant une jeune femme moins misérable que les autres passer devant elle. Un cri de détresse pure, propre à briser le cœur de chacun qui l'entendait. En principe. L'interpellée s'était arrêtée. Elle avait tourné la tête vers la mendiante. Mais contrairement aux autres passants, ses yeux sombres ne s'étaient pas détournés, et ils étaient vides de toute expression. Froids. Pas un soupçon de pitié ou de compassion. Pas de mépris ni de dégoût non plus. De l'indifférence. Un sourire affreusement cynique avait étiré les lèvres de la passante. Glacial. Un frisson de terreur avait secoué la pauvresse. C'était un sourire qui criait au monde son absurdité et la fatuité de vouloir s'opposer à ce qu'il était. Un sourire qui aurait pu être triste si on n'avait pas senti la défiance mouvante qui se cachait entre ces lèvres. Mortel. Les cadavres auraient pu s'amonceler à ses pieds que ce pseudo-sourire n'aurait pas changé. Il était plus froid et plus impitoyable que le destin lui-même. Quand cette femme se détourna, ce fut la mendiante qui la regarda avec mépris et pitié : pauvres étaient ceux qui avaient perdu foi en la vie et en l'humanité.

Commerce du Dôme Humain, 16h58, le 22 décembre.

Cette femme était réglée comme une horloge suisse, songea le commerçant accoudé à son comptoir. Voilà maintenant des années qu'elle se retrouvait à la même heure dans son échoppe. Et toujours à une heure précise, elle venait à son étal pour régler ses produits. Cette minutie temporelle avait fini par aiguiller sa curiosité. Il avait fini par vouloir se renseigner sur cette jeune personne. Sans trop de succès. Elle n'était pas bien bavarde, très effacée. Il n'aurait pourtant pas employé le mot « timide » en parlant d'elle, car elle était loin d'être gauche. Au contraire, elle était déconcertante d'assurance. Jamais sa voix ne tremblait, jamais un article ne s'échappait de ses mains, et jamais ses yeux se détournaient des visages aux regards insistants. La puissance et l'orgueil irradiaient parfois d'elle à un tel point que cela en devenait désagréable. Elle n'était pourtant pas impolie, au contraire. Il lui arrivait même de temps en temps de sourire. Mais ses mots étaient lourds de sens et de non-dits. La légèreté et la futilité d'un discours lui semblait être totalement étrangère. Elle paraissait être tout le temps sur ses gardes, comme une eau dormante attirant les soupçons, entre calme et agressivité, et entre froideur et douceur.

Night-Club Light of Diamond, 01h05, le 23 décembre.

Il ne l'avait pas vraiment remarquée. Elle s'était sans doute faite discrète, très effacée, pour réussir à échapper à son regard expérimenté et habitué à déceler le potentiel de chacune des femmes qu'il croisait. Pourtant, les danseuses de cette heure-ci avaient toutes circulé parmi les clients pour vanter les mérites du spectacle à venir. Il les avait observées chacune leur tour, et pourtant celle-ci était passée entre les mailles du filet. Incompréhensible. Ce qu'il avait sous les yeux était sans doute l'une des prestations les plus abouties qu'il ait vu depuis longtemps. Et la danseuse au centre-droit de la chorégraphie y était certainement pour beaucoup. Le moindre de ses gestes était un pur appel à la sensualité, avec ce qui fallait comme fond de sauvagerie dans la finition. Sa crinière brune et opulente complétait le mouvement tout en le rendant unique, et la fine pellicule de sueur sur ses hanches n'était qu'un ornement supplémentaire à la danse. L'air musical avait à peine prit fin, qu'il s'approchait déjà d'elle. (…) 2h49. L'homme sortit du bar, désorienté. Il avait l'étrange impression de s'être fait embobiner. Cette danseuse pouvait être la séduction faite femme, mais ne laissait aucune prise, aucune ouverture. Rien au hasard dans sa discussion, chaque flèche décochée avec minutie et précision. Le mystère auréolait le moindre de ses phrases, et le cynisme se dissimulait derrière chaque respiration. Et pourtant, il n'avait pas réussi à la trouver totalement désagréable, ni insolente. Il soupira. Incompréhensible. C'était le mot.

Quartiers souterrains, Ring Clandestin, 6h42, le 23 décembre.

Le bruit assourdissant dans les tribunes pouvait sembler démesuré lorsqu'on y voyait le peu de spectateurs qui s'y pressaient. Cela étant sans doute dû à l'exiguïté des lieux. Et le combat qui s'y déroulait en leur centre. Le Caracal combattait ici tous les deux-trois jours. Elle ne gagnait pas toujours. Mais elle était douée, et le peu de femme participant aux combats clandestins des bidonvilles, faisait d'elle une sorte d'attraction, un quasi-mythe, objet à la fois d'admiration, de convoitise et de mépris. Elle se battait véritablement comme une féline, brutale, impitoyable, esquivant les coups avec souplesse pour les rendre avec deux fois plus de brutalité. Ne lâchant pas une seule fois son adversaire des yeux, même lorsque le sang se mettait à couler et à maculer le sable. Nul ne savait vraiment pourquoi elle s'infligeait cela. Rage, vengeance, folie, appât du gain ? Il faut dire que les victoires rançonnaient gros. Et qu'elle était douée. Réfléchie et impulsive à la fois, sauvage et posée, brave mais prudente. Une véritable prédatrice. Mais certaines nuits, on la voyait perdre le contrôle. Et l'on ne savait jamais très bien si c'était la sueur ou les larmes qui coulaient le long de ses joues.

Résidence aux abords du Dôme Humain, 8h21, le 23 décembre.

Il l'attendait. Elle ne rentrait jamais avant 8h, et jamais après 8h28. Précisément. Il regardait toujours l'horloge murale de sa chambre pour vérifier. L'angoisse et l'agacement au fond du ventre. Et si un jour elle ne rentrait plus ? Ce matin-là, le bruit lourd de ses pas dans les escaliers lui donna à nouveau tort. Il baissa les yeux. Il n'aimait pas voir sa pâleur et ses hématomes lorsqu'elle rentrait des bas-fonds. Il n'aimait pas qu'elle lui rappelle son impuissance. Ni la sienne. Il n'aimait pas l'ombre de la culpabilité au fond de ses yeux, si semblables aux siens, porteurs d'une résignation et d'une douleur qu'il refusait de voir. Et cette rage, la même que la sienne, qui la forçait à continuer coûte que coûte. Il n'aimait pas avoir l'impression d'être faible face à elle. Il lui en voulait de s’épuiser ainsi, et de se cantonner à cette vie misérable d’Humain soumis… Même si elle le faisait pour lui, pour eux... Pourquoi... ? Les clés claquèrent contre la porte. Il rabattit la couverture élimée sur son reste de jambe. Il lui en voulait, mais il haïssait la voir pleurer quand elle se souvenait...


CAPACITES :
Adriana est une combattante efficace, que les occasions et les périls ont exercé les poings. Elle est devenue une boxeuse hors pair, capable de vaincre des adversaires bien plus imposants qu'elle et son petit mètre soixante-dix. Elle a servi de garde du corps auprès des membres les plus vulnérables de la communauté. Sa santé est excellente, tout comme sa souplesse et son endurance - elle est capable de grimper et de courir extrêmement vite. Ses capacités ont poussé ses voisins à lui attribuer le surnom de « caracal », ce félin souple et discret du désert. Son énergie fait aussi d'elle une danseuse émérite, et une acrobate intrépide. En outre de cela, Adria est capable de se fondre dans la masse, et de se faire oublier extrêmement facilement. Un caméléon. Mortel, le caméléon… Car qui sait un fin poignard ne saurait surgir d’une de ses poches.

NOTES PARTICULIÈRES :
Elle a une cicatrice au-dessus de la hanche droite, et un tatouage représentant une tête de félin au même endroit. Sa peau est mate, et elle possède une véritable crinière de lionne, aussi sombre que ses yeux. Elle a souvent des bleus et des égratignures au niveau du visage et du ventre.



BIOGRAPHY


Il n’y a jamais grand-chose à dire d’une vie qui soit si important, avec du recul. La vie est une expérience, qu’elle soit longue ou courte, où un sujet croit toujours découvrir des plaisirs et des douleurs, alors que des centaines et des centaines d’autres cobayes ont connus avant lui. L’Histoire ne se répète pas, mais elle prend plaisir à tourner ses refrains sur d’infimes variations, dont l’importance réside seulement dans ce qu’en fera celui qui les subit…
Prenons les jumeaux, par exemple. Dès l’Antiquité, on en entendit parler. Artémis et Apollon. Remus et Romulus. La race humaine les a tantôt vénérés, tantôt rejetés violemment. Mais au final, ils restent toujours jumeaux : deux faces d’un même ventre, d’un même œuf, deux êtres nés ensemble pour mourir séparés… Seuls les Asariens abandonnèrent, parmi tant d’autres, cette particularité si précieuse. Ainsi n’en fut-il pas de même pour les humains survivants. Ainsi vinrent au monde Hadrian et Adriana Sinay.

Issus du ventre d’une mère abandonnée par un mercenaire peu scrupuleux, dans l’hiver glacial de l’année 2092, ils furent orphelins avant même d’être enfants. Mais si l’humanité est au comble de la déchéance, le bidonville est un endroit où on n’ose pas abandonné deux bébés à leur triste sort. Ils passèrent donc leurs sept premières années au sein de plusieurs familles, plus ou moins aimantes, plus ou moins débrouillardes, au sein de dizaines de frères et sœurs d’adoption. Ils eurent l’occasion d'apprendre à lire et écrire à un rythme fulgurant, que leurs vies itinérantes nécessitaient… Adriana surtout, se passionna pour les œuvres retrouvées dans les bibliothèques délaissées, un goût qui perdura au long de sa vie.
Puis, vint l’âge de raison, et on finit par les délaisser, comme bon nombre de gamins que tout le monde apprécie, mais que personne ne prend le risque d’aimer… Ils rejoignirent les gamins des rues, si nombreux, si forts et si faibles à la fois. Dans les bas-fonds a toujours régné la loi du plus fort. Mais Dieu – quelque soit-il dans ce sombre monde – merci, ils avaient la loi du nombre avec eux. Rares étaient les enfants qui pouvaient compter un allié parfaitement fiable parmi leurs rangs. Oh, il y avait bien des frères et sœurs. Mais même ce lien fait pour durer, finissait par se diluer au profit de la nécessité de survivre. Les faibles étaient laissés derrière.

Adriana et Hadrian étaient forts. Forts de leur lien si mystérieux et profond que seuls les jumeaux et les âmes sœurs comprennent sans l’expliquer. Ils étaient deux. Deux gamins maigrelets, mais aux muscles saillants, à la souplesse défiant le possible. Deux visages constellés de boue et de glace, mais dont les yeux noirs brillaient du même éclat d’intelligence et d’audace. On eut tôt fait de les appeler les « lionceaux » du dôme. Ombres bondissantes sur les toits et les pavés, ils se rendaient utiles et gagnaient leur pitance en tant que coursiers, messagers, manutentionnaires aux petits bras, acrobates, chanteurs à la sauvette, voleurs de rue… De ces années, il n’y eut que peu à en dire, car les jours, s’ils étaient fait d’imprévus et d’accidents constants, avaient tous la même histoire de survie et de batailles à raconter.
Chaque soir, les jumeaux s’endormaient épuisés l’un contre l’autre, dans le coin d’une impasse, ou chez un employeur compatissant quand ils avaient de la chance ; priant pour que le jour suivant les laisse libres. Car les rafleurs rôdaient. Le marché des esclaves était toujours en quête de jeunes proies un tant soit peu utiles et prometteuses pour leurs riches clients. Leur petite réputation de bêtes de cirque n’avait pas que des avantages. Et avec le temps, les deux adolescents gagnaient en force et en beauté – autant dire en valeur marchande aux yeux des esclavagistes… Combien de fois avaient-ils du fuir et grimper au péril de leurs vies, pour échapper aux filets de leurs tortionnaires ? Ni l’un ni l’autre n’avaient eu le courage ou le cynisme de compter. Du temps qu’eux s’en sortaient, il n’y avait rien d’autre à en tirer.

Avec l’âge, ils prirent chacun un emploi assez régulier. Adriana devint danseuse au Light of Diamond, et Hadrian, serveur. Cela leur permit de s’installer hors des bidonvilles, dans le petit village humain, loin des Dômes et de leurs dangers. Quant à leurs employeurs, ils étaient ravis. Après tout, les deux adolescents possédaient un charme qui laissait peu de clients et de clientes insensibles. Le sourire d’Hadrian et les œillades cyniques de sa sœur étaient vendeurs, tout comme leurs silhouettes athlétiques et leurs cheveux léonins que les riches Asariens eux-mêmes ne pouvaient s’empêcher de suivre du regard. Combien de ces « richardes » avaient posé leurs mains sur le postérieur musclé du jeune Hadrian, lui arrachant des rougissements furieux, et rendant folle de rage sa jeune sœur ? Combien de jeunes Asariens ambitieux avaient cherché à isoler Adriana dans un recoin sombre du bar, à la fureur impuissante de son jumeau… ?

Leur vie passait, sombre et morose, entrecoupée de colères et d’impuissances. C’est à l’aube de leurs vingt ans, en 2112, une infime lueur d’espoir vint éclairer leur quotidien. La lueur portait le nom de l’Insoumission, dont les coups commençaient à prendre de l’ampleur. Hadrian était celui que cette perspective enthousiasmait davantage que sa jumelle, plus prudente, plus en retrait. Il aimait sa sœur, mais des deux, il était aussi le plus fragile au fond : celui qui avait le plus mal vécu la séparation de leur sept ans, et celui que la perspective d’avoir une famille, une vraie famille, aussi dangereuse soit-elle, faisait le plus rêver… Au péril de l’emploi précaire, et de la stabilité qu’ils effleuraient du doigt. Sociable, solaire, souriant, il avait en lui la force optimiste qui faisait tenir leur tandem malgré les épreuves. Adriana finit par le suivre.

Ils se mirent en quête des malfaiteurs. Peu étaient ceux qui voulaient bien les renseigner. Mais, après plus d’un an d’intenses recherches, ils finirent par remonter une piste. Les Insoumis avaient prévu d’attaquer un convoi en route vers le Dôme Asarien du Commerce. La rumeur de l’attaque était parvenue jusqu’aux sens aguerris des deux adolescents. Ils avaient suivi les camions, sautant de toits en toits et se dissimulant dans les buissons, comme à leur habitude. Enfin, après une course prudente mais effrénée, ils entendirent des cris et des coups de feu. Bien décidés à prouver leur valeur, et à rejoindre enfin les Insoumis, ils bondirent dans la mêlée. Ils n’eurent pas l’occasion de rejoindre les attaquants. Tout se passa excessivement vite. Un tir – était-il Asarien ou Insoumis, aucun moyen de le savoir... Un camion se renversa. Droit sur les jumeaux.

Hadrian perdit sa jambe droite.
Adriana garda une profonde cicatrice le long de sa hanche.
La vie perdit toute lueur.

Le jeune homme frôla plusieurs fois la mort. La gangrène menaçait. Adriana doubla ses heures au Light of Diamond. Elle prit le chemin périlleux des rings clandestins, et n’en sortit plus. Son frère perdit tout sourire. Il devint morose, irascible, engoncé dans son désespoir. Voir sa sœur se tuer à la tâche pour leur survie lui enleva toute envie de vivre… Il restait dans le Bidonville, errant tel un spectre dans leur chambre insalubre… Lorsque la Milice vint exterminer les Bidonvilles, Adriana s’enfuit avec lui de justesse, perdant une grande partie de leurs économies, et leur point d’attache. Une fois que les choses se furent calmées, elle reprit le boulot avec davantage d’acharnement. Sa petite notoriété lui permit de garder une place dans les bas-fonds. Plusieurs fois, elle hésita même à faire commerce de son corps… Sans en avoir le courage. Hadrian ne lui aurait jamais pardonné ce déshonneur. Plusieurs fois, d’ailleurs, il tenta de mettre fin à ses jours, persuadé que sa mort permettrait à la jeune femme de s’en sortir. Mais Adriana s’accrochait à la vie de son jumeau plus qu’à la sienne. S’il mourait, disait-elle, autant la tuer elle aussi dans l’instant. Seuls, elle n’avait que lui.

Ils étaient nés ensemble. Ils devaient mourir ensemble.



BEHIND THE SCREEN


PRÉNOM / PSEUDO : Lyan
ÂGE : 20 ans
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT NOTRE FORUM ? Top-site
FRÉQUENCE DE CONNEXION : Moyenne
MOTS DE PASSE ENVOYÉS A ? Mara Jade




Dernière édition par Adriana Sinay le Lun 10 Oct - 22:21, édité 4 fois
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Amaria Saria
Présidente de la Cité
Ancienne ; Longue-Vie

Amaria Saria
Messages : 263

Localisation : Asaria
Côté coeur : Libre

Activité/Profession : Présidente de la Cité, médecin et généticienne

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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 17:11

Bienvenue Adriana ! Adriana Sinay - 100% 3157880855
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 17:23

Bienvenue et bon courage pour ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 17:35

Bienvenue Adriana Sinay - 100% 3335444030
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Héléna Carter
Pacificatrice Asarienne
Héléna Carter
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Localisation : Toujours à fouiner !
Côté coeur : En plein doutes

Activité/Profession : Journaliste/ Reporter de terrain au Times

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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 18:06

Bon jeu Mademoiselle Adriana Sinay - 100% 2670602134
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Natacha Grey
Humaine Rebelle
Natacha Grey
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Côté coeur : Un seul détient la clé de son coeur

Activité/Profession : Serveuse au Luxor/Membre de la Section des Opérations Externes en Infiltration

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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 19:31

Bienvenue sur Asaria !! Smile
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 20:18

Merci à tous Adriana Sinay - 100% 2577736060 !

Fiche terminée o/
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Phoenix
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Phoenix
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyDim 9 Oct - 22:14

Bonsoir Adriana,

ta fiche passe à présent en lecture auprès du staff.
Je reviendrai au plus vite vers toi s'il y a des modifications à y apporter Wink

@
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Phoenix
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyMar 11 Oct - 7:26



   
Félicitations
   
ta fiche est Validée !



    Asaria, sa cité et ses terres sauvages s'ouvrent désormais à toi !


Merci pour les corrections que tu as apportées à ta fiche.
Très belle histoire dans laquelle on se sent attirer immédiatement  Adriana Sinay - 100% 4270452385

   J'espère que tu as bien pris connaissance de toutes les informations nécessaires, rempli ton profil et ta fiche de personnage (Informations complémentaires).
    Je t'invite aussi à créer ta fiche de sujets et de liens ainsi qu'à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour le jeu.

   Le flood et la Chatbox t'attendent aussi, alors n'hésite pas à nous rejoindre !

   Très bon jeu à toi et au plaisir de te croiser sur nos terres de Prophétie !
   Amuse-toi bien parmi nous !



   
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyMar 11 Oct - 12:46

Bienvenue humaine ! Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Adriana Sinay - 100%   Adriana Sinay - 100% EmptyMar 11 Oct - 12:52

Merci Lulu-mière Adriana Sinay - 100% 2975933492

Merci, Asarien en complet-veston Twisted Evil
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