Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave

Invité

IDENTITY

Gabrielle Turner
feat : Anne Hathaway

Prénom : Gabrielle
Nom : Turner
Surnom : Gaby
N~~om de Code :~~
Age : 26 ans
Nature : Humaine
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Métier : Esclave de Connor McKynan
Groupe : Humain
D~~ate du SEER :~~
Poste vacant / Scénario ? ~~OUI –~~ NON.

MORE

CARACTÈRE :

Que dire de moi ? C’est toujours compliqué de parler de soi et discuter ne sert pas toujours à quelque chose. Agir est souvent la meilleure solution, agir après mûre réflexion et en connaissant les risques. Le tout est d’être préparé et de ne pas foncer tête baissée. Je suis ainsi, analysant mes choix et les conséquences.

Je méprise la politique et la manière dont sont traités les miens. Oh, je ne déteste pas spécialement les Asariens, du moment que chacun reste chez soi, cela me convient. Je ne m’intéresse pas à la politique, je suis une femme qui essaye de panser certaines plaies autour d’elle. Les pleurs, les larmes, j’ai trop connu pour les supporter davantage. Je ne veux plus voir la peine et la souffrance dans le regard des autres. Ce que je gagne en volant, je le partage. Je partage quand un individu est dans le besoin. Je partage ma passion pour la peinture pour essayer d’avoir le sourire d’un enfant. Ce sont dans les actes que l’on obtient des résultats, et non avec des paroles. Elles ne sont pas indispensables.

Douce et généreuse, peut-être trop d’après certains mais que voulez-vous ? C’est en ignorant, en abandonnant notre prochain que l’on perd notre humanité. Je ne veux pas de cela. Est-ce un tort ? Pas pour moi. Cependant, ce n’est pas pour autant que j’irai me dresser contre le Gouvernement. Pourquoi ? La peur sans doute, bien que je n’ai strictement rien à perdre. Mais la politique…je préfère rester libre de mes choix et vivre selon mes propres lois. Je me bats à ma façon, solitaire mais elle me protège, et protège les autres.

Mais il ne faut pas trop de fier à cette gueule d’ange que j’ai. Je suis une battante, déterminée et prête à tout pour préserver ma liberté, ou pour arriver à mes fins. Fine voleuse, j’ai à de nombreuses reprises dupée des hommes aisés pour leur extirper de l’argent ou des bijoux avant de disparaitre. Ah les hommes, quand on sait comment s'y prendre avec eux, c'est facile d'en faire ce que l'on veut. Cependant, à force de vouloir s’en prendre à plus fort que soi, on tombe de très haut. Je n'ai appris que trop tard.

POUVOIRS ou CAPACITES :
J’ai appris à me battre, à mains nues et avec une arme, un poignard que j’avais toujours sur moi avant de me faire capturer.

BIOGRAPHY

Toute mon enfance s’est passée dans les bidonvilles auprès de mon père, ma mère est morte en couche. J’ai connu la misère et la faim même si mon père faisait de son possible pour subvenir à nos besoins, ce n’était jamais suffisant. Il se sacrifiait pour moi et c’était dur de l’accepter quand j’ai eu l’âge de comprendre le fonctionnement du monde. J’ai commencé à voler très jeune, pour mon père au début, tellement peinée de le voir se tuer à la tâche. Des fruits, du pain, pas grand chose en réalité mais cela était quand même beaucoup quand on n’avait rien à la base. Il m’a puni bien entendu, me faisant comprendre que ce n’était pas bien, qu’il fallait s’entraider et non voler nos semblables. Est-ce que cela a servi à quelque chose ? Je dirais que oui car par la suite, ce n’était pas des individus aussi pauvres que nous que je volais, mais des personnes à qui cela ne manquerait pas. Dans la rue, au marché, tous les lieux étaient bons pour moi du moment que je pouvais ramener de la nourriture à la maison. Je ne supportais pas de le voir ainsi. Il tentait de dissimuler sa tristesse mais je n’étais pas dupe. Je voyais son chagrin de ne pas pouvoir m’offrir ce que je voulais, une vie normale sans se demander si on aurait à manger dans notre assiette le lendemain. Mon père était un homme bon et honnête, je l’aimais et je lui faisais comprendre que sa présence et son amour étaient amplement suffisants à mes yeux. Cependant, il se rendait responsable de ce que j’étais devenue : une voleuse qui risquait sa vie chaque jour.

Ma vie bascula l’année de mes quinze ans, durant l’été 2103. Mon père disparu brutalement, je n’ai jamais su ce qu’il était devenu, hormis avoir vu une patrouille de la Milice dans les bidonvilles, assez agitée ce jour-là. Bien que je n’aie eu aucune preuve, le doute m’a toujours envahi. Pendant des années, j’ai espéré avant de comprendre que c’était un espoir perdu d’avance. Se faire embarquer par les miliciens, s’il ne pourrissait pas en prison, ou mort, ce qui serait préférable, il était peut-être devenu esclave d’un Asarien. Le genre de vie que personne ne voulait, que tout le monde essayait d’éviter. J'ai dû quitter notre minable appartement, à moi seule et sans revenu, impossible d’y demeurer plus longtemps. A cette période, je me suis demandée si ce n’était là l’occasion de faire quelque chose de ma vie, d’essayer d’être ce que voulait mon père : une femme digne d’elle et honnête, et non voleuse. Ce fut assez difficile au début de trouver du travail. Pendant deux ans, j’étais strip-teaseuse dans un club mal fréquenté des bidonvilles. Entre le travail clandestin et l’emploi de mineur, il avait tout pour qu’on le fuie. Cependant, il m’a permis d’avoir un salaire et de retrouver un logement avant d’aller voir ailleurs. Je ne voulais plus de ce travail, trop indécent et humiliant. Je suis donc parti après avoir été embauchée comme serveuse dans un bar tenu par une Asarienne. Une vie meilleure s’ouvrait à moi même si mes revenus étaient loin d’être extravagants. Je m’en contentais. J’avais de quoi manger et un toit sur ma tête, c’était suffisant pour moi. Je ne demandais pas la lune. Je ne voulais pas devenir riche, puissante et plus encore, en fait, je préférais rester telle que j’étais plutôt que de suivre la voie que certains prenaient. Mon seul regret était de ne pas réussir à vendre mes peintures. J’aimais peintre depuis toute petite mais aucun Asarien n’achetait à une humaine, et les humains n’avaient pas d’argent à dépenser dans l’art, sauf les traitres et ceux qui s’en sortaient bien. Je n'avais aucun moyen de les faire connaitre à leur juste valeur. J’ai vite compris que cela resterait un plaisir personnel et non un métier. C’était ainsi, j’étais au moins réaliste.

Pendant plusieurs années, je suis restée une femme « normale ». Une humaine essayant de survivre, d’économiser et de pester silencieusement contre le Gouvernement. Je ne prenais pas les Asariens comme responsables, c’était ce Gouvernement qui faisait ce que notre monde était mais je n’irais pas me battre contre lui. Ma vie, ma liberté étaient importantes pour moi mais ces nombreuses injustices firent que je me mis à mon compte. Enfin, façon de parler bien entendu. Quand je ne travaillais pas au bar, je volais à nouveau. Pas pour moi, pour les autres, pour effacer la peine, pour permettre à une mère dans la rue de donner de quoi manger à son enfant. Je prenais à ceux qui n’en avaient pas besoin et j’ai appris à choisir mes victimes.

Je guettais discrètement, faisant surtout extrêmement attention à ceux qui m’entouraient. La peur me prenait toujours mais cela me permettait d'avancer. Sa présence me faisait comprendre que je n'étais pas invincible et que je devais sans cesse être sur mes gardes, de ne jamais oublier dans quel monde je vivais. Les Asariens, oui, j’en ai volé, mais peu. Ils étaient très rares ceux que je désignais définitivement pour passer à l’action. Ils étaient méfiants envers les humains, haineux envers eux, ils étaient donc quasiment impossibles de les tromper sans parler de leurs maudits pouvoirs. Mais quelques-uns faisaient exceptions. Des petits naïfs ou perturbés par un événement dans leur vie pour qu’ils baissent la garde. Certains qui semblaient être bons ou se moquant totalement des humains, des individus légèrement plus faciles à approcher. Mais je m’en prenais le plus souvent aux humains, moins de risques, et favorisant les hommes. Certains avaient quelques avantages, la plupart du temps dû à leur trahison envers les leurs. Attirés par les belles femmes, je jouais leur jeu, les charmants ou parlants arts parfois pendant quelques jours avant de les voler. De l’argent ou des bijoux que je revendais ou que je gardais. Prenant des petites choses pour qu’ils ne remarquent rien au début. Je savais m’introduire dans leur vie, faire croire que j’étais celle qui pouvait tout entendre sans juger. Au final, ils se faisaient avoir par une femme. J’agissais toujours le soir, la nuit, c’était plus facile pour s’éclipser et fuir en cas de problème car j’en ai déjà eu. Et toujours avec une perruque afin que personne ne me reconnaisse dans la rue. Cette méthode-là, je ne la pratiquais pas régulièrement afin de ne pas éveiller les soupçons. Et c'était tout de même bien éprouvant. Rien n'était prévisible. A tout moment, je pouvais me faire démasquer à cause d'un faux pas et une erreur ne pardonnait pas. J'ai parfois abandonné en cours de route, acceptant la défaite mais c'était mieux que de perdre la vie ou pire, la liberté. La rue restait bien évidemment la meilleure option. Un vol discret de portefeuille, sur les marchés pour la nourriture, en cas de foule surtout pour pouvoir se fondre dans la masse très rapidement. Ne jamais s'en prendre à un individu en terrain découvert, c'était une règle à respecter.

La vie devenait de plus en plus dure pour les humains. Certains de mes voisins partirent des dômes pour les terres sauvages. J’aurais pu en faire autant mais je me plaisais ici. Je m’y plaisais car je servais à quelque chose, je contrôlais ma vie et je tentais d’apporter un peu de chaleur autour de moi. Certaines personnes comptaient sur moi pour un peu de pain ou d’argent, je ne pouvais pas les abandonner sans me retourner. Ces individus étaient seuls, sans famille, sans ami. Je savais pertinemment que je ne pouvais pas rayer la misère du monde par magie, mais le fait d’apaiser quelque peu la souffrance était malgré tout une victoire. Je savais que des groupes s’étaient formés : les Pacificateurs, la Rébellion et d’autres encore. A de nombreuses reprises je m’étais posée la question sur ce que cela pourrait changer dans ma vie. Au final, mon indépendance était la plus forte. J’étais une femme solitaire et j’étais bien ainsi. De plus, la politique et tout ce qu’elle pouvait engendrer ne m’intéressait pas. Elle faisait plus de mal qu’autre chose et je ne voulais pas en faire partie. J’admirais pourtant ceux qui luttaient, ils en avaient du courage, un courage que je n’avais peut-être pas. Je m’occupais de ma vie et de ceux qui m’entouraient, et c’était bien ainsi. Oui, au vu de la souffrance que cela provoquait, je préférais ma vie.

J’étais présente lors de l’exécution publique. Ce fut une véritable horreur, ce genre de journée dont on se souvenait toute notre vie. Tout comme la destruction de l’orphelinat quelques mois plus tôt. Voilà pourquoi je ne voulais pas me mêler à ces histoires politiques, pour ne pas me sentir responsable de ces morts, de cette douleur que ces actes engendraient. Je comprenais le choix de certains, le choix de lutter mais le Gouvernement ne lâcherait jamais prise. Il menait la vie encore plus dure aux humains. Cela en était même devenu une situation inhumaine. Quand tout cela cesserait ? Y-aurait-il au moins une victoire ? Je ne comprenais plus ce monde. L’avenir ne s’annonçait pas bon, je le sentais au plus profond de moi. Sans doute que j’aurai un choix à faire un de ces jours.

Mais en attendant, la vie que je pensais préserver telle quelle sombra sans que je ne m’en rende compte. J’ai voulu duper, escroquer plus fort que moi et cela a été un tort. J’ai rencontré un homme, charmant et intéressé par l’art. Je voyais en lui un bon pigeon sauf qu’au final, le pigeon, c’était moi. J’aurai dû comprendre en pénétrant dans son appartement. Trop beau, trop luxueux, trop grand. Quelque chose clochait en lui. Il n’était qu’un humain. Certes, certains de mes semblables parvenaient à s’en sortir, à avoir un petit cocon douillet et chaleureux malgré la petite taille ou quelques défauts. Pourquoi n’avais-je pas ouvert les yeux plus tôt ? J’ai été aveuglée par ce que je pouvais lui dérober, aveuglée par ses belles choses qui se pavanaient devant moi. Stupide, j’ai été stupide. Stupide de le suivre, stupide de croire que je ne me ferais jamais prendre. Voyant mon doute et mon questionnement, il me mit à l’aise et pendant toute la soirée, il se montra charmant et intentionné. En réalité, il attendait une erreur de ma part, il a joué avec moi afin de me prendre en flagrant délit.

Cet homme était un traitre, un de ces salopards qui trahissaient les leurs. Depuis un moment il me surveillait et me suivait. Je n’avais pas été assez méfiante. Je perdis tout cette nuit-là. Si je finissais en prison, je savais que jamais je ne pourrais en ressortir. Je voulus négocier bien évidemment, encore quelque chose bête de ma part. J’offris mon corps contre ma liberté, croyant à sa promesse de me laisser partir. J’ai été dupée. Il m’a laissé meurtrie avant de me remettre au marché aux esclaves. Je n'allais pourtant pas me laisser abattre par cet événement. Celui ou celle qui m’achèterait ne devait pas s'attendre à une personne docile. Je ne serais pas un gentil toutou, je ne le serais jamais.

BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM / PSEUDO : Choupette
ÂGE : 25 ans
COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT NOTRE FORUM ? Par un partenaire
FRÉQUENCE DE CONNEXION : Plusieurs fois par semaine
MOTS DE PASSE ENVOYÉS A ? Mara Jade

Invité

Bonjour et bienvenue parmi nous Gabrielle !

N'hésite pas à te tourner vers Mara ou moi si jamais tu as des questions pour ta fiche, l'univers du forum ou sur un autre sujet.

Au plaisir de lire ta fiche en tout cas.

Invité

Je viens signaler que ma fiche est terminée Smile

Staff d'AsariaL

Merci bien Wink

Ta fiche est à présent en lecture auprès du staff.
Nous reviendrons au plus vite vers toi.
@ très vite. Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 2577736060

Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 2577736060

Invité

Voilà Gabrielle, je reviens vers toi enfin.

Excuse-moi pour le délai.

Nous avons discuté de ta fiche en zone staff. Il faudrait cependant apporter quelques précisions et modifications dans ta fiche, avant que nous puissions passer à la validation de celle-ci. Tu verras, rien de bien dramatique ni compliqué. Je m'en vais te guider dans cette dernière ligne droite.

Gabrielle a écrit:: Ma responsable organisait de temps en temps une petite exposition, appréciant mes tableaux, elle m’aidait à les mettre en valeur.

- De quel bar parles-tu ? Où se situe-t-il ? Il faudrait que tu précises où tu travailles, si ce lieu se trouve dans les bidonvilles. Il faut que tu saches qu'il n'existe qu'une taverne dans les bidonvilles. Donc, les bars se situent plutôt dans la ville côté Asarien. Cependant, aucun Asarien n'acceptera de faire plaisir à une humaine des bidonvilles.

- J'aimerai que tu revois un peu le passage qui mentionne tes talents de voleuse. Tu expliques que tu utilises une technique pour voler facilement, à savoir séduire, charmer tes proies. Qu'est ce qu'il se passe avec les Asariens télépathes ? Ils ne sont pas du genre à se laisser berner, surtout par une humaine. Tous les Asariens ont des pouvoirs, ce sont des sur-hommes, qui méprisent pour 90% les humains, ne les considèrent que comme une sous-race. En lisant ce passage concernant ta biographie, on a l'impression que tu voles avec une facilité déconcertante, dans un monde pourtant tellement plus dangereux que celui que nous connaissons, où les humains ne sont que vermines et esclaves. Il faudrait rendre tout ceci un peu moins aisé, facile, que tu insistes sur les difficultés de voler, la peur de se faire prendre, découvrir, d'échouer etc...

- Pour ce qui concerne les privilèges accordés à certains humains, c'est envisageable, rien à redire là-dessus donc.

Fiche sympathique à lire en tout cas. Quelques fautes ici et là, essaye de te relire pendant que tu apportes les changements demandés. Mais rien de grave là encore, on en fait tous des fautes.

Préviens-moi quand tu auras rectifier ta fiche et je passerai à ta validation avec grand plaisir. A très bientôt donc et n'hésites pas à demander si ce n'est pas clair. Mara ou moi, nous nous tenons à ta disposition. Enoch étant absent, je précise, pour le moment Wink

Leader des Pacificateurs Humaine

Bonjour, bonjour Smile

Peut-on avoir des nouvelles pour la suite des modifications de cette fiche ?

Merci bien Wink

Invité

Bonsoir

Les modifications sont en cours, je les finis dans la soirée. Je n'oublie pas Smile

Leader des Pacificateurs Humaine

C'est parfait alors Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 2577736060

Invité

Re-bonsoir Smile

J'ai apporté les modifications demandées (en vert pour éviter de chercher partout), et j'ai également corrigé des fautes à la relecture.

Je pense que je peux vous dire bonne nuit vue l'heure Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 1434250351

Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 1434250351

Staff d'AsariaL

Félicitations
ta fiche est Validée !

Bienvenue en ces terres lointaines !

J'aime beaucoup ton histoire et la personnalité de Gabrielle

Asaria, sa cité et ses terres sauvages s'ouvrent désormais à toi !
J'espère que tu as bien pris connaissance de toutes les informations nécessaires, rempli ton profil et ta fiche de personnage (Informations complémentaires).
Je t'invite aussi à créer ta fiche de sujets et de liens ainsi qu'à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour le jeu.

Le flood et la Chatbox t'attendent aussi, alors n'hésite pas à nous rejoindre !

Très bon jeu à toi et au plaisir de te croiser sur nos terres de Prophétie !
Amuse-toi bien parmi nous !

Invité

Merci beaucoup Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 2577736060

Humaine Rebelle

Bienvenue sur Asaria, Miss Wink

Invité

Bienvenue en ces terres chère collègue Smile

Invité

Merci à toutes les deux.

Ton avatar est très classe Alice ^^.

Invité

Merci beaucoup ^^

Je vois que le vava fait de l'effet à tout le monde Gabrielle Turner ~ Une "tendre" esclave 2566232917

En tout cas, mumuse-toi bien.

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