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 Amaterasu, ACT –G-000

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Amaterasu, ACT –G-000 Empty
MessageSujet: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyMar 28 Juil - 14:06




IDENTITY



Amaterasu
feat : MissSinisterCosplay


« Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Mais je pense que le développement d'une intelligence artificielle complète pourrait mettre fin à l'humanité. Une fois que les hommes auraient développé l'intelligence artificielle, celle-ci décollerait seule, et se redéfinirait de plus en plus vite. Les humains, limités par une lente évolution biologique, ne pourraient pas rivaliser et seraient dépassés. »
Stephen Hawking, 2014



Prénom : Amaterasu. Ce nom ne fut pas choisi au hasard et présente aujourd’hui une ironie certaine, puisqu’il est celui de la déesse Shintoïste du Soleil, le même qui effraie tant les Asariens.
Nom : Une machine n’a pas de nom de famille.
Surnom :Elle dispose d’un numéro de série, qui est en réalité son nom véritable : ACT –G-000 (pour Aisawa Cyber Technics, Gynoïd 000)
Nom de Code : Aucun
Age : 67 ans
Nature :{Organisme Cybernétique, il s’agit d’une Intelligence Artificielle}
Orientation sexuelle : Programmation Féminine
Métier : Officier de la Milice
Groupe :
Date du SEER : Aucun
Poste vacant / Scénario ? NON.






MORE




CARACTÈRE :
Comment décrire le caractère d’une Machine ? Amaterasu est une Intelligence Artificielle, une création de l’homme qui n’a rien à voir avec un être vivant tout en recherchant à l’imiter le plus possible. Le point de départ le plus simple et évident est encore de commencer par ce qui fait d’elle une machine au sens propre du terme : il est impossible de caractérisé les actions de la machine comme « bonne » ou « mauvaise », car la morale elle-même à céder sa place dans son mode de fonctionnement a un « esprit » purement cartésien, fait de réponse logique face à des problèmes posés. Pour une machine, tout n’est qu’équation et elle fait que répondre de manière mathématique a ses dernières, connaissant bien entendu la portée de ses actes, mais ne les jugeant que par rapport à une échelle de valeur mathématique. Ce mode de fonctionnement peut la faire paraitre bizarre aux yeux des vivants, mais elle juge tout aussi durement ses derniers par leur manque de logique. Bien que conçu pour apprendre des humains et des asariens, Amaterasu ne comprend pas leurs inconstances, cette capacité étrange à faire tout et son contraire le lendemain.

Ce fonctionnement simple en fait toutefois l’agent de la Milice parfait, ce qui explique son accession au rôle d’Officier : on lui confie un objectif, elle l’analyse froidement et choisit la solution mathématiquement la plus efficace sans aucune autre considérations, une chaine de décision convenant parfaitement aux cadres dirigeant Asariens, mais peut-être moins a certain de ses collègues, car la machine ne fera rien d’autre que son travail et son objectif. Beaucoup d’Asarien considère la Milice comme un bon moyen d’exercer leurs pouvoirs sur les humains, les terroriser et profiter des « compensations récréatives », mais une machine est au-dessus de tout ceci et même considère ses démonstrations de violence comme des parasites ralentissant ses missions. La machine ne recherche pas l’amusement ou le plaisir, ceci n’est rien d’autre à ses yeux qu’une autre source d’information sans autre valeur d’information, transformé en une série de 0 et de 1 dans sa base de données. De ce fait, on lui confie avant tous les tâches les plus difficiles, nécessitant l’efficacité absolue, lui évitant les tâches trop exposées servant généralement simplement à faire une démonstration de force afin de conserver la masse informe et stupide de la race humaine sous le contrôle de la race supérieure.

Pourtant, cet « esprit » mathématique ne saurait définir Amaterasu parfaitement : Aisawa souhaitait que ses intelligences artificielles soient capables d’apprendre, de progresser, s’améliorer et faire leurs propres choix en construisant leurs échelles de valeurs. Ce faisant, les années passant au contact des vivants, Amaterasu changea, une partie de cette froide logique s’effrita et elle commença, comme son « frère » Tsukuyomi, à se construire certaines mimiques ou habitude lui donnant une apparence plus vivante que celle d’un simple robot : il s’agissait d’une nécessité pour un androïde d’infiltration, mais les heures sombres de cet époque avait donné à Aisawa des ambitions différentes : il a doté les deux robots de l’histoire complète du Japon, ses rites et traditions, espérant qu’ils adoptent le Shinto et le Bushido comme système de référence. Ce fut en partie un échec, pourtant, il arrive parfois que la jeune femme se refuse ou bloque certains actes en invoquant le vieux code de conduite de la vie des Samouraïs. Pour les Asariens qui ignore sa vraie nature, ce n’est que les caprices d’une Ancienne n’assumant pas totalement sa vraie nature, mais ceux qui savent s’interroge sur ce rapport étrange a ce code d’honneur si strict.

La relation tissée avec son « frère » sort également des sentiers battus pour une machine : issue du même fabriquant et éveillé en même temps, le duo est inséparable et chacun c’est toujours mutuellement protéger dans les moments les plus difficiles : lorsqu’ils étaient mercenaires, ils travaillaient toujours ensemble et se connaissent parfaitement. Chacun a appris des évolutions de l’autre, absorber les mimiques typique du genre humain et ils sont même capable de faire preuve d’un certain sens de l’humour, ce qui n’est absolument pas nécessaire pour une machine. Son frère est toutefois moins « spirituel », la Religion, la Vie, la Mort, le sens même d’Exister sont des questions qui hante le programme informatique d’Amaterasu. Elle a curieusement développé un « goût » pour la baignade et son appartement en ville dispose d’une grande piscine ou on la trouve souvent, s’enfonçant dans l’eau les yeux fermés, recherchant à provoquer certains fait typiquement humain qu’elle ne pourrait pourtant jamais faire : elle ne peut rêver, ni pleurer, ce qui lui a dicté une certaine source de frustration, étant incapable de comprendre ce qui se dissimule mathématiquement parlant derrière ses notions. Pourtant, elle n’a pas renoncée et continue à observer les êtres vivants en quête d’une nouvelle information qui l’aiderait à comprendre ses notions.

L’Intelligence Artificielle elle-même fut dotée par Aisawa de plusieurs capacités. La plus remarquable fut probablement d’assurer à la structure de son programme une autonomie lui permettant de « voyager » : quitter son processeur central pour pouvoir infiltrer celui d’un autre : elle peut ainsi prendre le contrôle d’un système informatique et piller ses informations, à condition d’être directement relié à cette dernière par l’intermédiaire de plusieurs câbles, relié à son cou. Cette action a toutefois un prix : elle ne pourra faire bouger son corps cybernétique tant qu’elle voyage hors de son CPU et si celui-ci était détruit, elle serait alors condamnée à être enfermé dans un système souvent moins perfectionnés que le sien, mais surtout moins mobile. De plus, certains systèmes sont particulièrement résistants : la présence de pare feu très perfectionné peuvent limiter, voire interdire l’accès à l’intelligence artificielle sans un travail de piratage informatique long et fastidieux, d’autant plus dangereux alors qu’elle a quitté son corps cybernétique. Sa programmation était dotée dès sa création de connaissance poussée dans les arts martiaux d’origine japonaise ainsi que sur le maniement du sabre et de la plupart des armes à feux existant à cette époque. Bien entendu, ses connaissances ont été mise à jour en suivant les progrès de l’armement, mais elle peut également ajouter de manière brute des connaissances en se raccordant à un système par l’intermédiaire d’une prise située dans le dos de son cou. Cette manœuvre présente toutefois des risques, car elle est vulnérable durant cette période d’apprentissage, ce qui explique pourquoi elle ne fait généralement ce genre de « mise à jour » que dans son appartement, sur un siège particulier.



POUVOIRS ou CAPACITES :
Corps Cybernétique : Amaterasu n’est pas une créature de chair et de sang : derrière une peau artificielle et divers subterfuge pour imiter parfaitement l’apparence humaine se trouve un exosquelette de métal renforcé d’une puissance que bien peu soupçonne réellement. Cette nature artificielle implique des forces et des faiblesses particulière qui doivent être prise en compte, que vous affrontiez la machine ou que vous soyez amené à combattre à ses côtés. Notez que cette partie ne concernera que les éléments relatifs au corps cybernétique. Pour les capacités de l’Intelligence Artificielle elle-même, veuillez-vous référez a la partie caractère pour obtenir plus de détails.
1 / Capacités Physiques : Curieusement, le Sérum SEER a privé les femmes Asariennes du développement de la force physique, mais une machine ne s’embarrasse pas de ce genre de considération. Aisawa a conçu ses deux robots de manière égale et de ce fait, Amaterasu dispose d’une condition physique bien plus grande que celle de son entourage féminin : elle pourra soulever un poids conséquent sans efforts, forcer l’ouverture d’une porte automatisé à main nue, voire encore défoncer un mur en rentrant dedans à grande vitesse. Ses capacités de courses sont également très élevées : si la machine se déplace généralement d’une manière fine et gracieuse en marchant, elle peut atteindre des pointes de vitesses vers les 100km/h en course, abandonnant toute notion d’esthétique, mais atteignant une vitesse suffisante pour rattraper nombre d’humains, voire même des Asariens si cela s’avérait nécessaire.

Amaterasu dispose d’une couche isolante entre sa peau et son exosquelette pour éviter les électrocutions et son poids est réparti correctement, lui permettant d’être capable de nager si nécessaire. Toutefois, tout a un prix : son poids lourd peut rapidement trahir son statut, car rare sont les ascenseurs capable de supporter le poids d’un robot de combat se rapprochant de la tonne, ce qui la rend également très difficile à transporter. Sa peau artificielle est également très fragile : elle est capable de cicatriser, imitant les mécanismes de la peau, mais devra être remplacée si sa surface est trop endommagée, la plupart des dommages subit par cette peau viendrons également détruire la couche isolante, la rendant vulnérable à l’électrocution, une simple griffe peut endommager cette peau artificielle, tandis qu’une balle de n’importe quel calibre viendra à bout de la couche en caoutchouc. Les prises situées derrière son cou sont également un point faible pouvant être exploité pour une électrocution, même si sa peau artificielle n’a pas été endommagée. Enfin, comme n’importe quelle machine, Amaterasu est vulnérable aux ondes EMP, qui neutraliserons ses systèmes durant plusieurs minutes.
2 / Résistance : Amaterasu profite de son blindage pour représenter une cible à détruire bien plus complexe qu’un être vivant normal : qu’il s’agisse d’arme à feu ou laser, la plupart des projectiles ne feront qu’endommager la peau artificielle sans entamer le blindage du Gynoïde, les rendant de ce fait inopérant. Cependant, elle n’est pas invulnérable pour autant : des gros calibres, des armes explosives ou encore antichar seront capable d’en venir à bout et a l’instar des armures de combat, elle est particulièrement vulnérable aux armes à plasma, ou son corps cybernétique est à égalité avec celui des humains et des asariens en terme de résistance (soit pratiquement le néant). Bien évidemment, étant donné sa nature robotique, elle est insensible aux poisons, toxines et armes incapacitante visant les êtres vivants.
3 / Senseurs : Un être vivant utilise ses sens pour pouvoir se déplacer dans son environnement : une machine n’est pas différente, elle a besoin de senseurs pour être capable d’analyser son entourage et ainsi s’y mouvoir, interagir et apprendre. Cette batterie de senseurs sont en moyenne plus efficace que les équivalents organiques, mais peuvent être également plus sensible : si la machine est capable de connaitre des informations en reliant certaines données avec ses connaissances (si elle dispose d’un prélèvement sanguin d’une cible, elle sera capable de l’identifier en avalant son sang et en comparant les relevés de celui-ci avec les données enregistrée dans la base de donnée de la Milice par exemple), elle peut également être trompée par des systèmes de brouillage avancée.(la technologie CHAFF peut se montrer particulièrement efficace pour tromper ses sens à condition d’être utilisée dans des espaces confinées)

Son HUD (Head Up Display, l’équivalent de sa vue) lui donne de nombreuses informations en temps réels et fait preuve d’une précision diabolique. La machine dispose des modes de visions militaires les plus courants (Thermiques et Nocturnes) et est également capable de procéder sans accessoires à des scanners aux rayons X. Elle traite ce qu’elle touche et ce qui la touche, comme les blessures, comme des informations.
4 / Camouflage Optique : Conçu à l’origine comme une machine d’infiltration et d’assassinat, Amaterasu reçu un dernier cadeau de la part d’Aisawa : le prototype d’un système révolutionnaire de camouflage optique qui n’était encore qu’un vague projet à l’époque. Il utilise un système ingénieux visant à refléter la lumière afin de faire disparaitre son utilisateur de la vue de son entourage. Ce système est toutefois loin d’être parfait : il ne camoufle que le corps du robot, ce qui signifie qu’elle doit être nue pour pouvoir l’utiliser et sans arme. De plus un œil attentif saura remarquer des perturbations dans son champ de vision si la machine fait des mouvements trop brusques qui trahirons sa position et permettrons aux Asariens, dont les sens sont plus développé, de la remarquer.

NOTES PARTICULIÈRES :
Kusanagi no Tsurugi : Kusanagi no Tsurugi était à l’origine l’épée de l’Empereur du Japon, d’après la légende, un cadeau divin d’Amaterasu a ses enfants de la lignée impériale. Aisawa, qui a baptisé cette arme, a toutefois préféré la représentation traditionnelle du Katana. Visuellement, celui-ci n’a rien de particulier par rapport à ses pairs : il s’agit d’une lame recourbée de soixante centimètre de long disposant d’un seul côté tranchant et capable de coup d’estoc particulièrement bien équilibrée et dangereuse. Toutefois, son concepteur en fit une arme « Haute Fréquence », la dotant d’une cellule énergétique produisant une vibration suffisamment forte pour pouvoir éventrer une porte blindée. Amaterasu n’aurait pas vraiment besoin de cette épée, mais elle a appris à apprécier l’allonge et le confort offert par le maniement de cette arme et ne s’en sépare que rarement.






BIOGRAPHY



1 / La colère d’Amaterasu

Pour mieux appréhender l’histoire du Gynoïde Amaterasu, il convient de revenir à ses origines, intimement lié au destin de l’ancien Empire du Soleil Levant. A la fin de l’ère Showa et sous l’impulsion occidentale, le Japon devint un pays enfermé entre le traditionalisme et la modernité qui avait placé sa foi en un avenir meilleur sous les auspices de la technologie de pointe : les Zaibatsu, puissantes firmes nippones placés sous la dominance des anciennes familles de Samouraï, respectèrent dans leurs grande majorité des enseignements du Bushido, le code guerrier ayant régit la vie et la mort dans l’honneur de cette caste guerrière connu et crainte dans le monde entier. A l’ère du capitalisme roi et des décisions cruelles ou les chefs d’entreprises pouvaient licencier sans vergogne pour augmenter artificiellement leurs profits en bourse, les dirigeants des Zaibatsu devait s’humilier en excuses publiques retransmises à la télé pour chaque « licenciement économique ». Resté très nationaliste, une partie de la population restait haineuse envers les autres populations asiatiques, considérée comme inférieure, particulièrement la Chine. Le négationnisme était très puissant au Japon et la dette du pays, abyssale, était tenue par sa population, lui permettant de prospérer sans subir la pression des marchés.

Alors que beaucoup de pays occidentaux pensait que les traditions désuètes entourant l’Empereur Nippon étaient désormais révolues, il n’en était rien. La cours impériale vivait toujours très isolée, n’accordant que peu d’apparition publique et l’Empereur, considéré par le Shinto, la religion dominante, comme le fils d’Amaterasu, restait une figure inaccessible. L’apparition du SEER causa bien plus de problème moraux dans ce pays qu’ailleurs. Certains leaders de Zaibatsu peu scrupuleux se procurèrent le SEER, ainsi que les grandes familles de Yakuza, qui y voyait un moyen d’accroitre leurs influences et leur corruption au sein de l’appareil d’état de l’Empire, mais la Cour Impériale ainsi que nombre de dirigeant d’entreprise et de l’Armée s’y refusèrent, arguant qu’il s’agissait d’une hérésie envers le Shinto. L’Empereur était d’origine divine, un être sacré placé de facto au-dessus de tout autre être vivant. Pour l’immense majorité de la caste impériale, le SEER n’était que l’œuvre félonne d’un étranger sans intérêt. Pourtant, même un pays aussi replié sur lui-même ne pouvait échapper aux affres de la mondialisation. Le SEER se répandit comme une trainée de poudre et ses utilisateurs firent tous leurs possibles pour devenir des despotes omnipotents.

Pour Aisawa Cyber Technics, SEER fut la plus grande catastrophe de son existence : le développement si rapide du cerveau humain et l’accès à une vie éternelle, ou presque, mis fit dans le monde à l’intérêt porter à la cybernétique et la création des intelligences artificielles qui marqua cruellement le pas, manquant de financement. L’objectif était pourtant à portée de main, mais les utilisateurs du SEER considéraient cela comme dépassé, où peut-être y virent-ils une menace, quoi qu’il en soit, ils pesèrent de tous leurs poids dans l’effondrement de l’économie numérique et parvinrent a de joli résultats. L’Empire s’enfonça dans le Chaos lorsque les Yakuza décidèrent de forcer la main du Japon en faisant assassiner l’Empereur au sein même de la cité impériale : un injecté d’infiltra dans le complexe, neutralisa sans effort les gardes grâce à ses capacités supérieure et assassina la famille impériale, décapitant l’une des plus vieilles dynasties de la noblesse mondiale. Sans héritier, la famille royale cessa d’exister et les leaders des Zaibatsu prirent progressivement le pouvoir, adoptant à leurs tours le SEER en reniant les préceptes du Bushido.

Pourtant, la résistance s’organisa : les humains se rebellèrent contre ceux qui se considéraient désormais comme leurs maîtres, et Aisawa trouva dans cette résistance une source de financement nouvelle qui allait lui permettre d’achever son œuvre : la création des deux premières intelligences artificielle complète et autonome. Au départ, les résistants avaient pensé créer un système numérique très élaboré capable d’accouché d’une armée mécanisé qui briserait les évolués, mais Aisawa Cyber Technics avait perdu beaucoup d’argent et de moyens et ses progrès, bien que nette depuis les nouvelles rentrées d’argents, restait trop lent aux yeux des leaders de la résistance : obtenir les anciens missiles nucléaires et construire de nouvelles armes atomiques semblait plus sûr et bien moins couteux. Aisawa lui-même tenta de les convaincre de renoncer à cette folie, persuadé que ses machines pourraient renverser la situation et instaurer un ordre juste, ou tout le monde aurait les mêmes droits et devoirs, mais les résistants commencèrent a le soupçonner de vouloir simplement utiliser ses robots pour prendre la place des Asariens et ne reculèrent pas, l’apocalypse nucléaire était désormais inévitable.

Une dernière fois, l’ile martyr du Japon connu le feu atomique, mais abrité derrière un abri renforcé, le professeur ne risquait rien. Toutefois, la vision de cette apocalypse l’avait mentalement brisé et cet humain si brillant n’avait désormais plus d’espoir. Il interpréta cela comme la colère d’Amaterasu face aux hommes ayant laissé son enfant mourir sans être parvenu à le défendre, une période d’apocalypse nécessaire avant un renouveau. Pour lui, ses deux machines incarneraient l’espoir d’une vie meilleure pour la race humaine et il décida donc de lancer l’expérience ultime : les résistants avaient exigé de lui qu’il installe des protocoles de contrôle limitant les décisions des intelligences artificielles afin d’en conserver le contrôle : il les retira sur ses deux prototypes prêts et lança leurs mises en services. Il inclus dans leurs bases de données l’histoire du Japon, le Shinto et le Bushido, les baptisa du nom de la divinité du Soleil et de la Lune, Amaterasu et Tsukuyomi, puis se suicida par le rite du Seppuku, refusant de vivre plus longtemps dans cette folie et espérant par cet acte faire pénitence pour avoir échoué à protéger la famille impériale et stopper un désastre, laissant ainsi ses « enfants » sans but véritable.

2 / L’Exode :

A sa « naissance », Amaterasu ne découvrit qu’une salle sombre, son propre « frère » Tsukuyomi, une impressionnantes réserve d’armes et de munitions, des vêtements à leurs tailles, du matériel de maintenance, un véhicule et le cadavre de leurs créateur suppliciée. Ils étaient deux êtres d’une nouvelle « espèce », trouvant naissance dans un monde plongé dans le chaos et la nuit éternelle. Pourtant, les deux machines, conçues pour un usage militaire, ne perdirent pas de temps. La logique froide et mathématique l’emporta sur tout le reste et chacun s’équipa pour la guerre. Il y avait trop de matériel pour emporter tout dans le véhicule, les machines privilégièrent donc ce qui était pour elle l’essentiel : les pièces de rechanges pour leurs maintenance ainsi que des armes adaptés à tous type de situation : une mitrailleuse lourde fut sommairement monté sur le toit du Pick Up et chacun se destina naturellement a un type d’arme particulier : Amaterasu se trouva plus adaptée aux armes légères ainsi qu’au port du Kusanagi alors que son frère trouva rapidement son compte avec les armes lourdes, capable de causer des dommages impressionnants sur tous type de cible.

En sortant de l’abri antiatomique, qui fut leur berceau, ils découvrirent un monde en ruine, l’air vicié des radiations et des ruines à pertes de vue. Sans but, les machines erraient en répondant simplement à leur programmation la plus primaire : assurer leur intégrité structurelle, tout en recherchant l’objectif que voulait leur assigner leur créateur. Amaterasu fut rapidement convaincue qu’il fallait rechercher une trace de vie : ils ne trouveraient jamais la raison de leurs existences sans être au contact d’autres espèces et ils étaient de toute façon des machines d’infiltration : il ne serait pas difficile de se faire passer pour l’un de ses êtres évolués que l’on ne nommait alors pas encore Asarien. Ils utilisèrent alors leurs senseurs pour tenter de capter des ondes radios ou n’importe quel système de communication que pourraient employer divers survivants afin de pouvoir localiser des groupes et s’y intégrer rapidement. Cette recherche ne fut guère vaine : rapidement, ils trouvèrent un groupe de survivants dirigé par des futurs Asariens, des dirigeants de plusieurs Zaibatsu qui avait survécu en prenant leurs dispositions, les nippons ayant déjà connu le feu nucléaire, les élites étaient bien mieux préparer pour y faire face que dans d’autres nations.

Leur véhicule, qui ne payait pas vraiment de mine, rejoint une étrange caravane qui devait vivre sous un rythme effrénée et dangereux : il fallait toujours être mobile, ce qui était couteux en carburant, mais rendu nécessaire par la chasse organisé par les groupes de Yakuza écumant les ruines a la recherche des dernières ressources disponibles. Les accrochages étaient réguliers et le groupe perdait des membres à chacun d’entre eux. Les machines se joignirent rapidement au groupe de protection, assurant qu’elles avaient fait partie de l’Armée avant le cataclysme. Ils paraissaient suspect : personne ne les voyaient jamais manger, boire ou simplement dormir, mais les humains, qui ne savaient pas grand choses des possibilités des évolués, ne posaient pas de questions. Les seconds étaient bien plus méfiants, mais ceux qui se montrèrent trop vindicatifs disparurent dans des circonstances étranges. Amaterasu s’était servi de son camouflage optique pour les faire taire de manière définitive, elle avait calculée que la terreur serait une meilleure protection que la recherche d’une explication fausse et difficilement crédible.

Errer ainsi dans ce nouveau No Man’s Land n’avait aucun sens. Les leaders du groupe suggérèrent de rejoindre un port militaire de moindre envergure dans l’espoir qu’il soit toujours intact et pouvoir y trouver des navires permettant d’essayer de rejoindre des terres plus hospitalières et tout le monde se rangea de leurs avis. Cette décision fut la bonne, le port avait été mystérieusement épargné par le feu nucléaire et le général qui dirigeait la caserne avait fait un dispositif de sécurité strict afin de pouvoir empêcher les pillages tout en maintenant la discipline. Depuis le cataclysme, il avait noué des contacts avec les autres ports encore intacts et le Japon étant une nation insulaire, put réunir une petite flottille constituée en grande partie d’embarcation civile dans l’espoir de pouvoir un jour partir, sans réellement savoir vers où, mais partir restait mieux que de mourir de faim sur un archipel n’ayant désormais plus rien à offrir. Les deux robots eurent la surprise d’être reconnu par l’officier qui organisa une entrevu a part : c’était un humain qui avait participé au projet d’Aisawa et qui savait quelques détails sur leurs créations, mais sans plus.

Il encouragea les deux machines à adopter un comportement plus en adéquation avec leurs statuts d’androïde d’infiltration. En apprenant ainsi à manger, ce qu’ils pouvaient faire, mais ne faisait jamais car il s’agissait selon leurs protocole d’une action inutile, ou à simuler des phases de sommeils, ils apprirent à être moins suspects. L’officier les rendit également plus humains et éveilla chez Amaterasu les premières questions sur le sens de l’existence vivante même. Le général avait grand peine à s’imposer par son grade, les futurs Asarien revendiquait le commandement de par leur statut d’évolué. Les contestataires furent une nouvelle fois réduit au silence lors d’opération nocturne, la présence des deux machines changeait la donne… Amaterasu et Tsukuyomi n’avaient pourtant aucune sympathie pour ce général, mais ses soldats lui étaient fidèles et ils craignaient que les navires soient sabotés si on lui retirait le commandement. Ils prirent donc toutes les précautions pour que cela n’arrive pas. Les messages radios intercepter parler d’une nouvelle terre émergée colonisable en Antarctique : c’était un pari risqué, mais il fallait prendre ce risque dans l’espoir de pouvoir vivre convenablement et l’officier pris la décision de faire réunir sa flottille afin de tenter la traversé, s’appuyant sur les quelques bâtiments militaires qui lui restait pour sécuriser les autres embarcations.

Cette traversée marqua la fin de l’exode, même si elle fut longue et difficile : plusieurs navires ne purent tenir le choc, leur rayon d’action étant trop faible et tous étaient surchargés : les malheureux pris aux pièges moururent noyés dans des souffrances atroces. Toutefois, l’arrivé en Antarctique poussa les deux robots à changer de stratégie : ils étaient conscient que les futurs Asariens avaient probablement pris la tête de ce nouveau continent et si le général fut jusqu’ici utile, la traversé effectué, il n’était désormais plus nécessaire tout en étant dangereux : il pouvait éventer l’existence des robots a quelqu’un d’autre : ne prenant aucun risque, la logique froide et mathématique l’emporta une fois de plus sur tout le reste : les deux robots assassinèrent la chaine de commandement constitué des humains, laissant la place vacante aux évolués et toutes leurs lubies qu’il jugeait pourtant ridicule. Cette traversée marqua également une rencontre qui ne porterait ses fruits que bien des années plus tard : Amaterasu y fit la connaissance du jeune Tomas Van Brenner, qui s’était réfugié dans la cale ou elle avait dissimulée son matériel de maintenance, un endroit que les autres vivants ne fréquentaient jamais.

Van Brenner représentait une équation étrange : il ne semblait pas effrayer par la machine qu’il observait s’auto réparer sans problème, et acceptait même la discussion, en revanche, le débarquement en Antarctique, qui offrait tant d’espoir aux autres membres de l’équipage semblait le terroriser : l’homme s’était enfermé dans ses rêves automobiles et machine et longue vie discutèrent longuement performance moteurs et méthode d’optimisation de bolide de course, Amaterasu disposant de ce genre d’information dans sa base de donnée. Il représentait un sujet d’étude des plus intéressant pour le robot, car il semblait alors hanté par des pulsions des plus lâches, mais pas encore autodestructrice. Amaterasu en appris beaucoup sur le comportement des vivants, mais elle choisit pourtant de ne pas le supprimer à la fin de la traversée : même si personne ne le savait, elle réalisait que tout le monde avait bien compris que le duo robotique était responsable de l’assassinat des officiers. S’ils tuaient un Longue Vie, ses derniers risquaient de mal le prendre, ce qui n’était pas l’objectif. De plus, Amaterasu posa l’équation et tous les résultats arrivaient au même chemin ; Tomas Van Brenner n’avait pas les épaules pour survivre dans un monde post apocalyptique. Ce fut pourtant une grave erreur de calcul, la machine avait oublié une inconnue et cette erreur allait la « hanter » durant de nombreuses années.

3 / Asaria :

Amaterasu et Tsukuyomi laisse en apparence les Longues Vies guider les autres vers la future Asaria, mais en réalité, se montre suffisamment insistant pour faire adopter leurs point de vue à la nouvelle chaine de commandement. Le groupe de survivants en errance dans ses terres hostiles, mais encore libérée de la pression atomique, en rencontre d’autre et celui-ci grandit bientôt, permettant aux deux machines de s’effacer grâce à la présence de leader plus charismatique. Lorsque l’emplacement d’Asaria est finalement choisit et que les futurs Anciens choisissent de la baptiser en l’honneur du créateur du Serum, Amaterasu perçoit cela comme une décision logique : les Asariens doivent honorer et servir leur créateur comme elle essayait de le faire elle-même : elle se sentait plus proche de ses êtres en quelque sorte manufacturée par l’homme que par des créations de la nature. Pourtant, elle n’était pas certaine que les Anciens souhaitaient réellement accomplir la volonté du créateur du SEER, il faudrait qu’elle le rencontre pour cela, ce qui n’est encore jamais arrivé jusqu’ici.

Tsukuyomi participe directement aux travaux de construction, étant l’un des rares « anciens » n’hésitant pas à mettre la main sur des travaux manuels, alors qu’Amaterasu décide de se joindre au service de sécurité s’assurant que des groupes de bandits ayant poursuivi les survivants comme des charognards ne les ralentissent pas. Les humains doivent s’adapter aux rythmes des Asarien et la plupart des travaux ce font la nuit, ce qui ne dérange pas outre mesure les machines, attentive vingt-quatre heures sur vingt-quatre, mais rend le travail de surveillance plus ennuyeux qu’on aurait pu le croire. Fort heureusement, tout ceci n’est rien d’autre aux yeux des deux robots qu’une autre source d’information de zéro et de un. La construction d’Asaria prend vingt ans : Amaterasu estime qu’elle aurait pu être plus rapide si les Anciens s’étaient montré raisonnable : plutôt que faire avant tout dans le fonctionnel, ses derniers avaient recherché à construire quelque chose à la hauteur de leurs « magnificence » et ralenti considérablement les travaux, certaines idées de grandeurs amenant même à raser certains bâtiments a peine construit pour d’autres. Les humains sont mécontent, mais les machines ne réagissent pas, elles estiment, enregistre, tirent leurs conclusions sans les livrer aux principaux intéressés.

La fin des travaux les ramènent pratiquement au point de départ : leur participation active à ses derniers leurs permet toutefois d’obtenir le statut de collaborateur d’Asaria et perçu par les vivants comme des « Longues Vies », ils peuvent vivre à l’intérieur de la cité en compagnie des Asariens. Pour dissimuler leurs natures cybernétiques, les deux robots deviennent des mercenaires plutôt que de s’intégrer dans la milice gouvernementale qui leur aurait probablement ouvert les bras sans hésiter. La résistance humaine renait suite aux conditions de vie indécente imposée par les Asariens aux humains et les deux machines participent à nombres d’opérations et de traque organisé par les autorités durant les trente années de lutte contre cette dernière. Leurs duos devient rapidement parmi les mercenaires les plus efficaces sur le marché et les Asariens leurs confient les affaires qu’ils mettent sur le marché les plus importantes : cette manne financière permet aux deux robots de pouvoir s’offrir un appartement bien plus confortable disposant d’une piscine ou ils peuvent dissimuler leurs appareils de maintenance à l’ abri des regards indiscrets. Ce sont des agents fiables et efficace, personne ne les contrôles jamais : la milice leurs rend parfois visite lorsqu’ils ont besoin d’un soutien lourd contre une cible de la résistance particulièrement coriace.

Même s’ils ne lui octroient qu’une confiance limité, les deux robots suivent les médias et observe la montée en puissance de Tomas Van Brenner. Amaterasu réalise que ses calculs furent faussés quelque part et s’interroge de plus en plus sur la nature de la vie. Elle adopte un comportement plus étrange, interrogeant ses victimes sur leurs motivations avant de les tuer ou se rendant dans des bars de divers qualités afin d’épier les conversations et essayer de mieux comprendre les motivations, Humaines comme Asarienne. Bien qu’il juge cela assez vain, Tsukuyomi la couvre et l’aide même sur le plan logistique, car il recherche la même chose qu’elle a travers cette quête, découvrir les véritables desseins de leur créateur, Aisawa, que les deux machines n’ont toujours pas oubliée. Pour cela, il aurait fallu qu’elles le choisissent elle-même en effaçant ce dernier de leurs mémoires, car contrairement aux organiques, une machine ne peut pas oublier sans intervention extérieure.

Le conflit va s’enliser sans une chasse souvent infructueuse ou le chat, le gouvernement Asarien, peine à débusquer les souris, les rebelles humains. Pire encore, les Asariens de seconde génération vont en partie se diviser, certain rejoignant et fondant des groupes aussi diverses qu’inacceptable aux yeux de ceux défendant la pureté de la race et face aux coups d’éclats de ses différents groupes, la position gouvernementale se radicalisa. Les deux robots ne manquèrent pas de travail et Tsukuyomi en fut ravi : il put enfin affronter un défi à sa mesure avec les Asariens traitres, ce qui le força à faire usage de ses chères armes lourdes. Amaterasu suivait toutefois l’évolution de la situation avec intérêt. Lorsque Tomas Van Brenner décréta la mobilisation générale contre les menaces sur Asaria, elle sut qu’il était temps de franchir une étape sur le chemin de l’évolution. Elle et son frère allait entrer dans la milice, mais pour cela, il lui faudrait se rappeler au bon souvenir du général allemand, après tous, ils étaient deux produits des puissances déchus de l’Axe…





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Dernière édition par Amaterasu le Mar 4 Aoû - 0:15, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyMar 28 Juil - 16:09

Bienvenue et au plaisir de te croiser au sein de la Milice Amaterasu, ACT –G-000 2566232917
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Héléna Carter
Pacificatrice Asarienne
Héléna Carter
Messages : 757

Localisation : Toujours à fouiner !
Côté coeur : En plein doutes

Activité/Profession : Journaliste/ Reporter de terrain au Times

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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyMar 28 Juil - 16:37

Ouh lala ^^
Une cyborg

Bienvenue parmi nous cheers
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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyMar 28 Juil - 19:07

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche!!

Le début m'a déjà l'air très intéressant!!
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Damien A. Stark
Asarien, 2e Génération
Damien A. Stark
Messages : 653

Localisation : non loin du pouvoir
Côté coeur : Célibataire & Dominateur

Activité/Profession : PDG de la Stark Entreprise

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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyVen 31 Juil - 12:44

Tomas doit se frotter les mains devant une telle recrue dans sa Milice !

Bienvenue Amaterasu
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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyDim 2 Aoû - 13:35

Merci a vous tous !

Cette fiche est maintenant terminée et le code du règlement a été envoyé. Il ne manque que la mention du groupe, car je ne sais pas vraiment dans lequel me ranger. Si c'est simplement l'identité raciale derrière laquelle je me cache, alors le groupe des Anciens est le plus logique, mais je vous en laisse le seul juge.

En espérant que la lecture sera agréable.
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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyDim 2 Aoû - 15:06

Bienvenue à toi Amaterasu !

Je viens de finir de lire ta fiche ! Que voilà en effet une belle opportunité de frapper un coup définitif dans la fourmilière des traitres ! Je ne manquerai pas de projets vous concernant et notre collaboration sera fructueuse tant que vous œuvrerez à la protection et l'expansion d'Asaria et des Asariens.

Amuse toi bien parmi nous ! Au plaisir de te croiser en RP !
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Mara Jade
Leader des Pacificateurs
Humaine

Mara Jade
Messages : 1726

Localisation : Asaria et ses plaines
Côté coeur : A tout jamais lui

Activité/Profession : Leader / Se battre pour un futur meilleur

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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyDim 2 Aoû - 16:56

Bonjour Amaterasu,

je vais lire ta fiche dès que possible et je reviendrai vers toi pour ta validation.
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Phoenix
Staff d'AsariaL
Staff d'AsariaL
Phoenix
Messages : 1551

Côté coeur : Secret

Activité/Profession : *

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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyMar 4 Aoû - 11:25



   
Félicitations
   
ta fiche est Validée !



    Asaria, sa cité et ses terres sauvages s'ouvrent désormais à toi !

Merci pour les précisions que tu as apportées dans ta fiche Wink
Très belle plume et un personnage à surveiller de prêt.

   J'espère que tu as bien pris connaissance de toutes les informations nécessaires, rempli ton profil et ta fiche de personnage (Informations complémentaires).
    Je t'invite aussi à créer ta fiche de sujets et de liens ainsi qu'à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour le jeu.

   Le flood et la Chatbox t'attendent aussi, alors n'hésite pas à nous rejoindre !

   Très bon jeu à toi et au plaisir de te croiser sur nos terres de Prophétie !
   Amuse-toi bien parmi nous !



   
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Amaria Saria
Présidente de la Cité
Ancienne ; Longue-Vie

Amaria Saria
Messages : 263

Localisation : Asaria
Côté coeur : Libre

Activité/Profession : Présidente de la Cité, médecin et généticienne

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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 EmptyMar 4 Aoû - 11:30

Bienvenue parmi nous et bons rps !
Quel personnage intéressant
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MessageSujet: Re: Amaterasu, ACT –G-000   Amaterasu, ACT –G-000 Empty

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